Guioti
République de Guioti Repubblica di Guioti | ||||||||
Depuis le 7 décembre -63
(293 ans, 11 mois et 15 jours) |
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Il Diamante |
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Capitale | Saliona | |||||||
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Fête de la Révolution | 7 décembre | |||||||
Chef de l'État | ||||||||
Chef de la Fédération | ||||||||
Pietro Rizzo (RDP) | ||||||||
Gouvernement | ||||||||
Conseil des Ministres | ||||||||
Régime politique | République parlementaire unitaire | |||||||
Président du Conseil des Ministres | Luis Vatili (UNAC) | |||||||
Vice-Président du Conseil des Ministres | Fransisco Derri, (PCC) | |||||||
Gouvernement actuel | Conseil Vatili | |||||||
Législature | ||||||||
Parlement | ||||||||
Type | Parlement tricaméral | |||||||
Conseil des 300 | ||||||||
Doyen du Conseil | Marcello Di Sabato (Indépendant) | |||||||
300 membres élus par le Sénat et la Chambre des Députés | ||||||||
Sénat de la Fédération | ||||||||
Présidente du Sénat | Rosetta Criaco (LDL) | |||||||
355 sénateurs élus au suffrage indirect par les Grands Représentants | ||||||||
Parti au pouvoir | Ligue de la Liberté | |||||||
Président de la Chambre des Députés | ||||||||
Président de la Chambre des Députés | Ernesto Lazzarini (UNAC) | |||||||
500 députés élus à la proportionnelle | ||||||||
Parti au pouvoir | Rassemblement des Patriotes | |||||||
Justice | ||||||||
Conseil d'État | ||||||||
Président du Conseil d'État | Luisa Arimondo | |||||||
Peine maximale appliquée | Exécution par guiotine | |||||||
Forces armées | ||||||||
Légion Insulaire | ||||||||
Général-en-chef de Guioti | Général Luigi Spaghetti | |||||||
Effectifs | 22 318 (170 337 mobilisables) |
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International | ||||||||
Statut | Nation souveraine reconnue | |||||||
Faction | Aucune | |||||||
Démographie | ||||||||
Plus grande ville | Saliona | |||||||
Population | 851 685 hab. | |||||||
Gentilé | Guiotin(e) | |||||||
Langue officielle | Guiotin | |||||||
Économie | ||||||||
Monnaie | Forza de Guioti (₣G) | |||||||
Taux de change | 1₣G = 0,61Ŧ | |||||||
PIB | 99 843 891 450 Ŧ | |||||||
PIB/hab | 117 231 Ŧ/hab. | |||||||
Histoire | ||||||||
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Autres | ||||||||
Sens de conduite | Droite | |||||||
Indicatif téléphonique | +315 | |||||||
Domaine Internet | .gt | |||||||
La République de Guioti, surnommée Bella isola (belle île) par certains poètes et écrivains, est un petit État insulaire souverain Phoécien. Son emplacement géographique propice au développement du commerce, couplé à une politique fiscale plus qu'avantageuse, permet à la petite république parlementaire de s'assurer des revenus importants.
Étymologie
Histoire
Colonisation Constantine
On ne connait pas, ou presque pas, l'histoire de l'île avant sa colonisation par la République Constantine dans les alentours de -1427 à la même époque que la mise du Royaume carlomanique sous clientèle. Certains archéologues estiment que la population locale était minime et qu'il est probable que les colons Constantins n'eurent aucune difficultés à balayer celle-ci.
La colonisation de l'île de Guioti, à l'époque appelé le Rocher, n'est pas du au hasard. Sa situation stratégique dans le contrôle de la mer de feu et sa beauté la rendait particulièrement attractive. Assez rapidement, par ailleurs, un certains nombre de riches généraux prirent leurs retraites sur le rocher pour finir leur beau jour. En -1397 un grand poète Constantin du nom de Fortitudo Guiotinex écrivit que l'île "était certainement le plus bel endroit sur terre ou le temps est long et agréable et ou la seul responsabilité de ses maîtres est de la maintenir hors du temps et de son agitation." Par ailleurs, Fortitudo Guiotinex passera de nombreuses années sur l'île à qui il donnera son nom.
