Jean-Philippe Walter
Jean-Philippe Walter | ||||||||
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Fonctions | ||||||||
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Ministre des Affaires Étrangères | ||||||||
Président | François Pelichon | |||||||
Premier Ministre | Elsa Altmann | |||||||
Gouvernement | Altmann II | |||||||
Mandat | 10 juillet 214 - 22 octobre 218 (4 ans, 3 mois et 12 jours) |
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Biographie | ||||||||
Genre | Homme | |||||||
Nationalité | ![]() |
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Naissance | 15 août 172 (63 ans) Lunont, Orbône ![]() |
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Activité professionnelle | Universitaire | |||||||
Engagement | MPR | |||||||
Famille | ||||||||
Jean-Philippe Walter est un universitaire ostarien né le 15 août 172, spécialiste de géopolitique.
Biographie
Jeunesse
Parcours académique
Après des études en histoire et en géopolitique à Lunont, Jean-Philippe Walter partira pendant 3 ans en Fédération Unie pour travailler en tant que consultant dans une entreprise d'import export. Il reviendra en Ostaria ou il passera et obtiendra le concours afin de devenir professeur des universités.
Parcours politique
Ministre des affaires étrangères
À l'issue des élections générales de 214, le Président de la République François Pelichon doit nommer Elsa Altmann comme Première Ministre. Il est alors décidé de nommer deux personnalités apolitiques à la tête des ministères de la défense et des affaires étrangères et Jean-Philippe Walter devient officiellement membre du gouvernement après le vote favorable de l'Assemblée nationale le 10 juillet 214.
Création du MPR
Le 25 octobre 218, avec Laurent Barre et Guilhem Alloncle, Jean-Philippe Walter lance le Mouvement Populaire et Républicain. L'objectif de ce parti est de rassembler les nationalistes et les souverainistes de gauche tout en critiquant le régime instable ostarien.
Élections générales de 222 et 226
Jean-Philippe Walter se présente pour la première fois lors des Élections générales ostariennes de 222, l'objectif annoncé et de commencer à ancrer durablement le MPR dans le paysage politique. Après une campagne compliquée, la liste obtient un score très faible de 0,77%.
Entre 222 et 226 le MPR connait une crise financière importante, liée à des adhésions faibles et des dons presque inexistants. Les élections de 226 approchant, de nombreux cadre souhaiterait la dissolution du mouvement. Jean-Philippe Walter, au contraire affirme sa volonté de présenter une candidature quitte à mener une campagne au rabais. Le résultat de 226 ne sont donc pas étonnant, marquant une stagnation du mouvement avec 0,75% des voix.
Soutient à la candidature présidentielle de Juliette Delagin
Lors des élections présidentielles de 227, Walter regrette de ne pas pouvoir y participer du fait de l'absence d'élus de son mouvement. Il apporte cependant, dans un chrip, son soutient à la candidature de Juliette Delagin en ces termes : "Je voterais donc pour madame Delagins, sans hésitation."