Marie-Claire d'Esquincourt
| Marie-Claire d'Esquincourt | ||||
| Fonctions | ||||
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| Députée ostarienne | ||||
| Législature | XVIIe XVIIIe |
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| Élection | 222 226 |
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| Mandat | 9 février 222 - (22 ans, 9 mois et 25 jours) |
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| Groupe parlementaire | ADN | |||
| Maire deDusaux | ||||
| Élection | 222 | |||
| Réélection | 226 | |||
| Mandat | 9 février 222 - (22 ans, 9 mois et 25 jours) |
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| Biographie | ||||
| Nom de naissance | Marie-Claire, Juliette, Rose d'Esquincourt | |||
| Genre | Femme | |||
| Nationalité | Ostarienne | |||
| Naissance | 10 décembre 189 (54 ans) Dusaux, Cavour |
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| Résidence | Dusaux | |||
| Religion | Foi Constantine | |||
| Activité professionnelle | Éditrice de presse | |||
| Engagement | ADN | |||
| Famille | ||||
Marie-Claire d'Esquincourt est une femme politique ostarienne engagée à l'ADN. Elle est, depuis les Élections générales ostariennes de 222, maire de Dusaux et députée. Elle est, au sein de son mouvement politique, une figure revendiquée d'une droite conservatrice et social-libéral.
Biographie
Activités Professionnelles
Création de la Société D'Imprimerie d'Esquincourt
Marie-Claire d'Esquincourt achètera une imprimerie et créera sa propre société d’édition, Société D'Imprimerie d'Esquincourt, en 213, alors qu'elle est âgée de 24 ans. Utilisant son réseau, elle fera publié et imprimer des journaux locaux et nationaux classés à droite.
Promotion du tourisme
Avant de s'engager politiquement, Marie-Claire d'Esquincourt collaborera avec de nombreux musées sur le territoire de Cavour pour participer au financement d'une campagne nationale et phoécienne de promotion du tourisme sur l'île.
Engagement politique
Premiers engagements
Marie-Claire commence la politique alors qu'elle est encore étudiante à l'université de Dusaux. A 19 ans elle s'engage dans une association constantine de protection de la vie, menant des actions de charité envers les plus précaires mais aussi en condamnant vigoureusement l'avortement. A 22 ans elle s'écarte du combat contre l'avortement et concentrera ses efforts dans la lutte contre d'autres mesures progressiste comme la GPA ou la PMA.
En parallèle elle écrira des articles prônant l’excellence et le travail dans le journal de la facultés, des articles qui seront vivement critiqués par les syndicats étudiants de gauche.
Adhésion à l'Alliance de la Droite Nationale
Après une carrière de 9 ans en tant qu’éditrice de presse, ou elle se fera un réseau à droite, elle s'engagera au sein de l'Alliance de la Droite Nationale afin de mener la bataille contre la gauche et les indépendantistes à Dusaux et en Cavour.
En 222, elle remporte les élections municipales à la tête d'une coalition de la droite et devient par la même une des politiques les plus influentes de l'île. 222 fut également la date ou elle est élue députée de l'Assemblée Nationale, ou elle défendra avec succès un texte de libéralisation de l'économie ostarienne, alors marquée par l'ère éco-soscialiste.
Présidente de l'ADN
En 227, après plus de 20 ans de présidence d'Eugénie Deschanels, Marie-Claire d'Esquincourt est élue présidente de l'ADN lors du congrès de Dusaux. A cette occasion Swan Defontour et Alice Lecomte sont élus vice-présidents.
Candidate aux présidentielles de 227
L'Élection présidentielle de 227 est l'occasion pour la nouvelle présidente de l'ADN se s'imposer comme une véritable cheffe de file. Les premiers sondages sont pessimistes pour la candidate, avant le début de la campagne officielle elle ne dépasse pas les 15%. Cependant, lorsque sa campagne débute elle entame une véritable dynamique. Le soir du premier tour, sa candidature rassemble 19,24% et se plaçant en troisième position. Si le second tour est celui qui était prévu par les sondages depuis le début de la présidentielle, Marie-Claire d'Esquincourt peut se féliciter d'avoir redonné une dynamique électorale à une formation politique en déclin depuis quelques années.
Ministre de l'économie
En septembre 228, avec la nomination du gouvernement Delamare II, elle prend le poste de de l'Économie et des Finances.
Élections générales ostariennes de 230
Les élections générales de 230 constituaient, pour l'ADN et sa présidente, un enjeux important. Il s'agissait, en effet, pour la droite conservatrice de confirmer le bon score de la présidentielle de 227. Axant son programme sur un discours classique de la droite, les candidats de l'ADN parviennent à rassembler 17,62 % des suffrages, loin derrière l'Alternative et la gauche. Le nouveau mode de scrutin empêche l'ADN de remporter de nouveaux sièges de députés malgré un meilleur score qu'en 226.
Positionnement politique
Économie
Marie-Claire d'Esquincourt s'est rapidement illustré comme libérale sur le plan économique, en faisant voter par l'assemblée nationale une loi baissant drastiquement les taux d’imposition. Cependant, elle s'affirme aussi comme prudente avec la mondialisation et comme soucieuse du bien être des plus précaires.
Santé
Son engagement associatif constantin contre l'avortement, la PMA et la GPA la place comme une femme conservatrice bien qu'elle n'est pas communiquée sur le droit à l'avortement depuis plusieurs années.
Famille et vie privée
Marie-Claire d'Esquincourt, née (de) Burcy, est la fille d'Arthur de Burcy, officier dans la marine militaire, et d'Élise de Burcy, femme au foyer.
Marie-Claire est mariée depuis ses 24 ans à Julien d'Esquincourt, issu d'une vielle famille aristocratique de Cavour et héritier de plusieurs propriétés immobilières dans le pays. Le couple à trois enfants, dont deux jumelles et un garçon.