Union de la Pastèque

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L'Union de la Pastèque, ou The Watermelon Union, est une formation politique issue du Co-operative Farmer-Labour Party (Parti Démocrate-Travailliste). La base du parti est organisée autour de syndicats fédérés, et il est généralement classé entre l'extrême-gauche et la sociale-démocratie selon les classements. Sa Secrétaire Nationale est Cerise Dorendeu, ancienne dirigeante du puissant syndicat des professions de l'éducation en Fédération-Unie.

Les origines

Les "Togethers' Clubs"

Les historiens décrivent la source du parti auprès des "Togethers' Clubs", clubs politiques répartis un peu partout en Fédération-Unie dans les années 20 à 40. Abolitionnistes, ces clubs ont largement à l'époque fait campagne pour le Président Harrington, notamment dans les milieux populaires fédérés. Proches du National Unity Party et des élites du Whig Party, les figures politiques de ces clubs comprenaient notamment des militantes radicales comme Ellen Farewell, et des hommes noirs affranchis éduqués comme Georges Smittshon. Leurs publications radicales, si bien que certaines furent censurées par Harrington en personne, prônant l'abolition de l'esclavage et même un droit de vote universel avaient donné à ces clubs une réputation d'extrême-gauche partout dans la Fédération. Au cours de la guerre civile fédérée, ils firent le pari de soutenir le camp mené par Harrington et participèrent à la bataille idéologique, politique et culturelle aux-côtés du Président Abraham Harrington.

Au fur-et-à-mesure du temps, les Togethers' Clubs se structuraient en une grande fédération, mais se distançait largement du terrain du militantisme politique. La "Togethers' Tought", ou "Pensée du vivre-ensemble" était alors une immense société politique de partage idéologique qui organisait dans la Fédération des banquets et finançaient des candidats prometteurs aux élections ainsi que des syndicats. Cette société, toujours pourvue de liens forts avec le National Unity Party (ancêtre du Parti Conservateur), a beaucoup participé à façonner des thèses progressistes à l'échelle du pays.

La société s'est par ailleurs largement intéressée à la candidature de Samuel Johnston à la Présidence de la Fédération-Unie, pour le compte du National Unity Party. Elle a participé au financement de sa campagne, tandis qu'un ami proche du futur Président fédéré dirigeait la Togethers' Tought.


La Présidence Johnston et la construction partisane

Samuel Johnston, avec le soutien du National Unity Party et de la société "Togethers' Tought", remportait la Présidence de la Fédération-Unie en 72. Sur les bases d'un programme résolument progressiste pour l'époque, le "Circle Deal", le Président Johnston avait réussi à verrouiller la société politique autour de sa personne et de son programme, en faisant alors une véritable plateforme politique à son image. Programme de lutte contre les monopoles, droits syndicaux, élargissement du droit de vote dans les faits, non-ségrégation des institutions fédérales... Alors que le Président Johnston voyait le vent tourner au sein de son propre parti, contre lui, il donnait à son ami William Ford l'ordre de réorganiser la société politique.

C'est ainsi qu'en 79, après plusieurs années de gestation et de construction d'un réseau à l'échelle fédérale, de récolte de fonds et de renforcement des liens avec les syndicats naissait le "Co-operative Farmer-Labour Party" ou Parti Démocrate-Travailliste. Avec un programme très à gauche, Jonhston relançait alors en 83 une campagne présidentielle en grande pompe dans toute la Fédération-Unie. En réalisant un score très honorable de 27,39% à l'échelle nationale et en remportant sept parlementaires (2 sénateurs et 5 représentants) ainsi que 31 grands électeurs. Ce fût un score très honorable pour la jeune plateforme, même si Johnston avait perdu l'élection générale et que la représentation parlementaire était très faible.


Les thèses historiques

Le Parti Démocrate-Travailliste a historiquement soutenu de nombreuses thèses très progressistes, en voici une liste non-exhaustive issues de la campagne Johnston de 83 : - un contrôle et une limitation stricte des dons de campagne

- un registre des groupes d'intérêts

- un enregistrement et une publication de toutes les séances au Congrès

- un service de santé national qui regroupait toutes les agences médicales publiques

- une assurance sociale, dont bénéficieraient les retraités, les chômeurs et les handicapés

- une limitation du pouvoir des magistrats à limiter les grèves

- un salaire minimum pour les femmes

- une journée à 8h

- une agence fédérale de régulation financière

- un plan d'aide pour l'agriculture

- des compensations pour les travailleurs blessés au travail

- une taxe sur l'héritage

- le suffrage universel féminin

- une élection directe des sénateurs

- des primaires obligatoires pour les postes d'états et fédéraux

- une facilitation à l'amendement de la Constitution

- une possibilité de révocation des élus par les électeurs avant la fin de son mandat

- une implémentation de l'usage des référendums à l'échelle fédérale

- une possibilité d'initiative législative citoyenne par pétition

- une possibilité de passer-outre les ordres de la justice quand elle déclare une loi anti-constitutionnelle par le biais d'un vote populaire

- une réduction des tarifs douaniers

- une limitation de l'armement naval par le biais d'un traité international

La fondation officielle

La Convention de Windtown


La première campagne présidentielle


Après Johnston

Les plus grands succès

Une retranscription des grandes victoires électorales


La Grève Fédérée de 94


Les liens avec les syndicats et le monde socialiste fédéré

Les spécificités historiques & positionnements idéologiques

L'Union aujourd'hui