Début de la République de Guioti
Fin de la République consulaire
Après plusieurs années d’instabilité politique dû à la corruption des grandes familles guiotinne qui conservaient le pouvoir entre leurs mains depuis plus de 100 ans, le général Gabriel Feronichi, populaire auprès du peuple, décida de renverser le Consul Humbert II et son gouvernement et de proclamer une nouvelle constitution. La constitution de la République de Guioti, plus libéral et surtout démocratique fut adopté en -63. Bien que certains prirent peur de voir s'installer à Guioti un régime plus dictatorial et militaire il n'en fut rien. Feronichi après une période de stabilisation de 2 ans décida de se présenter pour devenir Chef de la Fédération, il fut élu très largement avec 82% des suffrages. Il resta au pouvoir jusqu'en -56. A la tête du régime il engage la République dans une politique de neutralité diplomatique. C'est cette neutralité qui entrainera sa démission après un désaccord avec Augustinio Piana alors président du Conseil depuis -61.
La Chefferie de Grima
Franseco Grima, général et ayant participé au renversement du Consulat, devient chef de la fédération après la démission de Feronichi. L'élection de ce général, connue pour ses positions très conservatrice, à la chefferie de la fédération entraine la victoire des partis de droite à la chambre des députés. Luigi Duante, opposant historique au libéralisme, est nommé Président du Conseil. Cependant, son mandat prend fin subitement après que les partis les plus centriste quitte la coalition et oblige le Grima à dissoudre la chambre.
Les élections qui suivent permettent à la gauche de reprendre le pouvoir, Piana se retrouve une nouvelle fois au pouvoir. Il met en place une politique de libéralisation de l'économie, conclut des accords avec de nombreux pays phoécien. Sous sa présidence l'école devient obligatoire de 7 à 12 ans. De nouvelles élections sont organisés un an avant la fin du mandat, Grima et Piana s'opposant sur la question de la neutralité diplomatique.
Ernest Meline est nommé Président du Conseil après une élection ou aucune majorité ne se dégage. Son mandat est surtout de transition bien qu'on remarque une volonté de combattre le travail des enfants mais cette idée est très vite stoppée par de nombreux députés. Meline reprend le pouvoir après les élections législatives de -45, faisant suite un an auparavant à l'élection d'Antonio Triest à la chefferie, mais cette fois-ci à la tête d'une coalition libérale, il mène une politique de modernisation de l'économie guiotinne. La monnaie, le système bancaire et les assurances sont modernisées. Ces réformes permettent à l'île de devenir un centre financier important en Mer de feu.
Seconde guerre de la Mer du feu
Le 12 juin -40, la seconde guerre entre Fortizza et Guioti est déclarée. C'est la première crise majeur que doit traverser la République. La Présidence du Conseil est confiée au général Fissiani qui mène la guerre pendant 3 ans. Pendant cette période Guioti voit sa suprématie martime être sévèrement remise en question. La guerre se conclut sur un statut-co et prend fin -38.
Après la guerre, les élections voient la gauche revenir au pouvoir avec la coalition menée par Augusto Garibald qui est nommé Président du Conseil. Son mandat est marqué par la codification du droit pénal et du droit civil. Son gouvernement finance la modernisation du port de commerce et des chantiers navals du pays.
Les 17 ans de Fissiani
Le général Fissiani revient au pouvoir mais cette fois-ci via les élections, son parti de droite conservatrice obtient la majorité des suffrages. Très populaire, il prend de nombreuses décisions populistes comme la création d'ateliers nationaux pour les sans-emploi, ou encore le renforcement du service militaire qu'il étend de 2 à 3 ans. Sous sa présidence qui dure 8 ans, il renforce l'armée de Guioti et notamment sa marine militaire. Il achète au Saphyr et à la Lysennie de nombreux navires de guerre. La dette de l'île explose mais cela n'impacte pas la popularité du général. En -24 il est élu Chef de la fédération à la suite de la mort d'Antonio Triest.
En devenant chef de la fédération, Fissiani va diriger la politique de Guioti. Le Président du Conseil, le général Salli, est membre du parti de Fissiani et beaucoup affirme qu'il n'est qu'une marionnette. L'opposition surant cette période est de plus en plus contrôlée, la presse est censurée et l'armée infiltre la vie politique. 2/3 des députés du Parti Patriotique de Fissiani sont des officiers de l'armée de terre ou de la marine. Quelques manifestations éclatent en -17, celle-ci sont brutalement réprimées par l'armée. Finalement le règne de Fissinani se termine à la fin de son mandat, celui-ci décidant de rendre le pouvoir. Certains historiens affirment que ce choix est dû à une maladie dégénérative dont le Chef de la fédération était victime depuis quelques années.
Transition Depretis
Les élections de -15 voient une nouvelle victoire du Parti Patriotique mais cette fois, les conservateurs doivent s'allier au centre pour former une coalition. Au même moment Augusto Garibald est élu Chef de la fédération rompant avec le règne des militaires à cette position. L'amiral Depretis devient président du conseil. Il tente de normaliser le parti en donnant un peu plus de liberté à la presse, avec l'autorisation des caricatures du gouvernement notamment. En -13 il démissionne à la suite de pression issue de l'aile droite de son parti.
