Tawkirina

Empire de Tawkirina
የታውኪሪና ኢምፓየር

Depuis le 13 février 130
(101 ans, 9 mois et 12 jours)

« ሕዝቦች ለንጉሥ-ማንሳ አንድ ሆነዋል »

(« Les peuples unis pour le Roi Mansa »)

Données clés

Capitale	Neges Ketema
Tsegakeni	13 février

Chef de l'État

Roi Mansa de Tawkirina

የታውኪሪና ንጉስ-ማንሳ

SMd Inaile Selami

Roi Wedefiti

ወደፊት ንጉሥ

SA Arbaayi Girima

Gouvernement

Collège des Ministres des Peuples

የሕዝብ ሚኒስትሮች ኮሌጅ

Données clés

Régime politique	Monarchie parlementaire
Constitution	Constitution du 13 février 130

Données clés

Premier Ministre	Akulesi Terekezi
Gouvernement	Terekezi I

Données clés

Législature

Parlement des Représentants des Peuples

የህዝብ ተወካዮች ፓርላማ

Données clés

Législature	XVIe

Données clés

Haut-Représentant des Peuples	Hagos Amare

541 Représentants élus au scrutin proportionnel

Justice

Justice des Peuples

የህዝብ ፍትህ

Données clés

Peine maximale appliquée	30 ans de réclusion criminelle

Cour du Roi Mansa

የንጉሱ ፍርድ ቤት

Données clés

10 Juges royaux nommés par Sa Mansuétude

Forces armées

Armées du Tawkirina

የታው ኪሪና ሰራዊት

Données clés

Effectifs	Navires	Aéronefs
726 512	43	261

Données clés

Diplomatie

Données clés

Statut	Nation souveraine reconnue
Faction	Non-aligné

Données clés

Protectorat	Royaume de Kilemyana

Données clés

Démographie

Données clés

Population	208 348 391 hab.
Gentilé	Tawkirinais⸱e

Données clés

Plus grandes villes	Neges Ketema Yisefi Koblien Levaniti Shemibeko Konije Harasi
Constitué de	6 Provinces

Données clés

Langues officielles	Tawkirinais
Religion	62,6% Foi constantine 11,4% Eibad 8,4% Mitsvah 7,9% Foi constantine réformée 5,2% Animisme 1,9% Autres 2,6% Irréligion

Économie

Données clés

Monnaie	Motaw (ብር) 1 ብር = 0,02 Ŧ

Données clés

PIB	741 224 995 159 Ŧ 37 061 249 757 950 ብር
PIB/hab.	3 558 Ŧ/hab. 177 881 ብር/hab.

Données clés

IDH	0,525 – Faible
Taux de chômage	25,9%

Histoire

Données clés

13 février 130	Promulgation de la Constitution
30 juin 190	Résolution 2690-01 sur le plan de paix pour l'Asnaywana prévoyant la mise sous protectorat du Kilemyana
9 août 192 - 28 janvier 209	Guerre iyroéo-tawkirinaise

Empire autocratique de Tawkirina

Divers

Données clés

Fuseau horaire	GMT+2 à GMT+4
Indicatif d'appel	+81
Domaine internet	.tw

Le Tawkirina, en forme longue l'Empire de Tawkirina est un état souverain sud-oriental d'Idylénie.

Histoire

Naissance de l'Empire et du Constantinisme

La naissance de l'empire de Tawkirina serait arrivé vers -1400, aux alentours des provinces actuelle de Tawkirina de Mulunesh, Uwhary et Ysefi Koblien, dans le sud ouest du pays actuel. Cette naissance prend la forme d'une union des premiers peuples autour d'un roi protecteur et unificateur, le Roi Koblien.

