Soramenca

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Soramenca
República Unitaria de Soramenca
République Unitaire de Soramenca
Drapeau Soramenca.png

« Diversidad y unidad »

(« Diversité et unité »)

Capitale Nieuw-Tulpstaadt
Hymne Canción de los patriotas (non-officiel)
fête de la liberté 31 décembre

Chef de l'État

Presidente de la República Unitaria

Président de la République Unitaire

Ashwin Wijdenbosch

Gouvernement

Régime politique République Semi-Présidentielle
Premier Ministre Johan Brunswijk
Gouvernement Brunswijk IV

Justice

Peine maximale appliquée peine de mort

Consejo de Justicia

Conseil de Justice

Corte Criminal

Cour Pénal

Forces armées

ejército nacional

armée nationale

EffectifsNaviresAéronefs
152 409
(1 490 520 mobilisables)
35
(2 amiraux)
276
Force non-conventionnelle inexistante

Diplomatie

Faction Dp Association du Traité d'Alaysa.png Association du Traité d'Alaysa

Démographie

Population 29 804 310 hab.
Plus grandes villes Nieuw-Tulpstaadt
Langues officielles Néo-féroen

Économie

Monnaie Sora (S)
1 S = 0,1 Ŧ
PIB 473 113 616 940 Ŧ
PIB/hab. 15 874 Ŧ/hab.
IDH 0,722 – Élevé
Taux de chômage 12,6%

Divers

Indicatif d'appel +91
Domaine internet .so

Soramenca, officiellement en forme longue la République Unitaire de Soramenca est un État souverain de Solinarie du sud.

Histoire

Période coloniale

Compagnie de la baie de Soramenca

En -295 les premiers navires de colonisation venus de Tulpstaadt débarquent sur la côte nord-est du continent Solinarien. Ces premiers colons, des marchands venues exploités les richesses du nouveau monde, fondent la Compagnie de la baie de Soramenca. Soramenca est choisi en référence à une tribune solinarienne qui portait vraisemblablement ce nom. La compagnie exploite les ressources en cacao et en tabac dont regorge le territoire, les colons commercent avec les tribus indigènes en échange d'un pacte mutuel de non-agression. La compagnie se développe et fonde de nouveau comptoir sur la côte. C'est ainsi que furent fondés les villes de Nieuw-Tulpstaadt, Hoost et Baai entre -225 et -180. Ces villes vont rapidement accueillir de nombreuses familles marchandes mais aussi quelques minorités religieuses souhaitant vivre plus librement au nouveau monde. A partir de -165 les colons vont petit à petit s'installer plus profondément dans les terres afin d'y planter de plus grandes exploitations de tabac. Les indigènes sont progressivement chassés de leurs terres et, pour ceux résistant, exterminés par les colons. En -140 est fondé, pour répondre au tension grandissante avec la Vice-Royauté de Lusitania, le fort de Rijkdom afin de prévenir des agressions des colonies Carlomanes.

République Coloniale de Soramenca

En -120, devant l'explosion démographique des villes fondés par les marchands, la compagnie se transforme en une république coloniale. Celle-ci va adopter une constitution libérale mettant en avant l'égalité de tous devant la loi. Cependant, assez rapidement il sera convenu pour les tribunaux que cette égalité ne vaux pas pour les indigènes installés sur les territoires détenues par la République coloniale. Celle-ci va connaitre un essor économique important du fait de ses exportations, évidemment, mais aussi du développement de l'industrie de part l'exploitation des réserves de fer et de charbon présent dans les montages au nord de la colonie. L'exploitation des grandes forêts tropicale va également apporté du bois de très bonne qualité nécessaire à la production navale de l'époque. Cependant, cette essor économique va se coupler à des luttes de plus en plus importantes avec les colonies de Carlomania. Une première guerre coloniale éclate entre la Vice-Royauté de Nueva Carlomania et la République Coloniale de Soramenca en -60 qui débouche sur l'annexion par Soramenca d'une partie importante de l'ouest du territoire. Les villes de Brokalon, Santa María et São João vont être incorporés à la République coloniale. Une seconde guerre éclatera en -35 permettant à Soramenca de finir de prendre possession de ses territoires actuels avec la prise de Nueva Heralcia et de Nueva Léonoedo.

Indépendance

Le 31 décembre -19 le Directeur de la République, Gerrit Kempenaer, annonce devant le parlement colonial être parvenu à un accord avec Tulpstaadt permettant à Soramenca d'obtenir l'indépendance et la souveraineté pleine et entière sur sa politique. Cet événement est célébré encore aujourd'hui et sera élevée au rang de fête nationale une vingtaine d’années après. Une constitution est rédigée par les parlementaires mais cette proposition, avantageuse pour l'Est, déplais fortement aux habitants des villes de l'ouest du territoire qui se soulève en juillet -21. Malgré la richesse des villes de l'est, celle-ci sont moins peuplés et doivent rapidement céder aux exigences des révoltés. De nombreuses institutions prennent le néo-féorens comme langue de fonctionnement et l'influence des anciennes villes carlomannes se retrouve renforcée. Un débat sur la capitale provoque de vif tensions, finalement c'est bien Nieuw-Tulpstaadt qui est choisi et non Nueva Heralcia. Cette dernière obtient tout de même le rôle de vice-capitale, le gouvernement pouvant en effet exercer son autorité dans cette ville en cas d'occupation de Nieuw-Tulpstaadt. La population de l’époque est répartie en trois grandes parties, 30% est originaire de Tulpstaadt, 55% de Carlomania et 15% pour les indigènes. Ces derniers sont cependant toujours sans droit. Ils n'en obtiendront qu'en 93 après le vote d'une proposition de loi allant en ce sens.

Géographie

Climat et topographie

Le climat de Soramenca est divisé en deux zones, le sud est recouvert d'une forêt tropicale et d'une Savane. Le nord quant à lui est montagneux et un désert tropical. Dans tous le pays les températures ne varient pas, ou très peu, tout au long de l'année.

Faune et flore

La faune de Soramenca est très diversifié du fait des différentes zones climatiques et de la faible densité de population, surtout dans le centre du pays. Soramenca accueil une grande variété d'amphibiens et d’oiseaux. On y retrouve également des mammifère comme des pumas ou des ours rouge, endémique de la région.

Oiseaux

Parmis les oiseaux présents à Soramenca on compte notamment sur le colibri, animal national du pays. Cependant, le colibri est loin d'être l'oiseau le plus impressionnant qui arpente le territoire car on y retrouve le fameux Condor Géant, un oiseau de proie d'une envergure moyenne de 4,5 mètres.

Mammifère

L'ourse rouge est une des nombreuses espèces du pays, vivant entre les forêts tropicales et les régions montagneuses les organisations internationales estiment qu'il n'y a plus qu'une centaine d’individus actuellement. De nombreuses mesures de protection ont étés mises en place afin de sauvegarder cet espèce d'ours ayant la particularité d'être assez grand, mesurant entre 2 et 3 mètre et dépassant souvent les 1 000 kg.