Différences entre les versions de « François Léon »
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'''François Léon''' est syndicaliste et homme politique [[Ostaria|ostarien]] né le 9 mai 143, | |||
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==Période 1== | ==Période 1== | ||
==Période 2== | ==Période 2== | ||
==Parcours politique== | ==Parcours politique== | ||
François Léon participe à la fondation de l'[[Union des Travailleurs Anticapitalistes | François Léon participe à la fondation de l'[[Union des Travailleurs Anticapitalistes (Ostaria)|Union des Travailleurs Anticapitalistes]] en septembre 193. Il est élu Premier secrétaire du parti avec plus de 97% des voix lors du premier congrès. | ||
(Ostaria)|Union des Travailleurs Anticapitalistes]] en septembre 193. Il est élu Premier | |||
secrétaire du parti avec plus de 97% des voix lors du premier congrès. | Le parti se présente pour la première fois aux [[Élections générales ostariennes de 195|élections générales de novembre 195]]. François Léon mène alors la liste UTAC pour l’élection régionale en Bacapy et est candidat aux élections législatives dans la 11ème circonscription. Si le parti réunit nationalement un peu moins de 3% des suffrages, il totalise plus de 9% dans sa circonscription et termine à la quatrième place. Sa liste régionale remporte 3,11%, dépassant donc le seuil de 2% nécessaire pour faire élire des conseillers régionaux. Avec 4 de ses colistiers, François Léon est donc élu conseiller régional de Bacapy. | ||
Le parti se présente pour la première fois aux [[Élections générales ostariennes de 195| | |||
élections générales de novembre 195]]. François Léon mène alors la liste UTAC pour | Quatre ans plus tard, lors des [[Élections générales ostariennes de 199|élections générales de 199]], il est candidat dans la 1ère circonscription d’Orbône où il bénéficie du soutien de [[Kosmostaria]] en vertu d’un accord de désistement dans une quinzaine de circonscriptions. Il mène également la liste régionale de l’UTAC en Orbône. Il remporte 11,2% des suffrages dans sa circonscription. Son parti accuse un net recul en remportant moins de 1% des voix. Aucune liste régionale n’atteint le seuil de 2% et François Léon perd son unique mandat électoral à l’issue de l’élection. | ||
l’élection régionale en Bacapy et est candidat aux élections législatives dans la 11ème | |||
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totalise plus de 9% dans sa circonscription et termine à la quatrième place. Sa liste | |||
régionale remporte 3,11%, dépassant donc le seuil de 2% nécessaire pour faire élire des | Lors des [[Élections générales ostariennes de 203|élections générales de 203]], il participe à la coalition de l’Union des Gauches emmenée par [[George Edouard]]. Comme 12 autres membres de son parti, il est investi comme candidat aux élections législatives. Fort du soutien des partis de gauche, il remporte la circonscription avec 46,75% des sièges, devançant de plus de 30 points tous ses concurrents. Une fois élu, lui et ses quatre collègues députés de l’UTAC prennent leur distance avec le gouvernement dont ils ont été exclus. Ils s’abstiennent alors lors du vote de confiance au gouvernement et lors de l’élection à la Présidence de l’Assemblée. | ||
conseillers régionaux. Avec 4 de ses colistiers, François Léon est donc élu conseiller | |||
régional de Bacapy. | Candidat pour devenir vice-président de l’Assemblée Nationale, il ne reçoit que 5 voix, les députés de l’Union des gauches préférant soutenir la candidature d’[[Isabelle Legendre]]. Il dépose ensuite une proposition de loi pour établir la retraite à 58 ans. La proposition est finalement amendée par la majorité pour mettre en place la retraite à 60 ans. | ||
Après l'échec des élections législatives de 207, l'UTAC présente sa candidature lors des [[Élections générales ostariennes de 210|élections générales de 210]]. La liste menée par François Léon obtient 2,35% permettant à l'extrême gauche anticapitaliste d'être de nouveau représenté au sein du parlement avec 6 députés. | |||
En [[Élections générales ostariennes de 214|214]], cependant, l'UTAC perd ses sièges de députés et ses élus régionaux en ne récoltant que 1,14% des suffrages. Lors des [[Élections générales ostariennes de 218|élections législatives de 218]] l'UTAC ne parviendra à réunir les fonds pour pouvoir mener campagne. | |||
Pour les [[Élections générales ostariennes de 222|élections de 222]], l'UTAC parvient à négocier avec le [[Mouvement Travailliste Ostarien|MTO]] et [[Kosmostaria]] une alliance électorale. Celle-ci prend le nom d'[[Union Populaire de Gauche]] et réuni 3,79% parvenant à former un groupe de 10 députés à l'assemblée nationale. | |||
Quatre ans plus tard, lors des [[Élections générales ostariennes de 199|élections | |||
générales de 199]], il est candidat dans la 1ère circonscription d’Orbône où il bénéficie | |||