Selon la mythologie tawkirinaise, le Roi serait le fils du descendant directe de l'union d'une reine et d'un roi important de la création de la civilisation humaine dont il est fait références dans les saintes écritures Constantines : le Roi Yisefi. Le Roi Yisefi, figurant aussi dans le livre sacré Eibadique et est considéré comme le roi du centre des civilisation et des trois religions principale que sont le Constantisme, l'Eibadisme et le Mitsvainisme. Selon la mythologie tawkirinaise, le Roi Ysefi, alors déjà âgé de plus de 85ans, aurait reçu la bénédiction des dieux pour engendrer le Roi Koblien, et lui léguer son Royaume d'union. Les dieux lui aurait alors donné la vie jusqu'à ce qu'il engendre l'enfant, ce qu'il fit près de 135 ans après cette bénédiction. Apres la naissance de Koblien, le Roi Ysefi mourut aussitôt son éjection selon les termes des textes mythologiques, à l'âge de 220 ans. À la mort de Ysefi, l'empire disparut rapidement sans heurt et sans laisser de traces dans les esprit, sauf de certains très âgé ayant put affirmé qu'ils connaissaient eux même un Roi que leurs propre arrière grands parents connaissait en tant que Roi Ysefi. La fin de cette Empire aurait ete orchestré par les dieux afin de donner la mission et l'épreuve a Koblien, fils de Ysefi, de recréer cet Empire. Ainsi, une nuit de grave tempête, durant une période de déshérence pour les peuples, Koblien reçu un message d'un homme qu'il savait alors être son père, le Roi Yisefi. Ce dernier lui donna les secret de la réussite d'une union des peuples, même des plus hostiles entre eux, afin de créer l'Union Sacré et voulu par les dieux. Grace à ces secrets, Koblien serait parvenu à rallier les peuples en déshérence, et certains en combat depuis des décennies, afin de se donner face aux dieux en tant que protecteurs des peuples et unificateurs des ces derniers, créant ainsi Yetet’ebek’ewi, signifiant "Les protégés", ou "Les sacrés" selon les traductions. La capitale fut établit dans la ville actuelle de Yisefi Koblien, ville historique et mythologique du centre de la civilisation t des religions créé par le Roi Ysefi, prenant le nom des deux premier rois appelés par les dieux selon la mythologie tawkirinaise. Aujourd'hui encore, la mythologie tawkirinaise est très présente et la dynastie de Roi Koblien est encore sur le trône de l'empire de Tawkirina faisant du roi Mansa de tawkirina, de source scientifique, le descendant du Roi Koblien, et même, de sources mythologie le descendant du Roi Ysefi et des Rois et Reines créateurs de la civilisation humaine.

Vers -1100 Yetet’ebek’ewi est fort de son union et de sa diversité de peuples pacifiques désormais et se développe considérablement et commercialement. De part se développement commercial, de nombreuses influences parviennent du monde et principalement la foi Constantine, répandue par des émissaires venu de Constantia. La foi Constantine se développe rapidement dans le pays et l'Église Constantine prend du pouvoir, atteignant les sphères les plus hautes de Yetet’ebek’ewi. Un émissaire parvint donc a atteindre le Roi de l'époque, Yeberalachewi. Apres quelques années, le roi fut convaincu et très pieux auprès de la foi Constantine que les émissaire était parvenu a établir sur les croyances Tawkirinaise. En effet, le Roi Yeberalachewi se converti ayant a l'esprit que toute l'histoire de sa descendance sacré fut inscrit dans les textes saints de la foie Constantine. La mythologie racontera qu'une nuit il fut réveillé en trans, par son ancêtre, Yisefi, qui vint lui dire que tout était écrit dans ces textes saints et lui démontra durant toute la nuit, à la fois qui était les personnages dans les textes saint qui était ses ancêtres, mais aussi tout les signes qu'il avait eu pour attendre ce grand jour béni des dieux ou des hommes viendrait lui apporté la lumière des dieux. Le lendemain a l'aube, Yeberalachewi aurait convoqué tout les sages, seigneurs du pays, hommes de lumières et émissaire afin de leur montrer la vision qu'était venu lui donner son ancêtre dans la nuit. Tous alors se rendirent compte que les ancêtres de Yisefi, que Yisefi lui meme et Koblien, était tous annoncé dans les textes saints. Durant plusieurs jours, ils reecriverent les texte mythologiques tawkirinais pour y ajouter des termes des textes Constantins et le Roi Yeberalachewi fit ordonner que l'on alla dans toute les villes du pays pour porter la voie de Yisefi et de la foi Constantine dans le respect des autres religions et des cultures. C'est ainsi que se développa la foi Constantine Tawkirinaise dans tout Yetet’ebek’ewi avec une véritable union des deux histories, cérémonie, moeurs et cultures.

