Hirana
Hirana IIIe République d'Hirana | ||||||||
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Capitale | Hiran | |||||||
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Hymne | L'Appel de la Liberté | |||||||
Fête de la Libération | 8 janvier | |||||||
Chef de l'État | ||||||||
Présidente de la République | ||||||||
S.Ex. Fiona Marais (PEA) | ||||||||
Gouvernement | ||||||||
Gouvernement d'Hirana | ||||||||
Régime politique | République parlementaire | |||||||
Chef du gouvernement | Dimitri Allaire (US) | |||||||
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Gouvernement actuel | {{{gouvofnow}}} | |||||||
Législature | ||||||||
Gouvernement d'Hirana | ||||||||
Palais Sénatorial |
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Président du Palais Sénatorial | Régis Cuvier (PNC) | |||||||
121 sénateurs élus à la proportionnelle avec prime majoritaire | ||||||||
Parti au pouvoir | Parti National-Conservateur | |||||||
Chambre des Députés |
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Présidente de la Chambre des Députés | Magalie Catteau (US) | |||||||
425 députés élus à la proportionelle par métropôle | ||||||||
Parti au pouvoir | Union Socialiste | |||||||
Justice | ||||||||
Cour Constitutionelle | ||||||||
Présidente de la Cour Constitutionnelle | Leona Cochran | |||||||
Peine maximale appliquée | 45 ans de réclusion | |||||||
Forces armées | ||||||||
Forces Armées Républicaines d'Hirana | ||||||||
Maréchal commandeur | Maréchal Caddle | |||||||
Effectifs | 114 000 (769 000 mobilisables) |
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État de la force non-conventionnelle | Interdite | |||||||
International | ||||||||
Statut | Nation souveraine reconnue | |||||||
Faction | Aucune | |||||||
Démographie | ||||||||
Plus grande ville | Hiran | |||||||
Population | 11 245 007 | |||||||
Gentilé | Hiranais(e) | |||||||
Langue officielle | Français | |||||||
Langues reconnues | Français | |||||||
Économie | ||||||||
Monnaie | Hira (Hr) | |||||||
IDH | {{{idh}}} | |||||||
Histoire | ||||||||
Union des trônes d'Hiran et de Lundy | 14 janvier -70 | |||||||
Chute de la monarchie | 12 juin 99 | |||||||
Début de la dictature militaire | 24 juillet 139 | |||||||
Rétablissement de la démocratie | 8 janvier 160 | |||||||
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Autres | ||||||||
Sens de conduite | Droite | |||||||
Indicatif téléphonique | +276 | |||||||
Domaine Internet | .hr | |||||||
Hirana ([ɔstaʁja]), ou République d'Hirana, est un État souverain localisée sur le continent phoécien.
Pendant 20 ans sous contrôle d'une junte militaire, la République d'Hirana a rétabli des élections libres au renversement du Général Bertillon en 159. Le pays est aujourd'hui une république parlementaire, dirigée par la Présidente Fiona Marais, première présidente élue démocratiquement depuis la chute du régime dictatorial.
Étymologie
Histoire
Royaume d'Hirana
Le royaume d'Hirana né des fusions des couronnes d'Hiran et de Lundy, à la suite du mariage entre la princesse héritière du trône d'Hiran Catherine d'Acton et le roi de Lundy Albert IV le 14 janvier -70. Face à la contestation des nobles de Lundy, le pouvoir monarchique dérive vers le système autoritaire, les nobles étant écartés petit à petit du pouvoir.
A la mort du roi Albert IV en -28 après 56 ans de règne sur Lundy, et 52 sur le trône réunifié, les nobles sont réintégrés au pouvoir par le nouveau souverain Edouard Ier avec la création de la Chambre du Roi, une Assemblée de 79 nobles élus par leurs pairs. Cette chambre est élue pour la première fois en -23, et est renouvelée tout les 10 ans, et après chaque couronnement.
En l'an 12, des formations politiques naissent au sein de la population exclues du système. Face à la monté dans la population des idéologies communistes, le roi fait discrètement construire un mouvement monarchiste en 14. Les nobles découvrent cette affaire en 15 et, craignant que le roi veuille faire élire les membres de la Chambre du Roi au suffrage universel, montent une armée contre le roi. Menacé, le roi abdique le 27 mars 16 et fait élire son successeur par la Chambre du Roi. Arthur Carter, prétendant au trône depuis plus de 15 ans est élu à l'âge de 42 ans, un record car jamais un roi n'était entré en fonction aussi âgé. C'est le début de la dynastie carterienne.
Il fait arrêter les soutiens de la précédente dynastie et fait assassiner en public le roi Edouard Ier le 29 septembre 15. La vingtaine de membres de la Chambre du Roi partisans du roi Edouard Ier sont dépossédés de leurs titres, de leurs biens, et donc de leur place dans la chambre.
À la mort de Arthur Carter en 55, c'est son petit-fils, Philippe Carter qui est sacré à 34 ans. En 86, une rumeur de la volonté du roi de diminuer les pouvoirs de la Chambre du Roi agacent les nobles. Après 3 veines tentatives de calmer leur colère en 87, le roi décide d'élire la Chambre du Roi au suffrage universel.
Ces élections ont lieu en 88. Deux grands partis dominent la vie politique avant ce scrutin (du fait de leur naissance officieuse des décennies auparavant) : le Parti Monarchiste et le Parti Communiste (pro-républicain). Ces élections donnent les communistes vainqueurs avec 41% des voix, devant les royalistes (38%). Ne disposant pas de majorité absolue, les communistes ne parviennent pas à créer de coalition républicaine et à engager une procédure de révision constitutionnelle.
Les secondes élections législatives ont lieu en 92. Porté par un contexte de peur du communisme et d’un soutien massif des petites mouvances royalistes, le Parti Monarchiste remporte haut-la-main le scrutin avec 47% des voix. Il s’affranchit de ses alliés pour gouverner seul.
En 96, les communistes parviennent cette fois-ci à rafler une majorité des sièges de la Chambre du Roi, s’appuyant notamment sur la gestion calamiteuse par le roi des crises sanitaires de 93-94. Après deux ans de bataille juridique avec le Parti Monarchiste (soutenu activement en coulisse par la famille royale), le roi Philippe Carter accepte la tenue d’un référendum sur l’abolition de la monarchie.
La campagne du référendum suscite un enthousiasme sans précédent dans un pays aux antécédents démocratiques peu nombreux. Le roi en personne s’implique publiquement dans la campagne, participant même à un débat public avec le leader communiste. Les peu de sondages diffusés donnent les deux camps au coude-à-coude. Les communistes arrachent la fin de la monarchie avec 51,7% des suffrages exprimés. Le roi Philippe Carter reconnaît la fin de la monarchie mais annonce qu’il va poursuivre son combat pour le maintien de la royauté.
Ière République
IIème République
Dictature militaire
Ère actuelle
Géographie
Climat et topographie
Environnement
Faune et flore
Société
Population
Langue
Culture
Religion
La religion est assez peu présente sur le territoire hiranais. Elle se concentre principalement sur les métropoles d'Acton et de Mierfield réputées plus conservatrices.
71% des citoyens sont athées et 21% sont constantins sur l'ensemble du territoire.