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L'instauration du Protectorat royal a assuré à la dynastie Al-Rajhi une stabilité prolongée dans le pays. En effet, les ennemis de l'étranger n'étant plus un souci pour la politique nationale, les forces du pays ont pu dans les années qui suivirent le protectorat organiser de vastes opérations de démantèlement des réseaux contre la famille royale, qu'ils aillent des républicains à des familles rivales qui rêvent d'obtenir le trône depuis longtemps.
L'instauration du Protectorat royal a assuré à la dynastie Al-Rajhi une stabilité prolongée dans le pays. En effet, les ennemis de l'étranger n'étant plus un souci pour la politique nationale, les forces du pays ont pu dans les années qui suivirent le protectorat organiser de vastes opérations de démantèlement des réseaux contre la famille royale, qu'ils aillent des républicains à des familles rivales qui rêvent d'obtenir le trône depuis longtemps.


Cette période de calme s'est traduite par un statu-quo à l'échelle du pays : les politiques publiques n'ont que très peu bougé entre -50 et 115, date de l'indépendance, et les mêmes élites restaient favorisées
Cette période de calme s'est traduite par un statu-quo à l'échelle du pays : les politiques publiques n'ont que très peu bougé entre -50 et 115, date de l'indépendance, et les mêmes élites restaient favorisées.
 
Cependant, après le départ des forces lyseniennes en 115 qui participaient pourtant grandement au maintien de l'ordre intérieur, la famille Al-Rajhi s'est retrouvée en très grande difficulté alors qu'une des plus importantes familles nobles du pays faisait faillite. Rapidement, en 120, une famille rivale - les Asad - réussissait à réunir les forces armées derrières elles et à saisir l'appareil d'État.
 
Le nouveau régime, fondé sur la monarchie incarnée par Nihad Asad et sur une junte militaire appelée le Conseil de la Sécurité Nationale, a mené dès son installation une politique de forte répression et de coopération avec des militaires qui trempaient dans des affaires civiles. Ainsi, la plupart des grandes familles du pays furent expropriées violemment alors que l'administration se militarisait au profit d'une stratocratie autocratique. Les grandes filières économiques aux mains d'oligarques proches de l'armée, le rôle de la monarchie se réduisait fortement jusqu'en 128 où le Général Sa'id, soutenu par l'Union de Novgrad et des volontaires socialistes, menait un Coup d'État rapide et s'accaparait l'appareil d'État à son tour.


==État populaire de Tigzirt==
==État populaire de Tigzirt==

Version du 13 juillet 2021 à 22:24

Tigzirt
Daïras-Unis
Communes-Unies
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Capitale
Devise Devise
Hymne Hymne
Fête Nationale patate
Chef de l'État
oui
oui
oui
oui
oui
oui
Gouvernement
Régime politique
Justice
Forces armées
International
Statut Nation souveraine reconnue
Faction LENA
Démographie
Plus grande ville
Population
Langue officielle
Économie
Monnaie
IDH {{{idh}}}
Histoire
Autres

Le Tigzirt ([tiguezirte]), officiellement en forme longue Communes-Unies de Tigzirt' mais plus fréquemment désigné Fédération du Tigzirt, anciennement désigné par l'appellation impropre État des Tigzirtanais, est un État souverain du nord de l'Idylénie.

Le pays est une fédération constituée de communes fédérées dotées d'un haut niveau d'autonomie et reconnues comme un pays par la communauté internationale.

Le Tigzirt est une république constitutionnelle, dotée d'un Parlement qui exerce la majeure partie du pouvoir politique, et un Chef d'État, le Président de la République, qui occupe une fonction essentiellement symbolique, bien que la Constitution lui reconnaisse certaines obligations.

Étymologie

Histoire

Antiquité

jusqu'à -1300

Fondation du Royaume de Tigzirt

Aux alentours de -300, la puissance et l'influence du Chef Mahir Al-Rajhi lui permirent d'imposer, plus ou moins sur l'intégralité du territoire contemporain de Tigzirt, son autorité. Le Royaume de Tigzirt était né, avec le couronnement officiel en -280 du Roi par tous les chefs tribaux qui se sont vu octroyés des titres de noblesses dans la foulée.

Rapidement, une administration aristocratique et autoritaire s'est instaurée pour articuler les différentes branches du Royaume. Ainsi, la famille Al-Rajhi s'est imposée comme souveraine et leur méthode de gouvernement autocratique offrit une grande stabilité aux territoires de Tigzirt dont la population doublait presque entre -250 et -50. Des citadelles, infrastructures, monuments furent érigés en masse durant cette période.

Aux alentours des années -40, des tensions grandissantes entre Tigzirt et ses voisins obligèrent le Roi Alim Al-Rajhi à se rapprocher de la puissance lysenienne qui avait établit contact depuis une vingtaine d'année sur les côtes. Ces pourparlers et tensions débouchèrent en -50 à l'instauration du Protectorat royal de Tigzirt sous la couronne lysenienne, le Roi de Tigzirt devenant un sujet du Roi de Lysennie.

Protectorat royal de Tigzirt

L'instauration du Protectorat royal a assuré à la dynastie Al-Rajhi une stabilité prolongée dans le pays. En effet, les ennemis de l'étranger n'étant plus un souci pour la politique nationale, les forces du pays ont pu dans les années qui suivirent le protectorat organiser de vastes opérations de démantèlement des réseaux contre la famille royale, qu'ils aillent des républicains à des familles rivales qui rêvent d'obtenir le trône depuis longtemps.

Cette période de calme s'est traduite par un statu-quo à l'échelle du pays : les politiques publiques n'ont que très peu bougé entre -50 et 115, date de l'indépendance, et les mêmes élites restaient favorisées.

Cependant, après le départ des forces lyseniennes en 115 qui participaient pourtant grandement au maintien de l'ordre intérieur, la famille Al-Rajhi s'est retrouvée en très grande difficulté alors qu'une des plus importantes familles nobles du pays faisait faillite. Rapidement, en 120, une famille rivale - les Asad - réussissait à réunir les forces armées derrières elles et à saisir l'appareil d'État.

Le nouveau régime, fondé sur la monarchie incarnée par Nihad Asad et sur une junte militaire appelée le Conseil de la Sécurité Nationale, a mené dès son installation une politique de forte répression et de coopération avec des militaires qui trempaient dans des affaires civiles. Ainsi, la plupart des grandes familles du pays furent expropriées violemment alors que l'administration se militarisait au profit d'une stratocratie autocratique. Les grandes filières économiques aux mains d'oligarques proches de l'armée, le rôle de la monarchie se réduisait fortement jusqu'en 128 où le Général Sa'id, soutenu par l'Union de Novgrad et des volontaires socialistes, menait un Coup d'État rapide et s'accaparait l'appareil d'État à son tour.

État populaire de Tigzirt

de 128 à 141

État libre des Tigzirtanais

de 141 à 164

Révolution des libertés

164-165

République des Daïras-Unis de Tigzirt

165-aujourd'hui

Ere républicaine

167-aujourd'hui

Ère actuelle

aujourd'hui

Géographie

Frontières

Environnement

Faune et flore

Société

Population

Langue

Culture

Religion

Éducation

Crime et sécurité civile

Droits humains

Politique

Couronne Impériale

Gouvernement

Législature

Hauts-fonctionnariat

Organisation territoriale

Partis politiques

Forces armées

Relations étrangères

Économie

Finances

Industries dominantes

Égalité sociale

Infrastructures

Architecture et urbanisation

Monuments

Transports

Eau et énergie

Divers

Personnalités connues

Anecdotes