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Après le Nero inverno et la convocation de nouvelles élections par le Chef de la fédération c'est la liste ultra-libérale qui, dans un contexte de méfiance envers les pouvoirs publics, remporte largement les élections. Avec près de 47% des suffrages les ultra-libéraux domine la chambre et le Président n'a pas d'autre choix que celui de se plier à leur exigence. [[Sandro Colombo]] nomme [[Pablo Grivaldi]], économiste et figure du libéralisme à l'époque, Président du Conseil. La politique s’apparente à une révolution, les aides sont presque toutes supprimés, les services publics sont privatisés, les impôts sont diminués de près de 60%, les réformes de [[Britza]] sont supprimés. Cette politique fait revenir massivement les investisseurs et les grandes fortunes sur l'île et la croissance est en forte hausse. Malgré tout les ménages les plus précaires se retrouve dans la grande pauvreté et certains quartiers deviennent le symbole de la misère. Les quelques manifestations sont réprimés sévèrement par le gouvernement qui se montre sans pitié. Mais les classes moyennes supérieures et les plus aisés l'adore et son parti obtient 32% des suffrages a l'[[élection legislative de 137]] forçant cette fois-ci Grivaldi à faire des compromis avec les conservateurs et les libéraux plus modéré. Son second mandat voit la préservation des réformes déjà faite lors de son premier mandat ainsi que quelques nouvelles réformes tel que la réorganisation de la police ou la modernisation de l'armée.
Après le Nero inverno et la convocation de nouvelles élections par le Chef de la fédération c'est la liste ultra-libérale qui, dans un contexte de méfiance envers les pouvoirs publics, remporte largement les élections. Avec près de 47% des suffrages les ultra-libéraux domine la chambre et le Président n'a pas d'autre choix que celui de se plier à leur exigence. [[Sandro Colombo]] nomme [[Pablo Grivaldi]], économiste et figure du libéralisme à l'époque, Président du Conseil. La politique s’apparente à une révolution, les aides sont presque toutes supprimés, les services publics sont privatisés, les impôts sont diminués de près de 60%, les réformes de [[Britza]] sont supprimés. Cette politique fait revenir massivement les investisseurs et les grandes fortunes sur l'île et la croissance est en forte hausse. Malgré tout les ménages les plus précaires se retrouve dans la grande pauvreté et certains quartiers deviennent le symbole de la misère. Les quelques manifestations sont réprimés sévèrement par le gouvernement qui se montre sans pitié. Mais les classes moyennes supérieures et les plus aisés l'adore et son parti obtient 32% des suffrages a l'[[élection legislative de 137]] forçant cette fois-ci Grivaldi à faire des compromis avec les conservateurs et les libéraux plus modéré. Son second mandat voit la préservation des réformes déjà faite lors de son premier mandat ainsi que quelques nouvelles réformes tel que la réorganisation de la police ou la modernisation de l'armée.


==ère conservatrice==
==Ère conservatrice==
A la suite de la Présidence Grivaldi qui a boulversé Guioti les élections législatives de 143 voit la victoire des partis modérés. De cette victoire née une coalition qui voit l'ancien diricteur à la Banque centrale, [[Bettino Spadolini]], être nommé Président du Conseil. Il ménera une politique d'apaisement en finançant des logements sociaux pour les plus précaires tout en menant une politique de contrôle budgétaire très stricte dans un contexte de forte spéculation économique.  
A la suite de la Présidence Grivaldi qui a boulversé Guioti les élections législatives de 143 voit la victoire des partis modérés. De cette victoire née une coalition qui voit l'ancien diricteur à la Banque centrale, [[Bettino Spadolini]], être nommé Président du Conseil. Il ménera une politique d'apaisement en finançant des logements sociaux pour les plus précaires tout en menant une politique de contrôle budgétaire très stricte dans un contexte de forte spéculation économique.  
Mais, dès 148 la coalition modérée perd la majorité au profit de la droite conservatrice. [[Roberto Mancino]] est nommé suite à la victoire des conservateurs aux élections législatives. Mancino restera Président du Conseil pendant 15 ans et mènera une politique dite "conservatrice-sociale" en refusant l'élargissement de l'avortement et en aidant les plus pauvres du pays par la création d'allocations chômages et de la prise en charge des opérations médicales les plus couteuses. Sa stabilité au poste qui l'occupe et permise grâce à la compétence de Mancino, ancien chef d'entreprise, qui est reconnu par tous les partis d'opposition.
Mais, dès 148 la coalition modérée perd la majorité au profit de la droite conservatrice. [[Roberto Mancino]] est nommé suite à la victoire des conservateurs aux élections législatives. Mancino restera Président du Conseil pendant 15 ans et mènera une politique dite "conservatrice-sociale" en refusant l'élargissement de l'avortement et en aidant les plus pauvres du pays par la création d'allocations chômages et de la prise en charge des opérations médicales les plus couteuses. Sa stabilité au poste qui l'occupe et permise grâce à la compétence de Mancino, ancien chef d'entreprise, qui est reconnu par tous les partis d'opposition.