"Ainsi le choeur des dieux fut embellit d'une mélodie Constantine" Roi Yeberalachewi de Yetet’ebek’ewi"

Chute de Yetet’ebek’ewi

Entre -950 et -900, Yetet’ebek’ewi fait face a de nombreuses invasions et rebellions dans les royaumes protégés créant au sein de l'union de multiple révolte et royaume de plus en plus affaiblit. De fait, l'empire ne parvient pas a faire fasse aux invasions et subit de véritablement débâcle. Vers -880, la vieillesse du roi est tenue pour responsable de la débâcle que subit l'union et des massacres de nombreuses populations qui auraient dut être sous protection. Cela va créer des révoltes interne au sein de la direction de l'union et deux clans vont se créé ce qui sera révélé ouvertement à la mort du Roi. Va alors s'enchaine une guerre de succession entre le clan des légitimiste qui veulent mettre sur le trône le petit fils du roi défunt, car son fils étant lui même mort, et les sages qui veulent mettre sur le trône un chef guerrier afin de lutter contre les invasions et les massacres tandis qu'ils considère que la famille royal n'est plus capable de diriger l'union. Aucun roi ne montera sur le trône pendant de nombreuses années, laissant l'union sans gouvernances et les royaumes livré a eux même obligé de s'organiser individuellement.

Les historiens considère que l'union disparait totalement en env.-850 laissant de multiple entités, petites et se reclus sur eux même. La famille royale et quant a elle éparpillées en de multiples terres sur tout le continent mais elle continue de travailler dans l'ombre pour l'union.

La chute de Yetet’ebek’ewi du au manque de volonté de mettre sur le trône un descendant de la famille royale ne fait que renforcer la mythologie tawkirinaise selon laquelle l'union des peuples doit être faite au nom de Yisefi et de ses descendants, voulu par les dieux, sans quoi ils recevrons la déception des dieux, ce qui se serait caractérisé par la fin d'une union florissante et le retour vers des petites entités pauvres et ouvert aux massacres, famines et maladies.

La résurgence de l'empire par la résurgences de la famille descendante

Durant 150ans, des récit vont venir confirmer la mythologie Tawkirinaise d'une dynastie élu. En effet, il est reporté par certains conteurs que l'on appellerai aujourd'hui chroniqueurs et ayant répertorié, en -700, les histoires des uns et des autres, un premier homme, ancien noble de Yetet’ebek’ewi, tentera de recréer l'empire. Néanmoins, cela ne fonctionnera pas, on décompte trois entités qui s'unissent, mais chacun ayant la volonté d'obtenir le pouvoir seul, le premier meurt assassiné tandis que le second se serait suicidé, suicide que l'on considère contesté dans les écrit de l'époque et potentiellement comploté par le troisième dirigeant qui prendra le pouvoir seul. Néanmoins, il réussis a maintenir les descendants des premiers défunts mais il sera emporté, apres 1 années de règne, par la maladie soudaine. Cela sera vite expliqué par un signe des dieux refusant que l'union soit faites par autres que descendant Koblien et Yisefi. Cette mort soudaine sera alors pris comme un avertissement et une punition divine, aucun des deux dirigeant des trois entités souhaite gouverner l'union et il y est mis fin. Nous avons aussi une groupe de commerciaux qui tenterons de s'organiser en fédération de commerce afin d'entretenir des liens commerciaux entres les divers entités mais aussi les pays du continent et des voyageurs en mer. Néanmoins, ceci n'est pas une réussite et le groupe de commerçant, si fatigué dans cette tentative d'union en oubli leur propre commerce et ayant mis toute les économies dans l'investissement d'une fédération commercial, ne retrouverons sans rien, mendiant pour certain. Cette histoire va venir une fois de plus renforcer l'idée d'une surveillance divine sur une union des descendant uniquement. Néanmoins cette histoire est a relativiser et aurait put être accentuer au nom de la mythologie et de l'Eglise Constantine afin de légitimer la famille royale en -700.

