Marie-Claire d'Esquincourt

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Marie-Claire d'Esquincourt
Marie-Claire.jpg
Fonctions
Députée ostarienne
Législature XVIIe
XVIIIe
Élection 222
226
Mandat 9 février 222 -
(14 ans et 2 mois)
Groupe parlementaire ADN
Maire deDusaux
Élection 222
Réélection 226
Mandat 9 février 222 -
(14 ans et 2 mois)
Biographie
Nom de naissance Marie-Claire, Juliette, Rose d'Esquincourt
Genre Femme
Nationalité Ostarienne

Naissance 10 décembre 189 (46 ans)
Dusaux, Cavour
Drapeau d'Ostaria (République).png Ostaria
Résidence Dusaux

Religion Foi Constantine
Activité professionnelle Éditrice de presse
Engagement ADN
Famille

Marie-Claire d'Esquincourt est une femme politique ostarienne engagée à l'ADN. Elle est, depuis les Élections générales ostariennes de 222, maire de Dusaux et députée. Elle est, au sein de son mouvement politique, une figure revendiquée d'une droite conservatrice et social-libéral.

Biographie

Activités Professionnelles

Création de la Société D'Imprimerie d'Esquincourt

Marie-Claire d'Esquincourt achètera une imprimerie et créera sa propre société d’édition, Société D'Imprimerie d'Esquincourt (SIE), en 213, alors qu'elle est âgée de 24 ans. Utilisant son réseau, elle fera publié et imprimer des journaux locaux et nationaux classés à droite. Aujourd'hui, Marie-Claire d'Esquincourt détient toujours la majorité des parts de la SIE bien que son capital soit partagé avec des investisseurs ostariens proches des sphères de droite. L'actuel directeur de la SIE est Louis Beranger, beau-frères de Marie-Claire d'Esquincourt et ancien rugbyman connu notamment pour ses prises de positions en faveur de l'instauration de la foi Constantine comme Religion d'État. Marie-Claire d'Esquincourt affirme à l'époque aux journalistes de la presse local "ne pas partager cet avis mais respecter la communauté constantine dont elle fait partie."

Promotion du tourisme

Avant de s'engager politiquement, Marie-Claire d'Esquincourt collaborera avec de nombreux musées sur le territoire de Cavour pour participer au financement d'une campagne nationale et phoécienne de promotion du tourisme sur l'île.

Engagement politique

Premiers engagements

Marie-Claire commence la politique alors qu'elle est encore étudiante à l'université de Dusaux. A 19 ans elle s'engage dans une association constantine de protection de la vie, menant des actions de charité envers les plus précaires mais aussi en condamnant vigoureusement l'avortement. A 22 ans elle s'écarte du combat contre l'avortement et concentrera ses efforts dans la lutte contre d'autres mesures progressiste comme la GPA ou la PMA.

En parallèle elle écrira des articles prônant l’excellence et le travail dans le journal de la facultés, des articles qui seront vivement critiqués par les syndicats étudiants de gauche.

Adhésion à l'Alliance de la Droite Nationale

Après une carrière de 9 ans en tant qu’éditrice de presse, ou elle se fera un réseau à droite, elle s'engagera au sein de l'Alliance de la Droite Nationale afin de mener la bataille contre la gauche et les indépendantistes à Dusaux et en Cavour.

En 222, elle remporte les élections municipales à la tête d'une coalition de la droite et devient par la même une des politiques les plus influentes de l'île. 222 fut également la date ou elle est élue députée de l'Assemblée Nationale, ou elle défendra avec succès un texte de libéralisation de l'économie ostarienne, alors marquée par l'ère éco-soscialiste.

Présidente de l'ADN

En 227, après plus de 20 ans de présidence d'Eugénie Deschanels, Marie-Claire d'Esquincourt est élue présidente de l'ADN lors du congrès de Dusaux. A cette occasion Swan Defontour et Alice Lecomte sont élus vice-présidents. Elle remplace, de fait, le leadership de Damien Dumont et s'entoure de nouveaux cadres comme Antoine du Berry et Arnaud Brassard.