Libéralisation
La gauche remporte les élections de -13 permettant à Luis Benedetti, principal opposant à Fissiani, de devenir Président du Conseil. Pendant les 5 ans ou il dirige le pays il met un terme à la surveillance et à la répression des partis d'opposition, il libère la presse guiottine de la censure et interdit la présence de militaire en fonction à des postes politiques. Cette décision va provoquer une vague d’indignation de la part du Parti Patriotique réduit à une trentaine de députés. Ceux-ci sont donc immédiatement révoqués de leurs fonctions politiques. L'armée à ce moment fait pression sur Garibald pour dissoudre. Garibald décide de prendre des mesures fermes, il dépolitise l'armée et évite de peu un coup de force.
Après la libéralisation politique sous la présidence de Benedetti, un nouveau parti politique émerge l'Union Libéral de Guioti (ULG) qui va remporter haut la main les élections de -7. Gabriel Asconi devient président du conseil et mène une politique économique se résumant dans la phrase qu'il prononce en -6 devant les députés "Enrichissez-vous". Il promeut l'apparition d'une classe moyenne et libéralise les échanges. En -6 le conservateur Roberto Spadolini est élu chef de la fédération.
Benedetti revient au pouvoir en -2 à la tête d'une courte majorité. Mais son gouvernement explose en -1 après que le président du conseil ouvre la coalition au nouveau groupe politique socialiste qui vient de se former.
Après la courte période de retour de la gauche, l'ULG revient au pouvoir et Asconi redevient Président du Conseil. Il occupera cette position pendant 10 ans. Il mène une série de réforme visant à réduire la sévérité du code pénal ou encore en autorisant le divorce. Il est aussi confronter à un conflit ouvert avec Fortizzia de l'an 3 à l'an 7. Cette guerre, la troisième, voit cette fois-ci une victoire de Guioti du fait se sa supériorité économique. L'an 9 voit la fin de la présidence d'Asconi, il ne se représente pas et l'ULG explose en plusieurs ligue centriste.
Présidence Pelloux
Le Parti Patriotique connais une renaissance avec les élection de l'an 10, Francesco Saracco, ambassadeur de Guioti en Fédération-Unie sous le mandat d'Asconi. La droite conservatrice au pouvoir montre un visage plus libéral et moins militariste. Saracco va notamment créer la banque centrale Guiotinne. Le Chef de la Fédération, Luigi Figali élu en l'an 10, va dissoudre la chambre après que Saracco est émis l'idée de mettre fin à l'interdiction de cumul d'un poste militaire et politique.
Pour la première fois dans l'histoire de Guioti, le groupe socialiste va devenir majoritaire. Le militant Ivanoe Pelloux va devenir Président du Conseil grâce à une alliance avec les groupes de gauche progressiste. Pelloux va ainsi mener des politiques novatrice bien que limité par les membres plus modérés de la majorité. Le travail des enfants de moins de 10 ans est interdit, l'école devient gratuite et les sans-emplois obtiennent des allocations de l'État. Les libéraux et les conservateurs vont très vivement s'opposer à la politique de Pelloux. En 18, les élections vont donner une victoire à la coalition de la droite et du centre.
Réaction conservatrice
Saracco redevient Président du Conseil et mène une politique de détricotage des avancés sociales menée par Pelloux. Les allocations sont supprimées, le travail des enfants est de nouveau autorisé dans le domaine agricole et l'école est privatisée. Ce programme très conservateur va lui attirer les foudres des partenaires plus modérés de la coalition. Cependant, les élections suivantes lui redonnent une majorité confortable. Il parvient à revenir sur la loi de non-cumul des emplois militaires et politique. Il est assassinée par un militant socialiste en 24. Le vice président du conseil prend alors la suite.
Ère moderne
Anni d'oro
En 117 la Constitution de Guioti est enfin modifié pour y inclure le droit de vote des femmes, l'élection au suffrage universelle directe de la chambre des députés et la possibilité pour le Conseil d'État de mettre en cause la responsabilité pénale du Chef de la Fédération. A l'initiative de cette grande réforme le Chef de la Fédération social-libéral Antonio Conti qui gouverne de 109 à 127 en s'appuyant sur une large majorité progressiste ouverte au centre.
