Philippe Ier

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Philippe Carter
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Fonctions
Roi d'Hirana
Mandat 18 mai 55 - 12 juin 99 (45 ans)
Député d'Hiran
Mandat 21 septembre 99 - 15 avril 103
Métropole Hiran
Groupe parlementaire Parti Monarchiste
Biographie
Nom de naissance Philippe Carter
Genre Masculin
Titulature Roi d'Hirana
Nationalité Dp hirana.png Hirana

Naissance 15 novembre 21
Hiran, Dp hirana.png Hirana
Décès 15 avril 103
Hiran, Dp hirana.png Hirana
Sépulture Cimetière National Hiranais

Religion Athée
Engagement Parti Monarchiste
Famille
Famille Dynastie Carter
Parents Arthur Carter, Marie d'Hirana
Fratrie Joséphine, Edouard

Philippe Carter est le dernier roi d'Hirana et un homme politique hiranais.

Biographie

Jeunesse

Règne

Politique post-monarchie

Alors que l’Autorité électorale le force à abandonner le trône dès le 12 juin, il annonce le jour même qu’il sera candidat au Congrès du Parti Monarchiste. Le Président sortant du parti, Edgar Pierrat, ancien chef du gouvernement sous la monarchie, refuse de se retirer se sachant très populaire auprès des militants. Seulement, en ouverture du Congrès, les militants inflige un premier revers à leur leader en choisissant à 65% contre 35% la motion du roi déchu. Le lendemain, à la surprise générale, le roi surclasse le match, remportant 93,87% des voix. Son adversaire est tenu responsable par les militants de la défaite au référendum. Sonné et furieux de ce putsch interne, Edgar Pierrat quitte avec fracas le parti et annonce qu’il se présentera à l’élection présidentielle.

Les relations finissent par se réchauffer entre les deux hommes puisque flatté par des sondages favorables, l’ancien monarque propose à son prédécesseur de devenir chef du gouvernement en cas de victoire. L’alliance est annoncée 10 jours avant le premier tour, alors que le dissident tournait autour de 5% d’intentions de vote. L’événement ne suffit pas pour placer nettement l’ancien monarque en tête des enquêtes d’opinion devant le communiste Antoine Lazard. Cependant, dynamique et présent dans les médias, Philippe Carter a une chance selon la majorité des observateurs.

Donné dans les sondages à moins de 5 points de son rival au premier tour, il est finalement largement devancé de presque 14 points. Alors qu’il appelle à un large rassemblement contre le communisme, seul le candidat conservateur accepte de le rallier tandis que les centristes refusent au dernier moment de soutenir le roi.

La campagne de l’entre deux tours est désastreuse, de nombreux cadres royalistes demandent un retour aux affaires d'Edgar Pierrat et le candidat peine à rassembler dans son propre camp. De plus, les conservateurs pestent en interne contre un candidat inexpérimenté en campagne électorale. Sans surprise, le roi est battu au second tour avec un score encore inférieur aux maigres résultats annoncés par les sondages.

Malgré de grandes tensions en interne, il refuse de céder sa place de tête de liste nationale pour les élections législatives. Bien qu’il parvienne logiquement à sauver sa deuxième place, le parti est très largement battu et la coalition de gauche triomphe de nouveau. Elu député, peu osent de tenter un renversement interne, dans l’espoir que son âge le contraindra à lâcher la tête du parti.

Malgré les espoirs des grands caciques du parti, l’ancien chef de l’état tient bon à la tête des monarchistes. Le poste sera occupé par l’ancien roi jusqu’à sa mort.

S’ouvre alors une grande période de débat sur la tenue ou non de funérailles nationales. Les communistes l’accusent d’avoir voulu rétablir la monarchie en 99 en se présentant à la présidence de la République. Socialistes et centristes refusent de venir sur un terrain qu’ils estiment minés. Enfin, en public, tout les royalistes du pays réclament la tenue de ces funérailles nationales, même si en privé beaucoup gardent beaucoup d’amertume envers celui qui a mis dans une grande difficulté les monarchistes. Un vote à bulletin secret à l’Assemblée a lieu et la tenue d’une cérémonie nationale est largement rejetée.