Différences entre les versions de « IIème République d'Uspana »
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=Histoire= | =Histoire= | ||
La deuxième République est imposée aux communistes par les socialistes qui refusent l'instauration d'une République socialiste, synonyme selon eux d'un retour au pouvoir des militaires. Après plusieurs longs mois de tractations entre 112 et 114, un texte de Constitution est adopté par le Parlement, avec cependant de nombreuses voix opposées sur les bancs communistes. | La deuxième République est imposée aux communistes par les socialistes qui refusent l'instauration d'une République socialiste, synonyme selon eux d'un retour au pouvoir des militaires. Après plusieurs longs mois de tractations entre 112 et 114, un texte de Constitution est adopté par le Parlement, avec cependant de nombreuses voix opposées sur les bancs communistes. | ||
Les premières élections législatives se déroulent en 115. Persuadé de les remporter du fait de leur stature de leader de la Révolution, les communistes essuient une cuisante défaite, due aux révélations par la presse de leurs velléités de création d'une République socialiste. Les conservateurs remportent 421 sièges dans la nouvelle assemblée tandis que les communistes n'en remportent que 208, échappant pour 6 siège à une perte de sa place de premier opposant face aux socialistes. La peur d'un retour au pouvoir des militaires avec les communistes a largement favorisé les conservateurs, qui ont mené l'essentiel de cette campagne sur la peur des rouges, incluant d'ailleurs les socialistes dans les projets des communistes. [[Valerij Pavlyuk]], leader de la Révolution de 109, tire alors à boulets rouge sur le Parti du Travail, et annonce le quitter : "Je suis membre d'un parti depuis maintenant 68 ans. Je ne le reconnais plus, il n'est plus capable de parler aux travailleurs." | Les premières élections législatives se déroulent en 115. Persuadé de les remporter du fait de leur stature de leader de la Révolution, les communistes essuient une cuisante défaite, due aux révélations par la presse de leurs velléités de création d'une République socialiste. Les conservateurs remportent 421 sièges dans la nouvelle assemblée tandis que les communistes n'en remportent que 208, échappant pour 6 siège à une perte de sa place de premier opposant face aux socialistes. La peur d'un retour au pouvoir des militaires avec les communistes a largement favorisé les conservateurs, qui ont mené l'essentiel de cette campagne sur la peur des rouges, incluant d'ailleurs les socialistes dans les projets des communistes. [[Valerij Pavlyuk]], leader de la Révolution de 109, tire alors à boulets rouge sur le Parti du Travail, et annonce le quitter : "Je suis membre d'un parti depuis maintenant 68 ans. Je ne le reconnais plus, il n'est plus capable de parler aux travailleurs." | ||
Le procès des principaux dignitaires de la dictature se tient au printemps 116. Vu les crimes prescris, la Constitution prévoit un procès par l'Assemblée du Peuple elle-même. Cet article de la Constitution avait été rédigé spécialement pour ces procès. Le premier homme à être jugé est le général Dmytrenko. Chef d'état major pendant toute la durée du gouvernement nationaliste, il a dirigé la répression de manière sanguinaire des mouvements révolutionnaires. Ce n’est pas le procès le plus attendu, loin de là. Cet encombrant général était certain d’être condamné par les conservateurs, il fut exécuté le 23 mars, le lendemain de sa condamnation. Mais vu leur participation passive à la dictature, leur attitude vis-à-vis des cadres nationalistes s’annonçait plus incertaine. Le 24, c’est le procès du vice-président du gouvernement dictatorial, [[Borys Lebid]] qui pourraient donner la couleur. Contrairement au général dont le procès fut expédié en quelques heures, les débats du procès Lebid durèrent 17 jours, montrant ainsi l’indécision des conservateurs. Finalement, les conservateurs le condamnent à la prison à vie. | Le procès des principaux dignitaires de la dictature se tient au printemps 116. Vu les crimes prescris, la Constitution prévoit un procès par l'Assemblée du Peuple elle-même. Cet article de la Constitution avait été rédigé spécialement pour ces procès. Le premier homme à être jugé est le général Dmytrenko. Chef d'état major pendant toute la durée du gouvernement nationaliste, il a dirigé la répression de manière sanguinaire des mouvements révolutionnaires. Ce n’est pas le procès le plus attendu, loin de là. Cet encombrant général était