Différences entre les versions de « Union du Peuple Arianais »

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Version du 5 juin 2021 à 21:47

Union du Peuple Arianais
Ένωση του Αρίανικού Λαού
Logo_EAL.png
Informations générales
Président Yeoryeós Tsimikas
Président adjoint Alina Papageorgiou
Porte-parole Marina Eftesoglou
Date de fondation 176
Positionnement Attrape-tout
Idéologies Populisme
Étatisme
Panarianisme
Progressisme sociétal
Phoécioscepticisme
Anti mondialisation
Affiliation phoécienne Aucune
Site internet eal.ar
Informations nationales
Îles Arianes
Députés
158/300
Présidents de régions
4/18
Maires
358/814

L'Union du Peuple Arianais (en nouvel arianais Ένωση του Αρίανικού Λαού) est un parti politique arianais fondé en 176 par Angelós Vryzas et Tatiana Dimitriopoulou. Il est actuellement présidé par Yeoryeós Tsimikas.

Histoire

Création (176)

L'Union du Peuple Arianais est fondée en avril 176 à la suite du mouvement de grève générale de 175 et 176 par Angelós Vryzas, syndicaliste travaillant dans l'industrie du lignite, et Tatiana Dimitriopoulou, infirmière au Centre Hospitalier Régional de Tyrissos.

Ascension (177-179)

Le parti profite de la dynamique initiée lors de la grève générale de 175-176 pour se rendre rapidement populaire auprès de la population. Figurant parmi les fers de lance de ce mouvement de contestation, il se trouve systématiquement en tête de cortège lors des plus grandes manifestations. De cette manière, l'EAΛ engrange les soutiens et voit rapidement son nombre d'adhérents croître. De 2 500 membres en avril 176, le mouvement dépasse la barre des 40 000 adhérents à jour de cotisation en juillet 179. À l'aube des élections législatives de juillet 179, il devient ainsi le plus grand parti du pays.

Détention du pouvoir législatif (179 à aujourd'hui)

Le parti remporte haut la main les élections législatives de juillet 179, s'arrogeant 190 sièges sur les 300 en jeu à l'Assemblée de la République. Dans la foulée, il nomme un gouvernement d'ouverture, comportant 5 ministres issus de ses rangs et 3 indépendants.

Malgré un léger déclin observé au niveau de son nombre d'adhérents, passé de 40 000 en juillet 179 à 27 500 en novembre 183, l'Union du Peuple Arianais parvient à remporter à les élections législatives de novembre 183, même si son nombre de députés passe alors de 190 à 172.

L'Union du Peuple Arianais s'impose à nouveau lors des élections législatives de mars 187 dans un contexte tendu, alors qu'un mouvement de contestation de l'action gouvernementale perturbe la bonne tenue du scrutin. Son nombre d'élus à l'Assemblée de la République baisse à nouveau, passant de 172 à 158.

Boycott des élections présidentielles

L'Union du Peuple Arianais n'a jamais présenté de candidat à la fonction présidentielle depuis sa création, estimant ce poste symbolique et inutilement coûteux. À sa fondation, le parti militait d'ailleurs pour une suppression pure et simple de la fonction de Président de la République, avant d'abandonner cette revendication quelques années plus tard.

Présidents

Photo Nom (naissance - décès) Début du mandat Fin du mandat Élection
Tatiana Dimitriopoulou Tatiana Dimitriopoulou
(150-)
25 avril 176 23 août 180 Aucune
Anastasios Teresellis Anastasios Teresellis
(147-)
24 août 180 8 novembre 183 Août 180
Yeoryeós Tsimikas Yeoryeós Tsimikas
(153-)
9 novembre 183 en fonction Novembre 183 (anticipée)
Mars 1987

Ligne politique

Union Phoécienne

Opposée à la centralisation des pouvoirs et à l'oligarchie, l'Union du Peuple Arianais a toujours exprimé, depuis sa création, une relative hostilité envers l'Union Phoécienne. Le parti considère cette faction comme "peu démocratique" et "hostile à la souveraineté des Îles Arianes". Toutefois, le mouvement n'a jamais ouvertement proposé ni encore moins envisagé la sortie des Îles Arianes de la faction, ses penseurs économiques considérant une telle éventualité comme un suicide national.

