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'''Ostaria '''([ɔstaʁja]), ou '''République d'Ostaria''', est un État souverain localisée sur le continent phoécien.
'''Ostaria '''([ɔstaʁja]), ou '''République d'Ostaria''', est un État souverain localisé sur le continent phoécien.


Historiquement monarchie absolue,  le pays s'est établi en république en 160, reconnue par quelques pays souverains, au sortir d'une [[Guerre Civile Ostarienne|guerre civile]] qui a vu le pays passer sous une brève période de monarchie constitutionnelle sous le règne de la [[Dynastie Delfrous|dynastie Delfrous]].  
Historiquement monarchie absolue,  le pays s'est établi en république en 160, reconnue par quelques pays souverains, au sortir d'une [[Guerre Civile Ostarienne|guerre civile]] qui a vu le pays passer sous une brève période de monarchie constitutionnelle sous le règne de la [[Dynastie Delfrous|dynastie Delfrous]].  

Version du 1 juillet 2019 à 08:30

Ostaria
IIIe République d'Ostaria
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Armes républicaines
Armes républicaines
Drapeau
Drapeau

Capitale Lunont
Devise Égalité, Paix, Union
Chef de l'État
Président de la République
S.Ex. Jérôme Plassel (MUR)
Gouvernement
Gouvernement d'Ostaria
Régime politique République constitutionnelle semi-présidentielle
Premier Ministre Alexandre de Bretigny (MUR)
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Gouvernement actuel {{{gouvofnow}}}
Législature
Assemblée Nationale
Type Parlement monocaméral
Président de l'Assemblée Nationale Christian Duroux (MUR)
251 députés élus par circonscription
Parti au pouvoir Mouvement Uni pour la République
Justice
Président de la Haute-Cour Constitutionnelle (vacant)
Présidents de la Cour Suprême John Wilkilson

Agnès Wagner
Peine maximale appliquée Prison à perpétuité incompressible
Forces armées
Forces armées ostariennes
Chef d'État-Major Général Archibald Leduc
Effectifs 178 478
(150 000 mobilisables)
État de la force non-conventionnelle Illégale
International
Statut Nation souveraine reconnue
Faction Aucune
Démographie
Plus grande ville Lunont
Population 56 262 164 hab.
Gentilé Ostarien(ne)
Langue officielle
Économie
Monnaie Osta (O$)
PIB 1 136 255 478 O$
PIB/hab 20 276 O$/hab.
IDH {{{idh}}}
Histoire
Guerre civile ostarienne 155 - 158
Constitution de la IIIème République 4 décembre 160
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Autres
Sens de conduite Droite
Domaine Internet .os

Ostaria ([ɔstaʁja]), ou République d'Ostaria, est un État souverain localisé sur le continent phoécien.

Historiquement monarchie absolue, le pays s'est établi en république en 160, reconnue par quelques pays souverains, au sortir d'une guerre civile qui a vu le pays passer sous une brève période de monarchie constitutionnelle sous le règne de la dynastie Delfrous.

Le pays est une république constitutionnelle présidentielle, disposant d'un parlement monocaméral, l'Assemblée Nationale.

Étymologie

Histoire

Antiquité

Les tribus qui forment Ostaria depuis la préhistoire se développent, peu à peu, jusqu'à former des villes. C'est notamment le cas des Agins, dans l'actuelle Lunont, et des Mænais, dans l'actuelle Menargues. Les Mænais ont de plus en plus d'influence, et agrandissent leur territoire à l'est, vers la mer. Ils rassemblent les autres tribus au sein de leur État antique, plutôt que de les soumettre par la force. Les Agins, quant à eux, développent leur cité au fur et à mesure, tout en faisant face à leur principal rival, dans la région : les Orbosnois. Les guerres entre ces deux populations seront très régulières, mais jamais quiconque ne prendra vraiment l'avantage … jusqu'à ce que, un jour, les Orbosnois, après une audacieuse campagne militaire, mettent à sac Lunont et mettent fin à la puissance des Agins. Renforcés, ils assoient leur capitale dans la grande ville conquise. Dans le reste d'Ostaria, les tribus s'affrontent ou s'allient ; parfois, elles parviennent à en conquérir d'autres. Des cités se forment, mais rien d'aussi splendide, célèbre et influent que Menargues et Lunont. À la fin de l'Antiquité, le visage d'Ostaria est encore divisé. Les cultures sont différentes, et le mot « Ostaria » est un mot-valise pour désigner tous les peuples qui vivent entre les montagnes du nord et du sud-est (les Ostes sont un peuple du nord-ouest du pays, et les Ériens, du sud-est ; ces deux peuplades n'ont pas vraiment de grande importance historique et ne se sont sans doute jamais connues).