certain d’être condamné par les conservateurs, il fut exécuté le 23 mars, le lendemain de sa condamnation. Mais vu leur participation passive à la dictature, leur attitude vis-à-vis des cadres nationalistes s’annonçait plus incertaine. Le 24, c’est le procès du vice-président du gouvernement dictatorial, [[Borys Lebid]] qui pourraient donner la couleur. Contrairement au général dont le procès fut expédié en quelques heures, les débats du procès Lebid durèrent 17 jours, montrant ainsi l’indécision des conservateurs. Finalement, les conservateurs le condamnent à la prison à vie. Enfin, le 15 avril, le troisième et dernier procès réalisé par l’Assemblée (les autres étant réalisés sans le chef d’accusation de trahison, ce qui les rendait jugeable par des cours pénales) visait directement le chef du gouvernement autoritaire, [[Myroslav Kravets]]. Cette fois-ci, les conservateurs étaient plus confiants sur leur décision, certains de la nécessité de tuer l’ancien dirigeant afin de véritablement se démarquer du régime dictatorial. Après 5 jours de simulacres de procès, en réalité une suite de longs réquisitoires contre Kravets, la mort de ce dernier est votée, y compris par des nationalistes. | ||
=Géographie= | =Géographie= | ||
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==Religion== | ==Religion== | ||
Autrefois très présente à l’ouest du pays, la religion a été proscrite en 157 par les communistes au pouvoir. Les lieux de culte ont été annexés par l’état, pour être réinvestis ou détruits. Des études estiment que le culte serait encore pratiqué par 2% de la population, contre 53% en 140. | |||
==Éducation== | ==Éducation== | ||
==Crime et sécurité civile== | ==Crime et sécurité civile== | ||
La justice est objectivement neutre dans ses décisions qu’elle prend. Il existe peu de procès politiques à Uspana. Cependant, la Constitution prévoit que toute personne jugée pour des chefs d’accusation comprenant la trahison doit être jugée par l’Assemblée du Peuple. Les procureurs étant nommés par le Parti, les communistes peuvent faire accuser n’importe quel opposant de trahison et le condamner à l’Assemblée. | |||
==Droits humains== | ==Droits humains== | ||
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==Anecdotes== | ==Anecdotes== | ||
Version actuelle datée du 25 septembre 2022 à 21:51
Uspana IIème République d'Uspana | ||||||||
15 septembre 114 – 12 juillet 192
(77 ans, 9 mois et 27 jours) |
||||||||
Drapeau d'Uspana |
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Capitale | Cheryno | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Devise | Que le Peuple sauve la Glorieuse Révolution | |||||||
Hymne | La Révolution du Peuple | |||||||
Jour de la Glorieuse Révolution | 18 février | |||||||
Chef de l'État | ||||||||
Secrétaire général | ||||||||
S.M. Simonas Juronis | ||||||||
Gouvernement | ||||||||
Comité Central d'Uspana | ||||||||
Régime politique | République populaire | |||||||
Législature | ||||||||
Assemblées législatives de la République | ||||||||
Type | Parlement bicaméral | |||||||
Assemblée permanente |
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167 membres élus à vie par l'Assemblée du Peuple (élection à chaque décès) | ||||||||
Parti au pouvoir | Parti du Travail | |||||||
Assemblée du Peuple |
||||||||
Présidente de l'Assemblée du Peuple | L.H. Inocentas Norbutas (Parti du Travail) | |||||||
1001 députés élus par circonscription | ||||||||
Parti au pouvoir | Parti du Travail | |||||||
Justice | ||||||||
Cour Pénale Indépendante | ||||||||
Peine maximale appliquée | Condamnation à mort | |||||||
Forces armées | ||||||||
État de la force non-conventionnelle | En développement | |||||||
International | ||||||||
Statut | Nation souveraine reconnue | |||||||
Faction | Internationale de la Révolution Permanente | |||||||
Démographie | ||||||||
Plus grande ville | ||||||||
Population | ||||||||
Langue officielle | ||||||||
Économie | ||||||||
Monnaie | Points (Pts) | |||||||
IDH | {{{idh}}} | |||||||
Histoire | ||||||||
Constitution de la R.P.U. | 12 juillet 192 | |||||||
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Autres | ||||||||
Étymologie
Histoire
La deuxième République est imposée aux communistes par les socialistes qui refusent l'instauration d'une République socialiste, synonyme selon eux d'un retour au pouvoir des militaires. Après plusieurs longs mois de tractations entre 112 et 114, un texte de Constitution est adopté par le Parlement, avec cependant de nombreuses voix opposées sur les bancs communistes.
