Différences entre les versions de « Tawkirina »

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Version du 24 octobre 2023 à 23:22

Empire de Tawkirina
የታውኪሪና ኢምፓየር

Depuis le 13 février 130
(97 ans, 4 mois et 17 jours)

Dp Tawkirina.pngEmblème de Tawkirina.png

« ሕዝቦች ለንጉሥ-ማንሳ አንድ ሆነዋል »

(« Les peuples unis pour le Roi Mansa »)

Capitale Neges Ketema
Tsegakeni 13 février

Chef de l'État

Roi Mansa de Tawkirina

የታውኪሪና ንጉስ-ማንሳ

SMd Inaile Selami

Roi Wedefiti

ወደፊት ንጉሥ

SA Arbaayi Girima

Gouvernement

Collège des Ministres des Peuples

የሕዝብ ሚኒስትሮች ኮሌጅ

Régime politique Monarchie parlementaire
Constitution Constitution du 13 février 130
Premier Ministre Akulesi Terekezi
Gouvernement Terekezi I

Législature

Parlement des Représentants des Peuples

የህዝብ ተወካዮች ፓርላማ

Législature XVIe
Haut-Représentant des Peuples Hagos Amare

541 Représentants élus au scrutin proportionnel

Justice

Justice des Peuples

የህዝብ ፍትህ

Peine maximale appliquée 30 ans de réclusion criminelle

Cour du Roi Mansa

የንጉሱ ፍርድ ቤት

10 Juges royaux nommés par Sa Mansuétude

Forces armées

Armées du Tawkirina

የታው ኪሪና ሰራዊት

EffectifsNaviresAéronefs
Emblème de Tawkirina.png 726 51243261

Diplomatie

Statut Nation souveraine reconnue
Faction Non-aligné
Protectorat Dp Kilemyana.png Royaume de Kilemyana

Démographie

Population 208 348 391 hab.
Gentilé Tawkirinais⸱e
Plus grandes villes Neges Ketema
Yisefi Koblien
Levaniti
Shemibeko
Konije Harasi
Constitué de 6 Provinces
Langues officielles Tawkirinais
Religion 62,6% Foi constantine
11,4% Eibad
8,4% Mitsvah
7,9% Foi constantine réformée
5,2% Animisme
1,9% Autres
2,6% Irréligion

Économie

Monnaie Motaw (ብር)
1 ብር = 0,02 Ŧ
PIB 741 224 995 159 Ŧ
37 061 249 757 950 ብር
PIB/hab. 3 558 Ŧ/hab.
177 881 ብር/hab.
IDH 0,525 – Faible
Taux de chômage 25,9%

Histoire

13 février 130 Promulgation de la Constitution
30 juin 190 Résolution 2690-01 sur le plan de paix pour l'Asnaywana prévoyant la mise sous protectorat du Kilemyana
9 août 192 - 28 janvier 209 Guerre iyroéo-tawkirinaise

Divers

Fuseau horaire GMT+2 à GMT+4
Indicatif d'appel +81
Domaine internet .tw

Le Tawkirina, en forme longue l'Empire de Tawkirina est un état souverain sud-oriental d'Idylénie.

Étymologie

Histoire

1

2

3

4

Naissance de la monarchie constitutionnelle (An 129-130)

Révolte et Tribune Serowitochi

En 129 sonne une aire de révolte pour les peuples Tawkirinais qui a déjà commencé à s’organiser depuis les derniers mois de l’an 128. Les peuples se soulèvent contre l’absolutisme du roi Talaki Tinikare qui gouverne presque seul, sans conseillers, du fait de sa paranoïa qui ne fait que s'accroître. Le 8 octobre 129 une importante manifestation est organisée dans la capitale du pays contre l’arbitraire total du roi et sa seule volonté à gouverner plutôt qu’à servir les peuples, alors qu’il venait de prendre un décret royal rejetant tous ses conseillers et toutes les barrières possibles contre les décisions qu’il pourrait prendre à l’avenir. Cette manifestation est fortement matée par le pouvoir transformant cette journée en une sanglante manifestation qui deviendra très vite une révolte de part l’indignation qu’elle suscite. Des célébrités, mais aussi des aristocrates, se révoltent eux aussi. Le 11 Novembre 129, la Tribune Serowitochi (tribune des armées) est publiée dans le journal le plus important de l’époque. Celle-ci prévoit que plus de 73% des militaires refusent de combattre contre le peuple pour protéger « un homme orgueilleux et égoïste ». Cette tribune fait effet de résonance au palais royal. Le roi est alors déplacé par sa garde royale dans un lieu gardé secret a cette date, qui s’avérera être finalement les sous-sols du palais royal.

