Thomas Robertson
Thomas Robertson | ||||||||
Fonctions | ||||||||
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Maire de San Angelo | ||||||||
Élection | 4 novembre 193 | |||||||
Mandat | 4 avril 194 - 4 avril 200 (6 ans) |
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Biographie | ||||||||
Nom de naissance | Thomas John Robertson | |||||||
Genre | Homme | |||||||
Nationalité | Fédération-Unie | |||||||
Naissance | 4 mars 155 (77 ans) Sun Valley Rochester Fédération-Unie |
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Activité professionnelle | Avocat Homme politique |
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Engagement | Parti de la Réforme | |||||||
Famille | ||||||||
Parents | Conrad Robertson Elizabeth Quayle |
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Conjoint | Mary Dole | |||||||
Enfants | Amy Robertson Alexander Robertson |
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Thomas Robertson, né le 4 mars 155 à Sun Valley (Rochester), est un avocat et homme politique fédéré.
En 193, il est élu maire de San Angelo en tant qu'indépendant. Il rejoint ensuite le Parti de la Réforme dont il devient le candidat pour l'élection présidentielle de 195.
Situation personnelle
Famille
Thomas Robertson naît à Sun Valley le 4 mars 155. Il est le fils de Conrad Robertson et d’Elizabeth Quayle, une secrétaire médicale. Ses parents se sont rencontrés dans l’hôpital où ils travaillaient tous les deux. Son père est un conservateur et sa mère est une progressiste, qui a tenté en 153 de se faire élire à l’Assemblée des Représentants de Rochester, sans succès.
Thomas Robertson grandit avec sa famille à Sun Valley, avant que la famille ne déménage à San Angelo en 170.
Vie privée
Thomas Robertson rencontre en juillet 184 Mary Dole, une avocate qui travaille dans le même cabinet d’avocats que lui. Ils entament une relation en avril 186 et se marient en mai 187. Ils ont deux enfants : Amy (née en mai 188) et Alenxander (né en juin 190).
Études
Thomas Robertson étudie toute sa scolarité dans des écoles constantines privées et fait des études de droit à l’Université de San Angelo, une université publique de sa ville.
Carrière d'avocat
Thomas Robertson intègre en 181 un cabinet d’avocat à San Angelo. Il se spécialiste très rapidement en droit des affaires et se forge une réputation de bon négociateur. En parallèle de sa carrière, il se fait connaître au niveau municipal par des engagements caritatifs, en tant qu’organisateurs de nombreux dîners de levers de fonds. À plusieurs reprises, des rumeurs parlent de lui comme d’un potentiel candidat indépendant au conseil municipal.
Parcours politique
Après avoir évoqué en 186 la possibilité d’une candidature à l’élection municipale de l’année suivante, il renonce et attend l’élection municipale suivante en 193 pour se lancer dans la course. Candidat indépendant, il est initialement nettement distancé par les candidats conservateur et progressiste, au coude-à-coude. Un scandale de moeurs impliquant le candidat progressiste lui permet de relancer sa campagne. Bénéficiant de ses relais dans le milieu associatif et de sa notoriété, sa campagne décolle et il s’impose finalement dans un match serré à trois.
Quelques semaines après son investiture comme maire de San Angelo, il annonce son ralliement au Parti de la Réforme. Il en profite pour se présenter aux primaires du Parti pour l'élection présidentielle de 195. Il remporte 6 États sur 8 contre le businessman arcadien Carlos Elvira et remporte 78 délégués (contre 77) malgré une défaite au vote populaire. Il choisit ensuite le vice-président du comité national du Parti de la Réforme, Samson Wood, comme colistier pour l’élection générale. Le 6 novembre, son ticket remporte 1 256 321 voix (soit 0,73% des suffrages), le plaçant en troisième et dernière position.