Vers -690/-700, les descendants de la famille royal sont éparpille dans le continent bien que toujours relativement puissant et riches ayant pour beaucoup des hommes sous leur coupe. La famille tentâtes avec de se réunir, et réunir toute leurs entité sous un seul roi, le roi de descendance direct du dernier roi de Yetet’ebek’ewi. Cette période est appelé "La marche d'Idylenie" imaginant que le roi marchâtes dans toute l'Idylenie pour rassembler la famille royale, une anciennes entité de Yetet’ebek’ewi devenu assez pauvre, et d'autre "Mansa", sorte de royaumes. Le roi, Ānidi Madiregi, parvient à retrouver un véritable royaume ou empire grâce aussi a certains mariages qui permettent une union et une dévotion de certain Mansa. De plus, la mythologie construite autour de cette famille permet une forte légitimité et agit comme une véritable croyance, où il n'aurait été pas nécessaire de convaincre les Mansa les plus pieux qui auraient implorés le Roi Ānidi Madiregi de les intégrer a l'Empire, selon les conteurs de l'époque.

Roi Mansa Ānidi Madiregi, taillé dans un lieu de culte en son nom

Malgré cette grande ferveur, le Roi Ānidi Madiregi du tenter une incursion vers le désert de Besay pour intégrer par la force un Mansa important. Incursion qui se soldat rapidement par une victoire pour le Roi Ānidi Madiregi.

En -640, cette union autour du Roi Ānidi Madiregi est fortement puissante militairement et territorialement. En -638, L'empire de Tawkirina est créé, l'entité devient alors véritablement un empire et tout les Mansas loue allégeance au Roi, que l'on dénomme désormais Roi Mansa, signifiant 'Roi des Rois' en référence au Dieu des dieux de la mythologie Tawkirinaise. Le Roi Mansa est alors le descendant de Koblien et Yisefi, protecteurs de tout les peuples sous protections des dieux. Aucun n'étaient parvenu à recréer cette union prometteuse après de multiples tentative. Seul le descendant direct y était parvenu, donnant plus de pouvoir a la mythologie. Par la suite, la dynastie perdurera aucun aujourd'hui, et le Roi Ānidi Madiregi, premier des Rois Mansa de Tawkirina sera mis au rang de dieu et loué par l'Empire, au même rang que Koblien et Yisefi, des lieux de cultes portant son nom seront battit.

Création et développement de l'Empire actuel

Env -600 L'Union développe d'abord sa culture Constantine avec la création de nombreux lieux de cultes, certains vu comme des merveille du continent, dont il reste quelques structures aujourd'hui.

Age d'or de la dynastie

Vers -450 extension territoriale, de nombreuses par union volontaire, certaines par grande migration des population entrainant une invasion et d'autre par des guerres difficiles.

À la suite guerre difficile, fin des extensions de masses. Stabilisation de l'Union qui prend le nom de Empire de Tawkirina vers -300 ce qui entraine quelque scissions qui ne sont pas récupérées mais qui ne s'étalent pas non plis.

Jusqu'au An 0, l'empire ne va plus s'étendre considérablement bien qu'une intégration d'une petite entité interviendra et qu'il se défendra contre les invasions. En revanche, il se développe considérablement économique, culture, diplomatie. L'empire s'impose véritablement comme le protection des peuples Il offrira sa protection aux peuples voyageurs qui sont alors fortement persécuté ailleurs sur le continent et leur offre les zones qu'ils revendique ce qui explique aujourd'hui la zone presque sacré dans le désert sud. L'empire va avoir quelques querelle avec le Cessay due aux peuples voyageurs qui vont sur le territoire du Cessay et qui ne sont pas accepté.

C'est durant cette période, entre -500 et -300 que se développe, pour atteindre son apogée en -250 l'art du vitrail Tawkirinais tant connu dans le monde entiers.

Ére moderne et forme actuelle de l'Empire sous ?

Fin XVIIIe (An-25) difficulté dans la dynastie, avec une régence qui fini par un pouvoir confier au régent qui réussira par les sages a montrer qu'il est la seul option possible et au bout d'une 10e d'année a faire nommer son fils alors âgé de 16ans, Roi Mansa alors qu'il n'y a aucun lien de parenté avec la dynastie des Roi Mansa.

Cela commence a se savoir dans la population et l'Église qui avait alors tait écarté tente de reprendre du pouvoir par le biais du peuple et de quelques élites retiré du centre du pouvoir.

Forte tension + difficulté générale dans l'Empire avec la maladie notamment.

(-13) Le roi se suicide ce qui provoque fort émoi et fait presque vaciller l'Empire. (création d'un mythe autour de ce suicide avec une sorte d'archange qui serait descendu sur terre pour agir et pour le Tawkirina et la Dynastie des Roi Mansa). Mais roi fort, issus de la Dynastie des Roi prend le pouvoir et modernise le pays ouvrant l'ère moderne du Tawkirina.

entre An0 et An50 : forte expansion ce qui verra le Tawkirina a sa forme actuelle.