Guioti connait, entre 115 et 131, une période, appelé "Anni d'oro" (années d'or), de forte croissance économique lié à l'expansion du milieu bancaire sur l'île. Conjointement de grand investissement de l'État sont effectués dans l'économie à cette période, fait rare dans ce pays traditionnellement très libéral qui se méfie des pouvoirs publics. Les routes, les chemins de fer, les installations portuaires sont modernisés et des mesures sociales sont mises en place. En 129 la réforme Britza, du nom du Président du Conseil de l'époque, instaure un salaire minimum, interdit formellement le travail des enfants et crée des allocations pour les personnes sans emplois.
Nero inverno
Mais cette période de prospérité prend fin brutalement le 3 janvier 132 alors qu'un scandale politico-financier concernant des membres du gouvernement, dont le Président du Conseil Mario Cabrio, d'une ampleur sans précédente éclate. Impliquant des détournements de fonds, des accords avec des entreprises privés pour avoir accès aux informations de certaines personnalités disposant d'un compte sur l'île, ou encore de lien avec la mafia, cette affaire à un retentissement tel que le climat des affaires se détériore brusquement. De nombreuses grandes fortunes retirent brusquement leur argent des banques guiotinnes et des grandes entreprises délocalisent leur siège social dans d'autre pays. De plus, on assiste à des manifestations gigantesque pour réclamer la tête du gouvernement et on pense même un temps à un renversement du gouvernement par l'armée pour rétablir le calme.
Cette situation chaotique dure tout l'hiver 132, on appel cette période le "Nero inverno" (l'hiver noir), et prend fin le 12 Mars quand Mario Cabrio se fait finalement renverser par la chambre des députés. Le Chef de la Fédération décide de convoquer des nouvelles élections en annonçant dissoudre la chambre des députés dès le 15 Mars.
L'élection législative de 132, marqué par une méfiance de la population dans les pouvoirs publics, voit la victoire écrasante du parti ultra-libéral.
Rivoluzione liberale
Après le Nero inverno et la convocation de nouvelles élections par le Chef de la fédération c'est la liste ultra-libérale qui, dans un contexte de méfiance envers les pouvoirs publics, remporte largement les élections. Avec près de 47% des suffrages les ultra-libéraux domine la chambre et le Président n'a pas d'autre choix que celui de se plier à leur exigence. Sandro Colombo nomme Pablo Grivaldi, économiste et figure du libéralisme à l'époque, Président du Conseil. La politique s’apparente à une révolution, les aides sont presque toutes supprimés, les services publics sont privatisés, les impôts sont diminués de près de 60%, les réformes de Britza sont supprimés. Cette politique fait revenir massivement les investisseurs et les grandes fortunes sur l'île et la croissance est en forte hausse. Malgré tout les ménages les plus précaires se retrouve dans la grande pauvreté et certains quartiers deviennent le symbole de la misère. Les quelques manifestations sont réprimés sévèrement par le gouvernement qui se montre sans pitié. Mais les classes moyennes supérieures et les plus aisés l'adore et son parti obtient 32% des suffrages a l'élection legislative de 137 forçant cette fois-ci Grivaldi à faire des compromis avec les conservateurs et les libéraux plus modéré. Son second mandat voit la préservation des réformes déjà faite lors de son premier mandat ainsi que quelques nouvelles réformes tel que la réorganisation de la police ou la modernisation de l'armée.
Ère conservatrice
A la suite de la Présidence Grivaldi qui a boulversé Guioti les élections législatives de 143 voit la victoire des partis modérés. De cette victoire née une coalition qui voit l'ancien diricteur à la Banque centrale, Bettino Spadolini, être nommé Président du Conseil. Il ménera une politique d'apaisement en finançant des logements sociaux pour les plus précaires tout en menant une politique de contrôle budgétaire très stricte dans un contexte de forte spéculation économique. Mais, dès 148 la coalition modérée perd la majorité au profit de la droite conservatrice. Roberto Mancino est nommé suite à la victoire des conservateurs aux élections législatives. Mancino restera Président du Conseil pendant 15 ans et mènera une politique dite "conservatrice-sociale" en refusant l'élargissement de l'avortement et en aidant les plus pauvres du pays par la création d'allocations chômages et de la prise en charge des opérations médicales les plus couteuses. Sa stabilité au poste qui l'occupe et permise grâce à la compétence de Mancino, ancien chef d'entreprise, qui est reconnu par tous les partis d'opposition.
