Élections sénatoriales hiranaises de 184

180
Élections sénatoriales de 184
121 sénateurs
12 septembre 184
Type d’élection	Proportionnelle avec prime
Corps électoral et résultats
Population	12 588 994
Inscrits	8 722 962
Participation	74,37 %
Martin Rollet RD
Voix	2 148 629
33,46 %
Sénateurs	54
Odile Beaubois PNC
Voix	1 655 459
25,78 %
Sénateurs	26
Éric Herman US - PEA
Voix	1 490 426
23,21 %
Sénateurs	23
Hémicycle

Les élections sénatoriales hiranaises de 184 renouvellent l’ensemble des 121 sièges de sénateurs.

Contexte

Ces élections se tiennent suite à la dissolution du Parlement par le nouveau Président Nathanaël Deniau. Elles ont lieu le même jour que les élections législatives.

Elles se tiennent dans un contexte de forte division de la majorité sortante. La Chef du Gouvernement Séverine Plantiveau annonce son retrait et laisse donc la gauche sans chef légitime. Le ministre de la Sécurité Éric Herman, 75 ans, est désigné chef de file de la liste d’union des socialistes et des écologistes. Cette décision provoque la colère d’une partie des écologistes qui regrettent l’absence de liste autonome. Plusieurs d’entre eux, menés par la Ministre de la Justice Axelle Robineau, mènent une liste indépendante.

Résultats

Résultats officiels

Candidat		Votes	%	Sièges
	Martin Rollet Rassemblement Démocrate	2 148 629	33,46	54
	Odile Beaubois Parti National-Conservateur	1 655 459	25,78	26
	Éric Herman Union Socialiste (PÉA)	1 490 426	23,21	23
	Fabrice Gisin Parti Communiste	508 581	7,92	8
	Marion Lécole Parti Patriotique Royaliste	491 244	7,65	8
	Axelle Robineau Dissidents PÉA	127 145	1,98	2
Votes exprimés		6 421 484	98,98
Votes blancs et nuls		66 015	1,02
Total		6 487 499	100
Abstention		2 235 463	25,63
Inscrits / participation		8 722 962	74,37

Comme attendu, les centristes remportent nettement les élections sénatoriales. Disputée entre gauche et droite, la seconde place revient finalement aux conservateurs. Martin Rollet négocie alors avec les conservateurs un gouvernement majoritaire dans les deux Chambres du Parlement et est nommé Chef du Gouvernement.

Le scandale de corruption qui entraîne la fin de la IIIe République amène une nouvelle Constitution qui retire le Palais Sénatorial des institutions. De ce fait, ces élections sont les dernières du genre dans l’Histoire hiranaise.