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Il est d'abord nommé Maître de Conférence en histoire de la vie politique en Licence de Sciences Politique en 196. L'année suivante, on lui demande d'enseigner l'histoire du droit et des institutions et la politique comparée. De 202 à 206, on lui demande d'effectuer un remplacement en droit constitutionnel. Toujours dans cette pratique d'être un bourreau de travail, il commence à faire cours sur les problèmes et enjeux du monde contemporain et laisse temporairement les cours d'histoire sur la vie politique à son ancien élève [[Marius Delamare]], nouvellement enseignant.
Il est d'abord nommé Maître de Conférence en histoire de la vie politique en Licence de Sciences Politique en 196. L'année suivante, on lui demande d'enseigner l'histoire du droit et des institutions et la politique comparée. De 202 à 206, on lui demande d'effectuer un remplacement en droit constitutionnel. Toujours dans cette pratique d'être un bourreau de travail, il commence à faire cours sur les problèmes et enjeux du monde contemporain et laisse temporairement les cours d'histoire sur la vie politique à son ancien élève [[Marius Delamare]], nouvellement enseignant.


En 206, [[Pierre Leroy]], Vice-Doyen de la Faculté DSP (Droit et Sciences Politiques) et mentor, lui propose de passer le concours pour devenir Professeur des Universités, concours qu'il réussi. Dès 210, il enseigne ainsi en Licence et en Master Sciences Politique.
En 206, [[Pierre Leroy]], Vice-Doyen de la Faculté DSP (Droit et Sciences Politiques) et mentor, lui propose de passer le concours pour devenir Professeur des Universités, concours qu'il réussi. Dès 210, il enseigne ainsi en Licence et en Master Sciences Politique (politique comparée des sociétés).


Lorsque Pierre Leroy quitte son poste en 212, ce dernier le recommande pour prendre sa succession auprès du Doyen [[André Roland]], et Henri Debré finit par obtenir le poste. Il conserve cependant certaines tâches d'enseignement (histoire de la vie politique, droit constitutionnel et enjeux du monde contemporain) et co-dirige la Faculté jusqu'en 214.
Lorsque Pierre Leroy quitte son poste en 212, ce dernier le recommande pour prendre sa succession auprès du Doyen [[André Roland]], et Henri Debré finit par obtenir le poste. Il conserve cependant certaines tâches d'enseignement (histoire de la vie politique, droit constitutionnel et enjeux du monde contemporain) et co-dirige la Faculté jusqu'en 214.


Suite à la réforme de l'[[Université Nationale d'Ostaria]], il est nommé Recteur de l'UNO, poste qu'il  occupe encore à jour.
Suite à la réforme de l'[[Université Nationale d'Ostaria]], il est nommé Recteur de l'UNO, poste qu'il  occupe encore aujourd'hui. Il décide d'arrêter le droit constitutionnel lors de sa nomination afin de se décharger un peu.
 
En 216, il ne prend plus en charge les enjeux du monde contemporain, au profit de l'histoire du droit et des institutions. Enfin, il abandonne l'enseignement de la politique comparée des sociétés en 220 au profit des actualités constitutionnelles.


=Thèses et travaux=
=Thèses et travaux=

Version du 1 novembre 2025 à 19:59

Henri Debré
Henri Debré.png
Fonctions
Recteur de l'UNO
Lieu de travail Université Nationale d'Ostaria
Année Depuis 214 (30 ans, 5 mois et 21 jours)
Vice-Doyen des Facultés
Lieu de travail Université Nationale d'Ostaria
Filière Faculté de Droit et de Science Politique
Année 212-214 (2 ans)
Maître de Conférence (200-209)
Professeur des Universités (210-...)
Lieu de travail Université Nationale d'Ostaria
Filière Faculté de Droit et de Science Politique
Cours enseigné Histoire de la vie politique
Droit constitutionnel
Histoire du droit et des institutions
Problèmes et enjeux du monde contemporain
Biographie
Nom de naissance Henri Debré
Genre Homme
Nationalité Drapeau d'Ostaria (République).png Ostaria

Naissance 15 janvier 173 (71 ans)
Bridame, Choignaux, Drapeau d'Ostaria (République).png République d'Ostaria
Résidence Lunont, Orbône, Drapeau d'Ostaria (République).png République d'Ostaria

Alma mater Faculté de Droit et de Science Politique d'Illonlieu (192-199)
Activité professionnelle Politologue, Professeur des Universités
Famille

Henri Debré, né le 15 janvier 173 à Bridame (Choignaux), est un universitaire et politologue ostarien, spécialisé dans l'histoire politique et le droit constitutionnel.