Naissance de la monarchie constitutionnelle (An 129-130)

Révolte et Tribune Serowitochi

En 129 sonne une aire de révolte pour les peuples Tawkirinais qui a déjà commencé à s’organiser depuis les derniers mois de l’an 128. Les peuples se soulèvent contre l’absolutisme du roi Talaki Tinikare qui gouverne presque seul, sans conseillers, du fait de sa paranoïa qui ne fait que s'accroître. Le 8 octobre 129 une importante manifestation est organisée dans la capitale du pays contre l’arbitraire total du roi et sa seule volonté à gouverner plutôt qu’à servir les peuples, alors qu’il venait de prendre un décret royal rejetant tous ses conseillers et toutes les barrières possibles contre les décisions qu’il pourrait prendre à l’avenir. Cette manifestation est fortement matée par le pouvoir transformant cette journée en une sanglante manifestation qui deviendra très vite une révolte de part l’indignation qu’elle suscite. Des célébrités, mais aussi des aristocrates, se révoltent eux aussi. Le 11 Novembre 129, la Tribune Serowitochi (tribune des armées) est publiée dans le journal le plus important de l’époque. Celle-ci prévoit que plus de 73% des militaires refusent de combattre contre le peuple pour protéger « un homme orgueilleux et égoïste ». Cette tribune fait effet de résonance au palais royal. Le roi est alors déplacé par sa garde royale dans un lieu gardé secret a cette date, qui s’avérera être finalement les sous-sols du palais royal.

Emprisonnement du roi et 1er Constitution

Une fois le déplacement du roi effectué, 6 des 8 gardes présents prennent les armes contre le roi et les 2 gardes restants : ils réclament que les prières du peuple soient exaucées. Le roi est alors laissé, emprisonné dans les sous-sols du palais, les deux autres gardes sont emmenés et emprisonné, l’un d’eux, dans une tentative de fuite, sera blessé et succombera deux jours plus tard, c’est le premier homme du côté pro-roi qui meurt, le 13 novembre 129. Le roi sera laissé 5 jours enfermé entièrement seul. Durant les jours de solitude, le roi s’épuise mentalement. Le 16 novembre 129, les militaires entrent dans la pièce où est gardé le roi, accompagné de représentants des peuples. Le roi est épuisé mais refuse de lâcher du pouvoir. Les révolutionnaires menacent de lâcher le roi en pâture à la foule. Le roi finit par accepter de reprendre des conseillers et de rétablir les barrières possibles à ses prises de décision. Il sera alors libéré mais plus que jamais seul contre tous, n’ayant plus de gardes. Après 1 mois, le roi, ayant peur de révolte qui ne s’était que très peu calmée, déclare qu’une Constitution sera établie par des élus pour encadrer son pouvoir afin qu’il ne soit que le serviteur du peuple. C’est le début de la monarchie constitutionnelle. Des élections sont alors organisées qui s'avèreront être un fiasco avec très peu d’organisation, de sécurité, et très peu de lieux de vote : dans tous le pays, seul trois lieux de votes sont établis. 49 personnes sont élues, qui fixeront les modalités et points importants que la Constitution doit contenir et éliront eux même 5 personnes pour rédiger la Constitution. Malgré les élections chaotiques, la Constitution est bien écrite et sera approuvée par les 49 élus. Celle-ci sera proclamée le 13 février 130 faisant Tawkirina une monarchie constitutionnelle. Dans la foulée les élections parlementaires sont organisées, une coalition est formée et pour la première fois, un premier ministre est nommé : Ousseyman Jiry. Le parlement des représentants des peuples, composé de 541 sièges mais de 538 représentants pour la première législature, reste en presque totalité monarchiste. Seuls 4 députés républicains sont représentés, ceci s’expliquant par l’histoire ancienne du pays ayant un peuple attaché à un roi symbole de réunion des peuples.

