Liberio Trevisani
Liberio | ||||
Fonctions | ||||
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Ministre de l'Éducation et de la Culture | ||||
Impératrice | Catella Ière | |||
Premier ministre | Albano Mattioli | |||
Gouvernement | Mattioli I | |||
Nomination | 7 septembre 228 (3 ans, 1 mois et 28 jours) |
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Sénateur de Narois | ||||
Législature | Ière | |||
Élection | 31 août 228 | |||
Mandat | 1er septembre 228 (3 ans, 2 mois et 4 jours) |
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Groupe | CS | |||
Biographie | ||||
Nom de naissance | Liberio Trevisani | |||
Genre | Masculin | |||
Nationalité | Naroisien | |||
Naissance | 24 aout 199 | |||
Résidence | Arteylia, Palatina, Narois | |||
Religion | Athée | |||
Alma mater | Université d'Artellia | |||
Activité professionnelle | Sociologue | |||
Engagement | Syndicaliste, progressiste, mouvement universitaire de libération. | |||
Famille | ||||
Liberio Trevisani, dit Liberio, est un sociologue Naroisien et personnage important dans la lutte universitaire contre le Régime frazziliste . Il participe activement à la révolution et échappe souvent de peu à la répression.
À la libération, en 227, il intègre le parti de la Confédération Syndicale et se lance activement dans la politique avec comme ambition de réaliser une "révolution progressiste" à Narois et de "donner le mérite aux citoyens", selon ses mots.
Biographie
Liberio naît le 24 août 199 dans la ville de Caraille à Narois. Il est élevé dans une famille trans-sociale avec un père ouvrier et une mère universitaire. Ce terreau familial sera l'une des raisons de son engagement et de sa pensée.
Alors qu'il est âgé d'à peine 4 ans, Narois tombe sous le joug du totalitarisme frazziliste. Son père, ouvrier non-engagé, ne sera que peu affecté par ce changement de régime, mais sa mère, alors universitaire connue pour ses penchants à la gauche progressiste, devra évoluer dans sa carrière pour être plus discrète. Malgré son évolution, elle sera observée, suivit et parfois emprisonné quelques jours pour des interrogatoires, liés à ses publications et prises de position passées. Néanmoins, elle ne sera jamais plus inquiète grâce à sa vie devenue discrète et presque absente publiquement, bien qu'elle continue d'être engagée dans sa pensée, ce qui est marqué par une éducation et des discussion riches avec son mari et son fils, Liberio Trevisani. Cette façon d'agir discrètement pour survivre, sera un exemple pour Liberio.
Vie universitaire et premiers engagements
Alors que le pays est sous le régime totalitaire frazziliste depuis près de 14 ans, il entre à l'université d'Arteylia. Malgré sa vie familiale à l'autre bout du pays, il choisit cette université pour son histoire emprunt du syndicalisme et de la gauche, et pour l'oppression qu'elle a subit. Déjà à cet âge, Liberio a la volonté d'agir en sous-main pour libérer le pays du régime totalitaire. À l'universitaire, il reste un étudiant discrets auprès des professeurs et des étudiants. Mais ce comportement n'est qu'une facette. Dès son arrivée à l'université, il rejoint le Mouvement Universitaire de Libération qui était alors en bout de souffle après la répression subit. Il présente alors sa stratégie et silence totale en public permettant l'organisation secrète de conventions, débats, aides aux personnes dans le besoin afin que la pensée de gauche continue d'exister et de pouvoir éduquer à cette pensée. Cette stratégie fonctionne et durant ses 5 années d'études, il est important au sein du mouvement et le mouvement organise de nombreux rendez-vous discrets et réussit a engager en leur sein de nombreux autres étudiants. Dans le même temps, il est proche des syndicalistes autogestionnaires et fait intégrer le Mouvement d'Universitaire de Libération et intègre lui-même la Fédération Armée Organisée pour la Libération. À la fin de ses études, il reste proche des syndicalistes autogestionnaires et intégrer pleinement la Fédération Armée Organisée, laissant quelque peu de côté l'exemple de la discrétion de sa mère afin de commencer la libération de la parole et de créer une vague de révolte. En 226, lors de la guerre civile de libération, il jouera un rôle important dans la libération et n'hésitera pas même, parfois, à se confronter aux totalitaires sur le terrain.
Liberation et engagement politique
En 227, il rejoint la Confédération Syndicale née de la scission de la Fédération Armée Organisée pour la Libération et s'engage alors pleinement en politique avec comme ambition d'être élu et de faire une "révolution progressiste" et de "donner la gloire aux citoyens, seuls vrais acteurs de la libération et de la liberté d'aujourd'hui", selon ses mots. Rapidement, probablement lié à son ambition et sa parole qui plaît aux syndicats et au parti lui même, il sera nommé Secrétaire Confédéral (dirigeant du parti) de la Confédération Syndicale.
Anecdotes
Durant sa vie secrète universitaire, il est appelé "Liberio", un surnom provenant de son prénom inspiré du mot "liberté" ou du verbe "libérer". Ce prénom utilisé sans jamais mentionner son nom de famille, devient un symbole. Depuis lors, le surnom "Liberio" l'accompagne partout, même dans les moments officiels. Lors de la libération, son nom de famille est presque oublié, tant il est devenu pour tous celui qui incarne la liberté sous le simple nom de "Liberio".