Emprisonnement du roi et 1er Constitution

Une fois le déplacement du roi effectué, 6 des 8 gardes présents prennent les armes contre le roi et les 2 gardes restants : ils réclament que les prières du peuple soient exaucées. Le roi est alors laissé, emprisonné dans les sous-sols du palais, les deux autres gardes sont emmenés et emprisonné, l’un d’eux, dans une tentative de fuite, sera blessé et succombera deux jours plus tard, c’est le premier homme du côté pro-roi qui meurt, le 13 novembre 129. Le roi sera laissé 5 jours enfermé entièrement seul. Durant les jours de solitude, le roi s’épuise mentalement. Le 16 novembre 129, les militaires entrent dans la pièce où est gardé le roi, accompagné de représentants des peuples. Le roi est épuisé mais refuse de lâcher du pouvoir. Les révolutionnaires menacent de lâcher le roi en pâture à la foule. Le roi finit par accepter de reprendre des conseillers et de rétablir les barrières possibles à ses prises de décision. Il sera alors libéré mais plus que jamais seul contre tous, n’ayant plus de gardes. Après 1 mois, le roi, ayant peur de révolte qui ne s’était que très peu calmée, déclare qu’une Constitution sera établie par des élus pour encadrer son pouvoir afin qu’il ne soit que le serviteur du peuple. C’est le début de la monarchie constitutionnelle. Des élections sont alors organisées qui s'avèreront être un fiasco avec très peu d’organisation, de sécurité, et très peu de lieux de vote : dans tous le pays, seul trois lieux de votes sont établis. 49 personnes sont élues, qui fixeront les modalités et points importants que la Constitution doit contenir et éliront eux même 5 personnes pour rédiger la Constitution. Malgré les élections chaotiques, la Constitution est bien écrite et sera approuvée par les 49 élus. Celle-ci sera proclamée le 13 février 130 faisant Tawkirina une monarchie constitutionnelle. Dans la foulée les élections parlementaires sont organisées, une coalition est formée et pour la première fois, un premier ministre est nommé : Ousseyman Jiry. Le parlement des représentants des peuples, composé de 541 sièges mais de 538 représentants pour la première législature, reste en presque totalité monarchiste. Seuls 4 députés républicains sont représentés, ceci s’expliquant par l’histoire ancienne du pays ayant un peuple attaché à un roi symbole de réunion des peuples.

Abdication de Talaki Tinikare et régence de Eloi Poguira

Dans la foulée, alors que le roi est épuisé, il abdique le 16 février 130. Son fils, âgé d'à peine 11 ans, monte alors sur le trône, ayant comme régent un monarchiste absolutisme de 41 ans, Raiyo Eloi Poguira, ce qui ferra monter la peur au parlement et dans le peuple. Le 21 mars 130, le régent du roi, dans un décret royal, dissout le parlement, selon la procédure prévue dans la Constitution. Ceci ne fait qu’accentuer la crainte et la méfiance envers le roi et son régent. Pour la 2eme législature, le parlement est composé de 8 républicains mais de 266 représentants royalistes Girimaniste, des royalistes voulant la fin de la Dynastie des Négus et voulant mettre sur le trône, Tesfaye De la dynastie Girima restant un descendant du premier roi Mansa. Le 23 mai, une coalition est alors formée avec ces députés Girimaniste, le même premier ministre est nommé le 8 juin 130, après 16 jours, par le roi. Ce délai est jugé trop long par le parlement et décide, le jour même, de demander l’abdication du roi au profit de Tesfaye Girima. Le Régent ne répondra alors jamais à cette demande du parlement. Le premier ministre, Ousseyman Jiry, sous l’influence des représentants Girimaniste et avec l’aide de toute la coalition, dans son discours du 28 juin 130, au côté de Tesfaye Grima, plein de gravité et de crainte pour la suite de la Constitution, réussie à enrôler le peuple contre le Imy Négus, portant encore son premier nom du fait de sa minorité. À la suite de ce discours, Raiyo Eloi Poguira publie un décret royal qui dissout les représentants des peuples, une nouvelle fois. S’en est trop pour les représentants, le premier ministre et la population. Les députés décident d’ignorer cet acte. Le premier ministre est alors arrêté le 3 juillet, sous la décision de la Cour du Roi Mansa pour insurrection anti-constitutionnelle. C’est une tentative de coup d’État de la part du régent qui met le feu aux poudres. L’armée publie alors la « Tribune Serowitochi II » qui rappelle son soutien au peuple et la soumission de l’armée au parlement. Ouvrant la voie au parlement pour demander à l’armée d’agir contre le régent. Dans une dernière tentative, sans coercition, les représentants des peuples organisent une manifestation pour demander au roi d’abdiquer. Il est d’ailleurs dit que durant cette journée, le roi et sa mère veulent que le roi abdique mais le régent Raiyo Eloi Poguira refusera. Une action secrète est établie par le régent afin de maîtriser la foule. Durant cette opération, deux députés aux abords du cortège seront tués par l’armée au service du régent. S’ensuit alors deux semaines de révoltes sanglantes qui continuent d’être en faveur du peuple.