Organisation de l'État et vie des élus

L'Union du Peuple Arianais a baissé de 75% les indemnités de l'ensemble des hauts fonctionnaires du pays en 185, estimant que ces derniers doivent avoir "un train de vie semblable à celui du citoyen moyen". Cette mesure a suscité un tollé ainsi qu'une vague de démissions dès son application. Toutefois, la Première Ministre de l'époque, Tatiana Dimitriopoulou, a estimé que "les Îles Arianes sont désormais débarrassées des mercenaires vénaux et autres plutocrates de la politique de métier". Le parti a également remis au premier plan la pratique du référendum citoyen, en ayant organisé 13 entre 179 et 190 sur des questions de premier plan : immigration, réformes économiques, politique territoriale...

Économie

En tant que parti étatiste, l'Union du Peuple Arianais a appliqué plusieurs réformes économiques successives visant à accroître l'intervention de l'État dans l'activité économique du pays. Le volet 2 de la réforme économique de 188 a d'ailleurs doté l'État d'un monopole total dans les secteurs du transport et de la santé.

En matière de politique publique, l'EΑΛ a entrepris dès 181 une réorganisation de l'ensemble des niveaux de l'administration arianaise, recrutant au passage près de 52 000 fonctionnaires entre 182 et 186. Le niveau de service des administrations a grandement augmenté dès alors, le ramenant à peu près au niveau moyen des services publics des pays de l'Union Phoécienne.

Enfin, le parti a activement agi pour mettre fin à la corruption des élus avec sa loi anticorruption de 184. Il a aussi mis en place des dispositions visant à neutraliser les montages d'évasion fiscale en 187.

Immigration

Bien qu'appliquant les directives phoéciennes sur cette thématique, l'Union du Peuple Arianais s'est régulièrement démarquée en réclamant la fin du droit du sol systématique pour le remplacer par un système d'étude au cas par cas des demandes d'asile et de naturalisation.

Certains militants du mouvement ont parfois participé à des manifestations anti immigration organisés par l'extrême droite arianaise, sans pour autant que sur le plan national, le parti n'apporte officiellement son soutien à ces dernières. Ces participations valent parfois à l'Union du Peuple Arianais d'être qualifiée de "parti crypto-fasciste" par certains médias ancrés à gauche.

Environnement

L'Union du Peuple Arianais souhaite une sortie progressive des énergies fossiles pour aboutir, à l'horizon 250, à une production nationale à 100% issue des énergies renouvelables.

Depuis son accession au pouvoir, le parti a permis de passer de 62% la part de production d'énergie issue du fioul et du lignite à 47%, augmentant parallèlement celle des énergies renouvelables de 5% à 13%. Des centaines de millions de Lyres ont en effet été investis dans les nouvelles énergies, en particulier la biomasse et le solaire.

Les gouvernements successifs dirigés par le mouvement ont également oeuvré afin de réduire les effets néfastes du tourisme de masse - secteur clé de l'économie arianaise - sur les écosystèmes (loi de lutte contre la résilience du littoral, décret de protection des forêts arianaises, création de 12 parcs naturels protégés...).

Santé

L'Union du Peuple Arianais est favorable à une démocratisation de l'accès aux soins, en particulier en ce qui concerne les populations les plus précaires. Elle a ainsi généralisé le tiers payant, créé une mutuelle d'État à destination des ménages à faibles revenus ou encore rendu obligatoire la mutuelle d'entreprise pour tout salarié d'une société arianaise.

Par ailleurs, le gouvernement Dimitriopoulou IV a lancé, en 188, un plan national de rénovation des établissements hospitaliers via une enveloppe de 450 millions de Lyres.

Engagements sociétaux

Favorable aux droits de la communauté LGBT depuis sa création, le mouvement a tour à tour légalisé le mariage entre personnes d'un même sexe (181) et mis en place une loi de lutte contre l'homophobie (183).

L'Union du Peuple Arianais a également légalisé la Procréation Médicalement Assistée (185) et la Gestation Pour Autrui (187). En dépit de la forte contestation d'une partie des Arianais - 76% étant pratiquants de la foi constantine - le mouvement a appliqué sa loi de droit à une fin de vie digne en 189, légalisant ainsi l'euthanasie sur consentement du patient.