Valse Bragui
Fausto Casini accéde au pouvoir, son parti libéral ayant gagné les élections de 163. Cet ancien banquier mis en place une politique dit "des priviligiés" consistant à donné un certain nombre de droit et de grande liberté au grande fortune et aux grandes entreprises. Mais en 165 le Chef de la fédération, Mathéo Bragui, pourtant du même parti, s'oppose à Casini sur le budget et dissout la chambre des députés. Suite à cette dissolution la gauche accède au pouvoir et Sergio Giordano prend la tête d'une coalition minoritaire et décide de travailler sur une réforme de la constitution visant à réduire fortement le rôle du chef de la Fédération. Cette réforme déplaît à Bragui qui menace d'une nouvelle dissolution. Sergio remet finalement sa démission et Casini revient au pouvoir s'appuyant sur un appuie du centre gauche. Encore une fois Mathéo Bragui s'oppose à Casini et dissout l'assemblée. Les citoyens, pour montrer leur opposition au Chef de la Fédération, votent massivement pour des partis moins conventionnelles. C'est donc la gauche socialiste qui remporte pour la première fois les élections triplant leurs scores habituels. Paolo Fregnio, nommé président du Conseil, mène une politique très à gauche qui conduit Bragui à une nouvelle fois dissoudre l'assemblée alors que son mandat personnel prend fin.
Cette période dite "Valse Bragui" a vu en 8 ans quatre changement de gouvernement successif et trois dissolution. Elle remet fermement en cause le rôle du Chef de la Fédération dans la politique guiotinne et marque un point de rupture avec les années Mancino.
Période récente
Alors qu'un nouveau Chef de la Fédération, Julio Frizilis, qui promet de se mettre en retrait vis à vis de la politique est élu une coalition de centre droit arrive au pouvoir et une femme, Francesca d'Alema, est nommée Présidente du Conseil. Elle méne une politique économique et fiscale libérale et, en parallèle, elle s'engage pour la cause des femmes en autorisant la PMA, en élargissant l’accès à l'avortement et en facilitant les procédures de divorce. Son mandat prend fin en 179 après qu'elle est démissionner suite à un scandale de corruption l'impliquant. Suite à sa démission un bras de fer politique s'engage à la chambre des députés et aucune coalition n'est trouvé, Julio Frizilis décide finalement de dissoudre l'assemblée suite à une demande de la part des sénateurs et du Conseil des 300 s'inquiétant pour la stabilité du pays. Les élections voit la gauche l'emporter dans un contexte de mécontentement contre la classe politique corrompu. Maria Britza, petite fille de Piano Britza Président du Conseil (123-130), est nommée Présidente du Conseil sous l'étiquette socialiste. Elle mène une politique sociale en autorisant le droit de gréve aux fonctionnaires hors policiers et militaires, rendant l'éducation gratuite pour tous, en créant un impôts sur l'immobilier et en créant des allocations pour les handicapés. Après de nouvelle élection la gauche empêtrée dans des luttes internes est écarté du pouvoir et le centre gagne haut la main. Dans la foulé Marcus Fibilo, ancien ministre des affaires extérieurs entre 168 et 169, est nommé Président du Conseil. Se concentrant sur le fait de rassurer les chefs d'entreprises après un mandat socialiste il parvient à apaiser le climat des affaires. Il meurt d'un cancer en 187, avant de pouvoir finir son mandat, et le Chef de la Fédération décide de rompre avec ses habitudes en décidant de dissoudre la chambre des députés pour éviter la nomination de Fredi Julio que Julio Frizilis trouve "nullissime et dangereux." Cette dissolution permet à Maria Britza et à la gauche de revenir aux affaires mais avec une coalition moins stable qui empêche les grandes réformes de se faire.
Le Nouveau Chef de la Fédération, Alessandro Pastore, dissout la chambre des députés et les nouvelles élections voit le centre revenir au pouvoir et Fredi Julio nommé Président du Conseil. Il mènera pendant 5 ans une politique tourné vers le commerce en investissant dans les infrastructures portuaires pour faire du port de Saliona un passage de choix dans le transport de marchandises dans la région. En 195 les conservateurs arrivent au pouvoir après avoir été marginalisé pendant 32 ans et Pïetro Rizzo est nommé Président du Conseil. Controversé, il montre ses volontés de limiter l'avortement et de revenir sur de nombreux droits acquis ses dernières années.
Géographie
Climat et topographie
Environnement
Faune et flore
Société
Population
La population de Guioti, d'après le dernier recensement, est de 851 685 habitants. Démographiquement Guioti est un pays marqué par une forte stabilité oscillant entre 0.2% et -0.1% de variation par an. On peut expliquer ce phénomène par une très faible immigration et la non présence de politique familiale ou nataliste.
Langue
La langue officiel et majoritaire de l'île est le Guiotin, un dérivé du Constantin qui a évolué grâce aux échanges commerciaux et aux particularités de l'île.