du soutien de [[Kosmostaria]] en vertu d’un accord de désistement dans une quinzaine | |||
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remporte 11,2% des suffrages dans sa circonscription. Son parti accuse un net recul en | |||
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Lors de l’élection présidentielle de 200, il n’est pas candidat et l’UTAC choisit Isabelle | |||
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Candidat pour devenir vice-président de l’Assemblée Nationale, il ne reçoit que 5 voix, | |||
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=Fonctions, titres et honneurs= | =Fonctions, titres et honneurs= | ||
=Anecdotes= | =Anecdotes= | ||
Version actuelle datée du 14 février 2024 à 11:20
| François Léon | ||||
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| Fonctions | ||||
|---|---|---|---|---|
| Député ostarien | ||||
| Législature | XIIème | |||
| Élection | 17 juillet 203 | |||
| Groupe parlementaire | UTAC | |||
| Conseiller régional de Bacapy | ||||
| Élection | 13 novembre 195 | |||
| Mandat | 13 nov. 195 - 3 mars 199 (3 ans, 3 mois et 20 jours) |
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| Groupe | UTAC | |||
| Biographie | ||||
| Nom de naissance | François Léon | |||
| Genre | Homme | |||
| Nationalité |  Ostaria
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| Naissance | 9 mai 143 (88 ans) Menargues, Bacapy Ostaria
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| Activité professionnelle | Syndicaliste Homme politique |
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| Engagement | UTAC | |||
| Famille | ||||
François Léon est syndicaliste et homme politique ostarien né le 9 mai 143, membre de l'UTAC.
Biographie
Période 1
Période 2
Parcours politique
François Léon participe à la fondation de l'Union des Travailleurs Anticapitalistes en septembre 193. Il est élu Premier secrétaire du parti avec plus de 97% des voix lors du premier congrès.
Le parti se présente pour la première fois aux élections générales de novembre 195. François Léon mène alors la liste UTAC pour l’élection régionale en Bacapy et est candidat aux élections législatives dans la 11ème circonscription. Si le parti réunit nationalement un peu moins de 3% des suffrages, il totalise plus de 9% dans sa circonscription et termine à la quatrième place. Sa liste régionale remporte 3,11%, dépassant donc le seuil de 2% nécessaire pour faire élire des conseillers régionaux. Avec 4 de ses colistiers, François Léon est donc élu conseiller régional de Bacapy.
Quatre ans plus tard, lors des élections générales de 199, il est candidat dans la 1ère circonscription d’Orbône où il bénéficie du soutien de Kosmostaria en vertu d’un accord de désistement dans une quinzaine de circonscriptions. Il mène également la liste régionale de l’UTAC en Orbône. Il remporte 11,2% des suffrages dans sa circonscription. Son parti accuse un net recul en remportant moins de 1% des voix. Aucune liste régionale n’atteint le seuil de 2% et François Léon perd son unique mandat électoral à l’issue de l’élection.
Lors de l’élection présidentielle de 200, il n’est pas candidat et l’UTAC choisit Isabelle Toutain qui rassemblera 2% des suffrages.
Lors des élections générales de 203, il participe à la coalition de l’Union des Gauches emmenée par George Edouard. Comme 12 autres membres de son parti, il est investi comme candidat aux élections législatives. Fort du soutien des partis de gauche, il remporte la circonscription avec 46,75% des sièges, devançant de plus de 30 points tous ses concurrents. Une fois élu, lui et ses quatre collègues députés de l’UTAC prennent leur distance avec le gouvernement dont ils ont été exclus. Ils s’abstiennent alors lors du vote de confiance au gouvernement et lors de l’élection à la Présidence de l’Assemblée.
Candidat pour devenir vice-président de l’Assemblée Nationale, il ne reçoit que 5 voix, les députés de l’Union des gauches préférant soutenir la candidature d’Isabelle Legendre. Il dépose ensuite une proposition de loi pour établir la retraite à 58 ans. La proposition est finalement amendée par la majorité pour mettre en place la retraite à 60 ans.
Après l'échec des élections législatives de 207, l'UTAC présente sa candidature lors des élections générales de 210. La liste menée par François Léon obtient 2,35% permettant à l'extrême gauche anticapitaliste d'être de nouveau représenté au sein du parlement avec 6 députés.
En 214, cependant, l'UTAC perd ses sièges de députés et ses élus régionaux en ne récoltant que 1,14% des suffrages. Lors des élections législatives de 218 l'UTAC ne parviendra à réunir les fonds pour pouvoir mener campagne.
Pour les élections de 222, l'UTAC parvient à négocier avec le MTO et Kosmostaria une alliance électorale. Celle-ci prend le nom d'Union Populaire de Gauche et réuni 3,79% parvenant à former un groupe de 10 députés à l'assemblée nationale.