Menek Ak Atik, Roi de Tawkirina et nouvelle dynastie royale

Le 20 juillet 130, les grilles du palais tombent, il est dit que Tesfaye Girima est alors en tête du cortège héroïque. Personne ne veut tirer sur un descendant du premier Roi Mansa, le régent n’a pas le choix que d’abdiquer. L’intérieur du palais ne sera jamais foulé par la population respectueuse du Roi. Le prochain roi dans la liste de succession n’est pas Tesfaye Girima. Néanmoins, le premier prétendant au trône, de la dynastie Négus, et avec plusieurs aristocrates importants, accordent le trône à Tesfaye Girima qui monte sur le trône le 28 juillet 130 prenant le nom de Menek Ak Atik, signifiant « le renouveau ». La dynastie royale est encore, aujourd’hui, la dynastie Girima.

Ère actuelle

Guerre iyroéo-tawkirinaise (An 192-209)

Géographie

Climat et topographie

Environnement

Faune et flore

Société

Population

Langue

Culture

Religion

Éducation

Crime et sécurité civile

Droits humains

Politique

Présidence

Gouvernement

Congrès

Organisation territoriale

Partis politiques

Un parti politique est représenté au sein du parlement des lors qu'il obtient un sièges.

Il existe des partis politiques représenté dans l'ensemble des provinces tel que la Force Constantine (un parti traditionaliste Constantin militant pour une unique religion au Tawkirina, la défense des valeurs Constantine et, dans les extrêmes du parti, l'union de la foi Constantine et du Tawkirina), le Front Patriotique Tawkirinais (un parti d'extreme droite), Le Parti du l'Union Démocratique Tawkirinaise (parti de droite militant pour le développement industriel du pays et plutôt traditionaliste. Depuis les années 200, il milite aussi pour que le Tawkirina s'oriente vers le monde libre).

D'autres partis ne sont pas représenté dans toute les provinces mais dans la majorité tel que le Parti Social Tawkirinais (parti qui milite pour le développement sociale au Tawkirina en priorité et les droits des travailleurs), l'Organisation Démocratique des Peuples Mitsvaines (un parti représentant les droits des peuples Mitsvaines), le Parti du Monde Libre (un parti de centre militant pour que le Tawkirina rejoigne le monde libre et défendant les droits de l'Hommes), Les Eibadiques Tawkirinais (parti militant pour les droits des personnes de foi Eibadique).

D'autre parti sont présent dans quelques provinces tel que le Front de l’Impérialisme Absolue (un parti militant pour le retour de la monarchie absolue e tel retour de la Dynastie Négus en tant que Roi Mansa de Tawkirina ayant les pleins pouvoirs), le Mouvement Pan-idylénie (parti militant pour l'autonomie totale du continent et pour sa puissance sur le monde), le Mouvement Révolutionnaire Démocratique (un parti politique militant pour la fin de la monarchie au Tawkirina au profit d'une république présidentielle) et l'Union sociale Ohmarique-Serkalem-Koblye (un parti politique de gauche de même sensibilité que le parti social tawkirinais). Le protectorat du Kelimyana est aussi représenté au parlement avec les parti, uniquement présent au Kelimyana, tel que Les représentants du Kelimyana' et Autonomistes du Kelimyana (parti politique militant pour l'autonomie du Kelimyana).

D'autre partis ont été importants tel que le Parti pour la paix et l’amitié Iyroéenne et le Mouvement d’autonomie du Raked mais sont aujourd'hui dissous depuis la fin de la guerre avec l'Iyroée.

Forces armées

Relations étrangères

Économie

Infrastructures

Architecture et urbanisation

Monuments

Transports

Eau et énergie

Divers

Personnalités connues

Anecdotes