Ère classique

Peu à peu, les cités antiques se transforment en petits royaumes. Petits ? Pas tous. L'Orbône (issu des Orbosnois et de Lunont) est particulièrement grand et puissant. Il s'agit d'une monarchie absolue de droit divin. Petit à petit, cet État accumulera des vassaux par sa grande puissance militaire, dans tout l'ouest d'Ostaria ; les seigneurs qui coopéreront resteront au pouvoir sur leur territoire (et vassaux de l'Orbône) ; les autres seront simplement tués et remplacés par un membre de la famille royale, ou leur pays sera simplement annexé à l'Orbône ou à un autre de ses vassaux. À Cavour, les quelques peuplades se sont unifiées en une seule bannière : le Royaume de Cavour. Il s'agit, ici aussi, d'une monarchie absolue (mais pas de droit divin). Rapidement, la nation développe une grande puissance maritime. L'affrontement entre Cavour et l'Orbône durera pendant tout le Moyen-Âge : l'Orbône ne pourra pas contrôler les mers, face à la puissante flotte de Cavour, tandis que Cavour ne pourra pas s'installer durablement sur le continent, à cause de la puissante armée terrestre de l'Orbône. Menargues reste une cité-État mercantile et pacifique. Son commerce important lui permet de devenir une ville florissante. Il s'agit d'une république oligarchique, où les riches marchands seuls se prononcent. Au nord de Menargues, on craint la puissance orbônoise menaçante. De ce fait, les quelques États s'allient à Cavour. Ils ne resteront pas bien longtemps tels quel, soumis à l'armée orbônoise, et non protégés par la flotte de Cavour – on est au milieu du continent –, et le roi d'Orbône installera des membres de sa famille à la tête de ces nations, désormais vassales. Au sud de Menargues, plutôt que de se positionner ouvertement contre l'Orbône, les nombreuses cités s'associeront en la Confédération des Cités Libres du Bacapy, une monarchie élective où seuls peuvent voter et se présenter les chefs des différentes cités. La confédération offrira à de maintes reprises à Menargues la possibilité de devenir membre et capitale du pays ; mais cela n'intéressera pas la cité-État. À la fin du Moyen Âge, un apaisement des relations s'installe entre Cavour et l'Orbône.

Ère nobiliaire

Au fil du temps, les relations entre l'Orbône et Cavour s'améliorent. De plus en plus d'élites pensent qu'il est nécessaire de mettre fin aux affrontements entre les deux États. Au début de l'époque moderne, la rivalité entre les deux États n'est plus d'actualité. On peut aussi imaginer une importante menace étrangère qui force les deux nations à se rapprocher (il faudrait voir ça avec les MJ des autres micronations). Dans ce contexte, un mariage est conclu entre le roi Willerand III d'Orbône et la princesse Anne-Lise, héritière du trône de Cavour (à Cavour, les femmes pouvaient accéder au trône aussi bien que les hommes). Si chacun d'eux reste, de leur vivant, souverain de son pays, leur fils aîné, Charles Ier, devient, à la mort de son père, roi d'Orbône, puis, à la mort de sa mère, quelques années plus tard, roi de Cavour (ils ont eu la chance d'avoir un garçon, comme aîné, car la cour de Cavour aurait reconnu une fille aînée comme reine de Cavour, et tout se serait écroulé ; par la suite, on décidera que seul un homme peut siéger sur le trône de Cavour et d'Orbône, pour éviter que l'union des deux pays ne survienne). Le Bacapy prend alors peur : et si, maintenant que l'Orbône et Cavour sont durablement alliés et que leur puissance militaire est largement accrue, ils s'avisaient d'étendre leur territoire à l'est ? Menargues aussi se sentait menacée, d'autant plus qu'elle était petite et riche. Le Bacapy saisit alors l'occasion pour demander (encore) à Menargues de s'unir à lui. Et Menargues saisit l'occasion pour répondre (encore) qu'il n'en était pas question. L'Orbône et Cavour lancent alors une grande campagne militaire contre le Bacapy. Le roi d'Orbône et de Cavour est bien supérieur, mais le Bacapy se ruine à contrer ses attaques. Le conflit durera alors plusieurs années, jusqu'à ce que le roi du Bacapy meure, laissant derrière lui un pays dévasté. Contre la promesse de laisser aux souverains des différentes villes leur pouvoir antérieur et en échange de la paix, le roi d'Orbône et de Cavour parvient à recueillir les suffrages des chefs des villes, lors de l'élection du nouveau roi. Le roi devient roi d'Orbône, de Cavour et du Bacapy (bien que le Bacapy, à la mort du roi, ne soit pas obligé d'élire l'héritier du trône d'Orbône et de Cavour, il le fera tout de même systématiquement, jusqu'à la Révolte des vassaux). On commence à parler de royaume d'Ostaria. Quant à Menargues, elle doit s'acquitter d'un tribut pour poursuivre ses activités commerciales. Une taxe est instaurée par les alliés de l'Orbône pour les bateaux de la mer d'Ylésia. Après quelques mois, les riches marchands (car c'est toujours une république oligarchique), en échange de la suppression de la taxe et du tribut, qui mettaient leur prospérité en péril, accepteront de choisir le roi d'Orbône, de Cavour et du Bacapy. comme souverain légitime et de mettre ainsi fin à leur république (le roi devient ainsi roi d'Orbône, de Cavour, du Bacapy et de Menargues, mais on parlera alors de plus en plus de roi d'Ostaria).