Abdication de Talaki Tinikare et régence de Eloi Poguira

Dans la foulée, alors que le roi est épuisé, il abdique le 16 février 130. Son fils, âgé d'à peine 11 ans, monte alors sur le trône, ayant comme régent un monarchiste absolutisme de 62 ans, Raiyo Eloi Poguira, ce qui ferra monter la peur au parlement et dans le peuple. Le 21 mars 130, le régent du roi, dans un décret royal, dissout le parlement, selon la procédure prévue dans la Constitution. Ceci ne fait qu’accentuer la crainte et la méfiance envers le roi et son régent. Pour la 2eme législature, le parlement est composé de 8 républicains mais de 266 représentants royalistes Girimaniste, des royalistes voulant la fin de la Dynastie des Négus et voulant mettre sur le trône, Tesfaye De la dynastie Girima restant un descendant du premier roi Mansa. Le 23 mai, une coalition est alors formée avec ces députés Girimaniste, le même premier ministre est nommé le 8 juin 130, après 16 jours, par le roi. Ce délai est jugé trop long par le parlement et décide, le jour même, de demander l’abdication du roi au profit de Tesfaye Girima. Le Régent ne répondra alors jamais à cette demande du parlement. Le premier ministre, Ousseyman Jiry, sous l’influence des représentants Girimaniste et avec l’aide de toute la coalition, dans son discours du 28 juin 130, au côté de Tesfaye Grima, plein de gravité et de crainte pour la suite de la Constitution, réussie à enrôler le peuple contre le Imy Négus, portant encore son premier nom du fait de sa minorité. À la suite de ce discours, Raiyo Eloi Poguira publie un décret royal qui dissout les représentants des peuples, une nouvelle fois. S’en est trop pour les représentants, le premier ministre et la population. Les députés décident d’ignorer cet acte. Le premier ministre est alors arrêté le 3 juillet, sous la décision de la Cour du Roi Mansa pour insurrection anti-constitutionnelle. C’est une tentative de coup d’État de la part du régent qui met le feu aux poudres. L’armée publie alors la « Tribune Serowitochi II » qui rappelle son soutien au peuple et la soumission de l’armée au parlement. Ouvrant la voie au parlement pour demander à l’armée d’agir contre le régent. Dans une dernière tentative, sans coercition, les représentants des peuples organisent une manifestation pour demander au roi d’abdiquer. Il est d’ailleurs dit que durant cette journée, le roi et sa mère veulent que le roi abdique mais le régent Raiyo Eloi Poguira refusera. Une action secrète est établie par le régent afin de maîtriser la foule. Durant cette opération, deux députés aux abords du cortège seront tués par l’armée au service du régent. S’ensuit alors deux semaines de révoltes sanglantes qui continuent d’être en faveur du peuple.

Menek Ak Atik, Roi de Tawkirina et nouvelle dynastie royale

Le 20 juillet 130, les grilles du palais tombent, il est dit que Tesfaye Girima est alors en tête du cortège héroïque. Personne ne veut tirer sur un descendant du premier Roi Mansa, le régent n’a pas le choix que d’abdiquer. L’intérieur du palais ne sera jamais foulé par la population respectueuse du Roi. Le prochain roi dans la liste de succession n’est pas Tesfaye Girima. Néanmoins, le premier prétendant au trône, de la dynastie Négus, et avec plusieurs aristocrates importants, accordent le trône à Tesfaye Girima qui monte sur le trône le 28 juillet 130 prenant le nom de Menek Ak Atik, signifiant « le renouveau ». La dynastie royale est encore, aujourd’hui, la dynastie Girima.

Géographie

La géographie du Tawkirina, site à l'est de l'Idylenie, est marquée par une diversité de paysages, des hauts plateaux aux vallées fertiles en passant par des montagnes majestueuses. Le Tawkirina partage des frontières avec plusieurs pays, dont Dacko, L'ancienne Iyroé, ou encore le Cessay, et possède une géographie unique qui a façonné son climat, sa topographie et sa biodiversité.

Climat et topographie

Le climat du Tawkirina varie considérablement en raison de sa géographie complexe. Les principales zones climatiques du pays sont les suivantes :

Paysage des vallées du Tawkirina

Climat Équatorial : Les régions côtières à l'est du Tawkirina connaissent un climat équatorial, caractérisé par des températures chaudes et une humidité élevée tout au long de l'année. Les précipitations abondantes favorisent une végétation luxuriante, y compris des mangroves le long de la côte.Climat de Montagne : Les hauts plateaux, qui s'étendent sur une grande partie du pays, bénéficient d'un climat de montagne. Les températures y sont plus fraîches, avec des variations saisonnières plus marquées. Les précipitations sont variables, créant des écosystèmes uniques adaptés à ces conditions changeantes.