Version du 27 février 2024 à 12:03

République de Guioti
Repubblica di Guioti
Depuis le 7 décembre -63
(293 ans, 11 mois et 14 jours)
Il Diamante
Il Diamante

Capitale Saliona
Fête de la Révolution 7 décembre
Chef de l'État
Chef de la Fédération
Alessandro Pastore (LP)
Gouvernement
Conseil des Ministres
Régime politique République parlementaire unitaire
Président du Conseil des Ministres Pietro Rizzo (RDP)
Gouvernement actuel Conseil Rizzo
Législature
Parlement
Type Parlement tricaméral
Conseil des 300
Doyen du Conseil Marcello Di Sabato (Indépendant)
300 membres élus par le Sénat et la Chambre des Députés
Sénat de la Fédération
Présidente du Sénat Rosetta Criaco (LDL)
355 sénateurs élus au suffrage indirect par les Grands Représentants
Parti au pouvoir Ligue de la Liberté
Président de la Chambre des Députés
Président de la Chambre des Députés Ernesto Lazzarini (RDP)
500 députés élus à la proportionnelle
Parti au pouvoir Rassemblement des Patriotes
Justice
Conseil d'État
Président du Conseil d'État Luisa Arimondo
Peine maximale appliquée Exécution par guiotine
Forces armées
Légion Insulaire
Général-en-chef de Guioti Général Luigi Spaghetti
Effectifs 22 318
(170 337 mobilisables)
International
Statut Nation souveraine reconnue
Faction Aucune
Démographie
Plus grande ville Saliona
Population 851 685 hab.
Gentilé Guiotin(e)
Langue officielle Guiotin
Économie
Monnaie Forza de Guioti (₣G)
Taux de change 1₣G = 0,61Ŧ
PIB 99 843 891 450 Ŧ
PIB/hab 117 231 Ŧ/hab.
Histoire
Autres
Sens de conduite Droite
Indicatif téléphonique +315
Domaine Internet .gt

La République de Guioti, surnommée Bella isola (belle île) par certains poètes et écrivains, est un petit État insulaire souverain Phoécien. Son emplacement géographique propice au développement du commerce, couplé à une politique fiscale plus qu'avantageuse, permet à la petite république parlementaire de s'assurer des revenus importants.


Étymologie

Histoire

Colonisation Constantine

On ne connait pas, ou presque pas, l'histoire de l'île avant sa colonisation par la République Constantine dans les alentours de -1427 à la même époque que la mise du Royaume carlomanique sous clientèle. Certains archéologues estiment que la population locale était minime et qu'il est probable que les colons Constantins n'eurent aucune difficultés à balayer celle-ci.

La colonisation de l'île de Guioti, à l'époque appelé le Rocher, n'est pas du au hasard. Sa situation stratégique dans le contrôle de la mer de feu et sa beauté la rendait particulièrement attractive. Assez rapidement, par ailleurs, un certains nombre de riches généraux prirent leurs retraites sur le rocher pour finir leur beau jour. En -1397 un grand poète Constantin du nom de Fortitudo Guiotinex écrivit que l'île "était certainement le plus bel endroit sur terre ou le temps est long et agréable et ou la seul responsabilité de ses maîtres est de la maintenir hors du temps et de son agitation." Par ailleurs, Fortitudo Guiotinex passera de nombreuses années sur l'île à qui il donnera son nom.

En travaux

Fin de la République consulaire

Après plusieurs années d’instabilité politique dû à la corruption des grandes familles guiotinne qui conservaient le pouvoir entre leurs mains depuis plus de 100 ans, le général Gabriel Feronichi, populaire auprès du peuple, décida de renverser le Consul et son gouvernement et de proclamer une nouvelle constitution. La constitution de la République de Guioti, plus libéral et surtout démocratique fut adopté en -63. Bien que certains prirent peur de voir s'installer à Guioti un régime plus dictatorial et militaire il n'en fut rien. Feronichi après une période de stabilisation de 2 ans décida de se présenter pour devenir Chef de la Fédération, il fut élu très largement avec 82% des suffrages. Il resta au pouvoir jusqu'en -56. A la tête du régime il engage la République dans une politique de neutralité diplomatique.

En travaux

Anni d'oro

En 117 la Constitution de Guioti est enfin modifié pour y inclure le droit de vote des femmes, l'élection au suffrage universelle directe de la chambre des députés et la possibilité pour le Conseil d'État de mettre en cause la responsabilité pénale du Chef de la Fédération. A l'initiative de cette grande réforme le Chef de la Fédération social-libéral Antonio Conti qui gouverne de 109 à 127 en s'appuyant sur une large majorité progressiste ouverte au centre.

Guioti connait, entre 115 et 131, une période, appelé "Anni d'oro" (années d'or), de forte croissance économique lié à l'expansion du milieu bancaire sur l'île. Conjointement de grand investissement de l'État sont effectués dans l'économie à cette période, fait rare dans ce pays traditionnellement très libéral qui se méfie des pouvoirs publics. Les routes, les chemins de fer, les installations portuaires sont modernisés et des mesures sociales sont mises en place. En 129 la réforme Britza, du nom du Président du Conseil de l'époque, instaure un salaire minimum, interdit formellement le travail des enfants et crée des allocations pour les personnes sans emplois.