Unification du Royaume d'Ostaria

En ce début d'époque contemporaine, Ostaria réclame toujours plus d'impôts de ses vassaux. Cavour et l'Orbône rayonnent, tandis que le Bacapy et les autres vassaux restent peu développés. C'est dans ce contexte que le roi Myrélian II a deux fils. À sa mort, l'aîné devient roi, conformément à la règle, sous le nom de Jacques Ier. Cependant, le cadet, en conflit avec son frère et avide de pouvoir, n'accepte pas cette situation. Promettant de faire entrer la confédération dans la prospérité, en la développant massivement, et sans la soumettre à l'Orbône et à Cavour, il parvient à se faire élire roi du Bacapy à la place de son frère, sous le nom de Byélige VI (Byélige Ier étant le premier roi du Bacapy, celui qui avait réussi à bâtir l'union des cités qui la composent). Par les mêmes promesses, il obtient le soutien des seigneurs vassaux du nord d'Ostaria et de l'Aupagne. C'est ainsi que débute la Révolte des vassaux (même si le Bacapy, un acteur important, n'était pas à proprement parler un vassal). Le conflit, difficile pendant les premiers mois pour les habitants d'Orbône et de Cavour (car l'Orbône et Cavour étaient privés de l'Aupagne et du nord de l'Orbône actuelle, qui fournissaient une bonne partie des denrées alimentaires de l'Orbône et de Cavour), mais surtout pour les habitants de Menargues, loyale à Jacques Ier, assiégée par les vassaux (et incapable de continuer ses activités commerciales, à cause des batailles navales fréquentes qui faisaient fuir les marchands), devient vite dominé par l'imposante armée de Jacques Ier. Après quelques années, Orbône et Cavour ont repris le contrôle de tout le pays. Byélige VI est emprisonné et mis à mort, de même que les autres seigneurs vassaux. Jacques Ier prend le pouvoir ; tout le pouvoir. Il supprime les vassaux et rallie l'ensemble du pays directement à la couronne d'Ostaria. Cependant, il accepte de favoriser le développement des territoires hors des anciennes Orbône et Cavour, afin d'éviter qu'un tel événement se reproduise. Le pays est à nouveau uni, pour longtemps.

Chute de la monarchie et fondation de la Ière République

Bien des années plus tard, l'apparition d'Internet permettra la communication avec un grand nombre d'individus, sans pouvoir être identifié. Le pouvoir, qui avait déjà subi quelques contestations par le passé, n'était pas préparé à l'avènement d'un tel média, qui symbolise la liberté de l'information, face aux autres médias, contrôlés par le roi. Des mouvements politiques (illégaux) pullulent sur Internet. Beaucoup prônent la remise en question du pouvoir royal absolu, en faveur d'une monarchie parlementaire, ou, souvent, d'une république. Parmi eux, le mouvement le plus influent est le Rassemblement pour une Démocratie Ostarienne (RDO), fondé par François Dickson (sous un pseudonyme). On trouve également le Mouvement Liberté (prônant le libéralisme économique et politique) et Debout Ostaria, le mouvement, alors d'une faible importance, de Jérôme Plassel. Les idées démocratiques se répandent parmi la population. Le vieux roi Sigmar Ier meurt. Son fils aîné, le mal-aimé futur Willerand XI, doit alors prendre le pouvoir. Mais, dans toutes les grandes villes, des manifestations ont lieu contre l'arrivée au pouvoir de cet homme antipathique, qui méprise le peuple. Elles sont violemment réprimées : de nombreux manifestants perdent la vie ou sont emprisonnés. C'est une grave erreur, pour le pouvoir : de nombreux mouvements politiques, associés en Union Populaire appellent à un soulèvement populaire, qui a effectivement lieu. Le prince renonce au pouvoir et quitte le pays. L'Union Populaire devient légitime aux yeux d'une grande partie de la population ; pour les autres, elle le deviendra peu à peu. Les personnalités importantes des mouvements, qui n'étaient alors connus que par des pseudonymes, révèlent leur nom et leur visage. Les cadres des mouvements de l'Union Populaire, en tant qu'Assemblée citoyenne, désignent un gouvernement provisoire, sous la conduite de François Dickson, chargé de mettre en place les bases de la République, sous le contrôle de ladite l'Assemblée Citoyenne.

Ère actuelle

Géographie

Climat et topographie

Environnement

Faune et flore

Société

Population

Langue

Culture

Religion

Éducation

Crime et sécurité civile

Droits humains

Politique

Présidence

Gouvernement

Législature

Organisation territoriale

Partis politiques

Forces armées

Relations étrangères

Économie

Finances

Industries dominantes

Égalité sociale

Infrastructures

Architecture et urbanisation

Monuments

Transports

Eau et énergie

Divers

Personnalités connues

Anecdotes