Vue des plateaux du Tawkirina

Climat Semi-Aride : Les régions méridionales du Tawkirina connaissent un climat semi-aride, caractérisé par des précipitations plus faibles et des températures plus élevées. Cependant, ces régions connaissent encore une saison des pluies cruciale pour l'agriculture. Zone Désertique : Au nord du Tawkirina, on trouve une zone désertique aride, connue sous le nom de Desert de Besay. Cette région est caractérisée par des températures extrêmement élevées, des précipitations rares et des dunes de sable.

Paysage de la savane du Tawkirina

La vie dans cette zone désertique est limitée, mais elle abrite des communautés nomades qui ont développé des moyens ingénieux de subsister dans un environnement aussi inhospitalier ainsi que de très rare habitation fixes sur les zone rocailleuse du désert. La topographie du Tawkirina est une mosaïque de montagnes majestueuses, de hauts plateaux, de vallées fertiles et de zones désertiques. Les hauts plateaux s'étendent sur une grande partie du territoire tawkirinais. Ces étendues vallonnées sont situées à des altitudes élevées et sont caractérisées par une végétation verdoyante. Les hauts plateaux abritent une grande diversité de plantes endémiques et une faune variée.

Le Desert de Besay

Entre les hauts plateaux se trouvent de nombreuses vallées fertiles. Ces régions sont le berceau de l'agriculture tawkirinaise, grâce à des sols riches et à l'irrigation provenant des rivières et des lacs. Les cultures telles que le café, le thé et le blé prospèrent dans ces régions.Zone Désertique : À l'est du Tawkirina s'étend le Desert de Besay, une zone désertique aride qui occupe une portion considérable du territoire. Cette région est caractérisée par des dunes de sable, des étendues rocailleuses et des températures extrêmement élevées.Le Desert de Besay est l'une des zones les plus arides du Tawkirina et est habitée principalement par des communautés nomades qui ont développé des modes de vie adaptés à ce climat inhospitalier.

Cette diversité topographique joue un rôle essentiel dans la biodiversité du pays et influence les modes de vie de ses habitants.

Environnement

Le Tawkirina est béni d'une richesse environnementale remarquable, reflétant la diversité de sa géographie et de ses climats. Cependant, il fait également face à des défis environnementaux importants.

La géographie variée de Tawkirina abrite une riche biodiversité, avec de nombreuses espèces endémiques. Les hauts plateaux et les montagnes regorgent de flore et de faune, notamment des espèces rares et menacées. Les vallées fertiles soutiennent une agriculture diversifiée, tandis que les zones côtières abritent une variété d'espèces marines. Le Tawkirina est confronté à des défis environnementaux importants, notamment la déforestation due à l'expansion agricole et la dégradation des terres. Les zones arides et semi-arides, y compris le Desert de Besay, font face à des problèmes de désertification en raison de l'utilisation non durable des terres. Les variations dans les précipitations et les températures, associées aux événements climatiques extrêmes, ont des impacts sur l'agriculture, la disponibilité de l'eau et les écosystèmes faisant peser une inquiétude de famine comme celle vécue au Dawfiq.

En raison de sa topographie variée, Tawkirina gère ses ressources en eau de manière complexe. Les montagnes fournissent de l'eau douce vitale pour les régions en aval, tandis que les régions désertiques dépendent souvent des puits et des oasis. La gestion de l'eau est un défi majeur, avec un accent sur la préservation des écosystèmes aquatiques et l'amélioration de l'accès à l'eau potable.

Jusqu'à présent, le changement climatique n'a pas encore été pleinement pris en considération au Tawkirina, et les autorités n'ont pas mis en place de mesures significatives pour lutter contre ce problème. Malgré les signes évidents de variations dans les précipitations, les températures et les événements climatiques extrêmes, la sensibilisation et les actions liées au changement climatique restent limitées. Cela représente un défi majeur pour le pays, car il doit relever les défis environnementaux tout en s'adaptant aux effets du changement climatique.