Nero inverno

Mais cette période de prospérité prend fin brutalement le 3 janvier 132 alors qu'un scandale politico-financier concernant des membres du gouvernement, dont le Président du Conseil Mario Cabrio, d'une ampleur sans précédente éclate. Impliquant des détournements de fonds, des accords avec des entreprises privés pour avoir accès aux informations de certaines personnalités disposant d'un compte sur l'île, ou encore de lien avec la mafia, cette affaire à un retentissement tel que le climat des affaires se détériore brusquement. De nombreuses grandes fortunes retirent brusquement leur argent des banques guiotinnes et des grandes entreprises délocalisent leur siège social dans d'autre pays. De plus, on assiste à des manifestations gigantesque pour réclamer la tête du gouvernement et on pense même un temps à un renversement du gouvernement par l'armée pour rétablir le calme.

Cette situation chaotique dure tout l'hiver 132, on appel cette période le "Nero inverno" (l'hiver noir), et prend fin le 12 Mars quand Mario Cabrio se fait finalement renverser par la chambre des députés. Le Chef de la Fédération décide de convoquer des nouvelles élections en annonçant dissoudre la chambre des députés dès le 15 Mars.

L'élection législative de 132, marqué par une méfiance de la population dans les pouvoirs publics, voit la victoire écrasante du parti ultra-libéral.

Rivoluzione liberale

Après le Nero inverno et la convocation de nouvelles élections par le Chef de la fédération c'est la liste ultra-libérale qui, dans un contexte de méfiance envers les pouvoirs publics, remporte largement les élections. Avec près de 47% des suffrages les ultra-libéraux domine la chambre et le Président n'a pas d'autre choix que celui de se plier à leur exigence. Sandro Colombo nomme Pablo Grivaldi, économiste et figure du libéralisme à l'époque, Président du Conseil. La politique s’apparente à une révolution, les aides sont presque toutes supprimés, les services publics sont privatisés, les impôts sont diminués de près de 60%, les réformes de Britza sont supprimés. Cette politique fait revenir massivement les investisseurs et les grandes fortunes sur l'île et la croissance est en forte hausse. Malgré tout les ménages les plus précaires se retrouve dans la grande pauvreté et certains quartiers deviennent le symbole de la misère. Les quelques manifestations sont réprimés sévèrement par le gouvernement qui se montre sans pitié. Mais les classes moyennes supérieures et les plus aisés l'adore et son parti obtient 32% des suffrages a l'élection legislative de 137 forçant cette fois-ci Grivaldi à faire des compromis avec les conservateurs et les libéraux plus modéré. Son second mandat voit la préservation des réformes déjà faite lors de son premier mandat ainsi que quelques nouvelles réformes tel que la réorganisation de la police ou la modernisation de l'armée.

Ère conservatrice

A la suite de la Présidence Grivaldi qui a boulversé Guioti les élections législatives de 143 voit la victoire des partis modérés. De cette victoire née une coalition qui voit l'ancien diricteur à la Banque centrale, Bettino Spadolini, être nommé Président du Conseil. Il ménera une politique d'apaisement en finançant des logements sociaux pour les plus précaires tout en menant une politique de contrôle budgétaire très stricte dans un contexte de forte spéculation économique. Mais, dès 148 la coalition modérée perd la majorité au profit de la droite conservatrice. Roberto Mancino est nommé suite à la victoire des conservateurs aux élections législatives. Mancino restera Président du Conseil pendant 15 ans et mènera une politique dite "conservatrice-sociale" en refusant l'élargissement de l'avortement et en aidant les plus pauvres du pays par la création d'allocations chômages et de la prise en charge des opérations médicales les plus couteuses. Sa stabilité au poste qui l'occupe et permise grâce à la compétence de Mancino, ancien chef d'entreprise, qui est reconnu par tous les partis d'opposition.

Géographie

Climat et topographie

Environnement

Faune et flore

Société

Population

La population de Guioti, d'après le dernier recensement, est de 851 685 habitants. Démographiquement Guioti est un pays marqué par une forte stabilité oscillant entre 0.2% et -0.1% de variation par an. On peut expliquer ce phénomène par une très faible immigration et la non présence de politique familiale ou nataliste.

Langue

La langue officiel et majoritaire de l'île est le Guiotin, un dérivé du Constantin qui a évolué grâce aux échanges commerciaux et aux particularités de l'île.

Culture

Religion

Éducation

Crime et sécurité civile

Droits humains

Politique

Présidence

Conseil des Ministres

Parlement

Organisation territoriale

Partis politiques

Forces armées

Relations étrangères

Économie

Économie de Guioti

Infrastructures

Architecture et urbanisation

Monuments

Transports

Eau et énergie

Divers

Personnalités connues

Anecdotes