Ses apports majeurs dans le champ de la connaissance politique concerne l'histoire de la vie politique d'Ostaria et de Jaslandia, mais aussi sur le droit constitutionnel et les enjeux du monde contemporain. Ces travaux lui ont permis d'avoir une reconnaissance dans le milieu des politologues.

Biographie

Jeunesse et études

Né le 15 janvier 173 sous la IIIème République d'Ostaria à Bridame, il passe toute sa jeunesse à Bridame. Alors qu'il prépare son baccalauréat, Henri Debré quitte Ostaria pour effectuer un séjour de 6 mois durant sa dernière année à Jaslandia pour y découvrir la vie locale. Rentrant finalement à un mois du baccalauréat, il l'obtient avec la mention "Très Bien" en 187.

Élève en Faculté de Droit et de Sciences Politique de Lunont, il obtient sa Licence, sa Maîtrise et enfin son doctorat en 195 sur l'étude constitutionnelle de la IIIème et de la IVème République d'Ostaria. Passant le concours pour devenir Maître de Conférence en 195, il est reçu 3ème sur 42. Il se lance alors dans la recherche sur l'histoire de la vie politique jaslandaise.

Carrière Universitaire

Il est d'abord nommé Maître de Conférence en histoire de la vie politique en Licence de Sciences Politique en 196. L'année suivante, on lui demande d'enseigner l'histoire du droit et des institutions et la politique comparée. De 202 à 206, on lui demande d'effectuer un remplacement en droit constitutionnel. Toujours dans cette pratique d'être un bourreau de travail, il commence à faire cours sur les problèmes et enjeux du monde contemporain et laisse temporairement les cours d'histoire sur la vie politique à son ancien élève Marius Delamare, nouvellement enseignant.

En 206, Pierre Leroy, Vice-Doyen de la Faculté DSP (Droit et Sciences Politiques) et mentor, lui propose de passer le concours pour devenir Professeur des Universités, concours qu'il réussi. Dès 210, il enseigne ainsi en Licence et en Master Sciences Politique (politique comparée des sociétés).

Lorsque Pierre Leroy quitte son poste en 212, ce dernier le recommande pour prendre sa succession auprès du Doyen André Roland, et Henri Debré finit par obtenir le poste. Il conserve cependant certaines tâches d'enseignement (histoire de la vie politique, droit constitutionnel et enjeux du monde contemporain) et co-dirige la Faculté jusqu'en 214.

Suite à la réforme de l'Université Nationale d'Ostaria, il est nommé Recteur de l'UNO, poste qu'il occupe encore aujourd'hui. Il décide d'arrêter le droit constitutionnel lors de sa nomination afin de se décharger un peu.

En 216, il ne prend plus en charge les enjeux du monde contemporain, au profit de l'histoire du droit et des institutions. Enfin, il abandonne l'enseignement de la politique comparée des sociétés en 220 au profit des actualités constitutionnelles.

Thèses et travaux

Thèse : "Étude constitutionnelle de la IIIème République et de la IVème République d'Ostaria"

Après l'obtention de son baccalauréat, il s'intéresse au changement de République qui a eu lieu en 190 et en produit ainsi un premier livre (La IIIème République d'Ostaria, un régime de continuité, 199). Il poursuit son travail de recherche en établissant une comparaison entre la IIIème République et la IVème République, sujet qui fera l'objet de sa thèse.

Engagement politique

Réforme de l'UNO

Répondant présent à l'appel de son ancien élève Marius Delamare, il s'est montré disponible pour échanger sur la réforme de l'Université Nationale d'Ostaria. Il s'est alors toujours montré pour la réforme, estimant que l'institution avait besoin d'être réformé.

Publications

  • Étude constitutionnelle de la IIIème République et de la IVème République d'Ostaria (thèse), 195.
  • La IIIème République d'Ostaria, un régime de continuité, 197.
  • Ostaria, la Monarchie présidentielle de Plassel, 201.
  • Jaslandia, une nation qui perdure, 204.
  • Le retour de la gauche ostarienne, 207.
  • Une Monarchie élective en perte de vitesse, 209.
  • Le danger d'un changement constitutionnel, 212.
  • La présidence de George Édouard : le combat d'une vie, 215.
  • Altmann, héritière de l'Édouardisme ?, 218
  • Définir la politique ostarienne de nos jours, 221.
  • Les débuts d'une coalition centriste, 223.
  • Libération de Narois : acte populaire ou saphyrien ?, 228.
  • Marie-Claire d'Esquincourt : l'espoir de la droite républicaine, 232.
  • Vers un régime présidentiel plébiscité : la réforme constitutionnelle de Christophe Letordu, 234.
  • La renaissance d'une nation féodale à notre ère, 237.
  • 10 ans à la Primature : succès ou échec ?, 239.