Faune et flore

Babouin des plateaux du Tawkirina

La faune et la flore du Tawkirina présentent une diversité exceptionnelle grâce à la variété de climats et de paysages du pays. Le Tawkirina abrite de nombreuses espèces uniques, certaines en danger d'extinction, ce qui en fait une destination fascinante pour les amateurs de la nature et les biologistes.

Aigne Huphal Nisri, endémique du Tawkirina

Les hauts plateaux et les vallées du Tawkirina abritent une riche faune. On y trouve une variété de mammifères, notamment des éléphants, loup d'Idylenie, des hyènes, des babouins et des antilopes. Les montagnes sont également le refuge de nombreuses espèces d'oiseaux,certaines migratrices et d'autres résidentes, telles que l'aigle Huphal Nisri. Les cours d'eau et les lacs abondent en poissons d'eau douce, tandis que les côtes accueillent des tortues marines, des dauphins et une grande variété de poissons marins.

La flore de Tawkirina est tout aussi variée que sa faune. Les hauts plateaux et les vallées fertiles soutiennent une abondance de végétation, y compris des forêts d'acacias, de tamarins et de chênes. Les montagnes sont ornées de plantes alpines et de fleurs sauvages colorées. Parmi les espèces végétales les plus célèbres du Tawkirina figurent les théiers, qui produisent le thé'wkirina renommé dans le monde entier. De plus, la zone côtière est caractérisée par des mangroves, qui abritent une multitude d'espèces marines.

Les ressources limitées et d'autres priorités ont entravé les efforts de conservation, ce qui rend la préservation de la biodiversité de Tawkirina plus difficile.

Loup d'Idylenie

Malheureusement, le changement climatique non pris en considération menace également la faune et la flore de Tawkirina, en altérant les habitats naturels et en créant des défis nouveaux pour la conservation. Il reste encore beaucoup à faire pour protéger ces précieux trésors naturels, et la sensibilisation et l'action en matière de conservation sont cruciales pour l'avenir de la faune et de la flore de Tawkirina.

Politique

Partis politiques

Un parti politique est représenté au sein du parlement des lors qu'il obtient un sièges.

Il existe des partis politiques représenté dans l'ensemble des provinces tel que la Force Constantine (un parti traditionaliste Constantin militant pour une unique religion au Tawkirina, la défense des valeurs Constantine et, dans les extrêmes du parti, l'union de la foi Constantine et du Tawkirina), le Front Patriotique Tawkirinais (un parti d'extreme droite), Le Parti du l'Union Démocratique Tawkirinaise (parti de droite militant pour le développement industriel du pays et plutôt traditionaliste. Depuis les années 200, il milite aussi pour que le Tawkirina s'oriente vers le monde libre).

D'autres partis ne sont pas représenté dans toute les provinces mais dans la majorité tel que le Parti Social Tawkirinais (parti qui milite pour le développement sociale au Tawkirina en priorité et les droits des travailleurs), l'Organisation Démocratique des Peuples Mitsvaines (un parti représentant les droits des peuples Mitsvaines), le Parti du Monde Libre (un parti de centre militant pour que le Tawkirina rejoigne le monde libre et défendant les droits de l'Hommes), Les Eibadiques Tawkirinais (parti militant pour les droits des personnes de foi Eibadique).

D'autre parti sont présent dans quelques provinces tel que le Front de l’Impérialisme Absolue (un parti militant pour le retour de la monarchie absolue e tel retour de la Dynastie Négus en tant que Roi Mansa de Tawkirina ayant les pleins pouvoirs), le Mouvement Pan-idylénie (parti militant pour l'autonomie totale du continent et pour sa puissance sur le monde), le Mouvement Révolutionnaire Démocratique (un parti politique militant pour la fin de la monarchie au Tawkirina au profit d'une république présidentielle) et l'Union sociale Ohmarique-Serkalem-Koblye (un parti politique de gauche de même sensibilité que le parti social tawkirinais). Le protectorat du Kelimyana est aussi représenté au parlement avec les parti, uniquement présent au Kelimyana, tel que Les représentants du Kelimyana' et Autonomistes du Kelimyana (parti politique militant pour l'autonomie du Kelimyana).

D'autre partis ont été importants tel que le Parti pour la paix et l’amitié Iyroéenne et le Mouvement d’autonomie du Raked mais sont aujourd'hui dissous depuis la fin de la guerre avec l'Iyroée.