Marie-Claire d'Esquincourt
Marie-Claire d'Esquincourt | ||||
Fonctions | ||||
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Députée ostarienne | ||||
Législature | XVIIe XVIIIe |
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Élection | 222 226 |
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Groupe parlementaire | ADN | |||
Maire deDusaux | ||||
Élection | 222 | |||
Réélection | 226 | |||
Biographie | ||||
Nom de naissance | Marie-Claire, Juliette, Rose d'Esquincourt | |||
Genre | Femme | |||
Nationalité | Ostarienne | |||
Naissance | 10 décembre 189 (41 ans) Dusaux, Cavour Ostaria |
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Résidence | Dusaux | |||
Religion | Foi Constantine | |||
Activité professionnelle | Éditrice de presse | |||
Engagement | ADN | |||
Famille | ||||
Marie-Claire d'Esquincourt est une femme politique ostarienne engagée à l'ADN. Elle est, depuis les Élections générales ostariennes de 222, maire de Dusaux et députée. Elle est, au sein de son mouvement politique, une figure revendiquée d'une droite conservatrice et social-libéral.
Biographie
Premiers engagements
Marie-Claire commence la politique alors qu'elle est encore étudiante à l'université de Dusaux. A 19 ans elle s'engage dans une association constantine de protection de la vie, menant des actions de charité envers les plus précaires mais aussi en condamnant vigoureusement l'avortement. A 22 ans elle s'écarte du combat contre l'avortement et concentrera ses efforts dans la lutte contre d'autres mesures progressiste comme la GPA ou la PMA.
En parallèle elle écrira des articles prônant l’excellence et le travail dans le journal de la facultés, des articles qui seront vivement critiqués par les syndicats étudiants de gauche.
Adhésion à l'Alliance de la Droite Nationale
Après une carrière de 9 ans en tant qu’éditrice de presse, ou elle se fera un réseau à droite, elle s'engagera au sein de l'Alliance de la Droite Nationale afin de mener la bataille contre la gauche et les indépendantistes à Dusaux et en Cavour.
En 222, elle remporte les élections municipales à la tête d'une coalition de la droite et devient par la même une des politiques les plus influentes de l'île. 222 fut également la date ou elle est élue députée de l'Assemblée Nationale, ou elle défendra avec succès un texte de libéralisation de l'économie ostarienne, alors marquée par l'ère éco-soscialiste.
Présidente de l'ADN
En 227, après plus de 20 ans de présidence d'Eugénie Deschanels, Marie-Claire d'Esquincourt est élue présidente de l'ADN lors du congrès de Dusaux. A cette occasion Swan Defontour et Alice Lecomte sont élus vice-présidents.
Positionnement politique
Économie
Marie-Claire d'Esquincourt s'est rapidement illustré comme libérale sur le plan économique, en faisant voter par l'assemblée nationale une loi baissant drastiquement les taux d’imposition. Cependant, elle s'affirme aussi comme prudente avec la mondialisation et comme soucieuse du bien être des plus précaires.
Santé
Son engagement associatif constantin contre l'avortement, la PMA et la GPA la place comme une femme conservatrice bien qu'elle n'est pas communiqué sur le droit à l'avortement depuis plusieurs années.
Famille et vie privée
Marie-Claire d'Esquincourt, née (de) Burcy, est la fille d'Arthur de Burcy, officier dans la marine militaire, et d'Élise de Burcy, femme au foyer.
Marie-Claire est mariée depuis ses 24 ans à Julien d'Esquincourt, issu d'une vielle famille aristocratique de Cavour et héritier de plusieurs propriétés immobilières dans le pays. Le couple à trois enfants, dont deux jumelles et un garçon.