Les premières élections législatives se déroulent en 115. Persuadé de les remporter du fait de leur stature de leader de la Révolution, les communistes essuient une cuisante défaite, due aux révélations par la presse de leurs velléités de création d'une République socialiste. Les conservateurs remportent 421 sièges dans la nouvelle assemblée tandis que les communistes n'en remportent que 208, échappant pour 6 siège à une perte de sa place de premier opposant face aux socialistes. La peur d'un retour au pouvoir des militaires avec les communistes a largement favorisé les conservateurs, qui ont mené l'essentiel de cette campagne sur la peur des rouges, incluant d'ailleurs les socialistes dans les projets des communistes. Valerij Pavlyuk, leader de la Révolution de 109, tire alors à boulets rouge sur le Parti du Travail, et annonce le quitter : "Je suis membre d'un parti depuis maintenant 68 ans. Je ne le reconnais plus, il n'est plus capable de parler aux travailleurs."
Le procès des principaux dignitaires de la dictature se tient au printemps 116. Vu les crimes prescris, la Constitution prévoit un procès par l'Assemblée du Peuple elle-même. Cet article de la Constitution avait été rédigé spécialement pour ces procès. Le premier homme à être jugé est le général Dmytrenko. Chef d'état major pendant toute la durée du gouvernement nationaliste, il a dirigé la répression de manière sanguinaire des mouvements révolutionnaires. Ce n’est pas le procès le plus attendu, loin de là. Cet encombrant général était certain d’être condamné par les conservateurs, il fut exécuté le 23 mars, le lendemain de sa condamnation. Mais vu leur participation passive à la dictature, leur attitude vis-à-vis des cadres nationalistes s’annonçait plus incertaine. Le 24, c’est le procès du vice-président du gouvernement dictatorial, Borys Lebid qui pourraient donner la couleur. Contrairement au général dont le procès fut expédié en quelques heures, les débats du procès Lebid durèrent 17 jours, montrant ainsi l’indécision des conservateurs. Finalement, les conservateurs le condamnent à la prison à vie. Enfin, le 15 avril, le troisième et dernier procès réalisé par l’Assemblée (les autres étant réalisés sans le chef d’accusation de trahison, ce qui les rendait jugeable par des cours pénales) visait directement le chef du gouvernement autoritaire, Myroslav Kravets. Cette fois-ci, les conservateurs étaient plus confiants sur leur décision, certains de la nécessité de tuer l’ancien dirigeant afin de véritablement se démarquer du régime dictatorial. Après 5 jours de simulacres de procès, en réalité une suite de longs réquisitoires contre Kravets, la mort de ce dernier est votée, y compris par des nationalistes.
Géographie
Climat et topographie
Environnement
Faune et flore
Société
Population
Langue
Culture
Religion
Autrefois très présente à l’ouest du pays, la religion a été proscrite en 157 par les communistes au pouvoir. Les lieux de culte ont été annexés par l’état, pour être réinvestis ou détruits. Des études estiment que le culte serait encore pratiqué par 2% de la population, contre 53% en 140.
Éducation
Crime et sécurité civile
La justice est objectivement neutre dans ses décisions qu’elle prend. Il existe peu de procès politiques à Uspana. Cependant, la Constitution prévoit que toute personne jugée pour des chefs d’accusation comprenant la trahison doit être jugée par l’Assemblée du Peuple. Les procureurs étant nommés par le Parti, les communistes peuvent faire accuser n’importe quel opposant de trahison et le condamner à l’Assemblée.