Candidate aux présidentielles de 227

L'Élection présidentielle de 227 est l'occasion pour la nouvelle présidente de l'ADN se s'imposer comme une véritable cheffe de file. Les premiers sondages sont pessimistes pour la candidate, avant le début de la campagne officielle elle ne dépasse pas les 15%. Cependant, lorsque sa campagne débute elle entame une véritable dynamique. Faisant campagne sur une réforme du scrutin législatif afin de favoriser une plus grande stabilité parlementaire. La candidate de la droite prendra aussi des postures plus classique en faveur de la sécurité et de la baisse des dépenses publics afin de limiter l'endettement qu'elle considère comme une atteinte à l'indépendance nationale dans son meeting au Zénith de Condail. Le soir du premier tour, sa candidature rassemble 19,24% et se plaçant en troisième position. Elle obtient des scores très importants dans certaines villes, arrivant en tête à Dusaux avec 35,42 % des suffrages exprimés. Si le second tour est celui qui était prévu par les sondages depuis le début de la présidentielle, Marie-Claire d'Esquincourt peut se féliciter d'avoir redonné une dynamique électorale à une formation politique en déclin depuis quelques années. Elle appel à voter pour la candidature de Letordu tout en appelant ce dernier à "droitiser son projet présidentiel".

Ministre de l'économie au gouvernement Delamare II

En septembre 228, avec la nomination du gouvernement Delamare II, elle prend le poste de de l'Économie et des Finances. Le gouvernement est marqué par une relative inactivité, bien qu'elle apporte son soutient à du Berry sur la réforme du code de l’éducation. Le gouvernement traverse une confrontation entre l'ADN et LNC sur la question cavouroise. Marie-Claire d'Esquincourt affirme que donner des statuts particuliers à Cavour revient à céder à des "discours de malades minoritaires (...) terroristes", faisant référence aux attaques terroristes pro indépendance ayant meurtrie l'île.

Élections générales ostariennes de 230

Les élections générales de 230 constituaient, pour l'ADN et sa présidente, un enjeux important. Il s'agissait, en effet, pour la droite conservatrice de confirmer le bon score de la présidentielle de 227. Marie-Claire d'Esquincourt tient un grand meeting à l'Ancien Théâtre royal de Dusaux ou elle propose une baisse des cotisations sociales, une réforme du revenu minimal de subsistance, la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu et une augmentation du temps de travail. La candidate va également affirmer son opposition aux législations écologistes, affirmant que "seul le développement économique parviendra à trouver des solutions pour le climat." Après une campagne ou l'ADN dépasse les 20% dans les sondages, les candidats de l'ADN parviennent difficilement à rassembler 17,62 % des suffrages, loin derrière l'Alternative et la gauche. Le nouveau mode de scrutin empêche l'ADN de remporter de nouveaux sièges de députés malgré un meilleur score qu'en 226.

Gouvernement Delamare III

Marie-Claire d'Esquincourt décide de ne pas participer au gouvernement Delamare III. Ce refus semble motivé par une volonté politique de ne pas entacher son image dans un gouvernement pouvant être vu comme opportuniste et également de ne pas se mettre sous l'autorité du Premier Ministre Marius Delamare en vu de l'élection présidentielle approchante.

Positionnement politique

Économie

Marie-Claire d'Esquincourt s'est rapidement illustré comme libérale sur le plan économique, en faisant voter par l'assemblée nationale une loi baissant drastiquement les taux d’imposition. Cependant, elle s'affirme aussi comme prudente avec la mondialisation et comme soucieuse du bien être des plus précaires.

Santé

Son engagement associatif constantin contre l'avortement, la PMA et la GPA la place comme une femme conservatrice bien qu'elle n'est pas communiquée sur le droit à l'avortement depuis plusieurs années.

Famille et vie privée

Marie-Claire d'Esquincourt, née (de) Burcy, est la fille d'Arthur de Burcy, officier dans la marine militaire, et d'Élise de Burcy, femme au foyer.

Marie-Claire est mariée depuis ses 24 ans à Julien d'Esquincourt, issu d'une vielle famille aristocratique de Cavour et héritier de plusieurs propriétés immobilières dans le pays. Le couple à trois enfants, dont deux jumelles et un garçon.

Fonctions, titres et honneurs

Anecdotes