François Léon
François Léon | ||||
Fonctions | ||||
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Député ostarien | ||||
Législature | XIIème | |||
Élection | 17 juillet 203 | |||
Groupe parlementaire | UTAC | |||
Conseiller régional de Bacapy | ||||
Élection | 13 novembre 195 | |||
Mandat | 13 nov. 195 - 3 mars 199 (3 ans, 3 mois et 20 jours) |
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Groupe | UTAC | |||
Biographie | ||||
Nom de naissance | François Léon | |||
Genre | Homme | |||
Nationalité | Ostaria | |||
Naissance | 9 mai 143 (89 ans) Menargues, Bacapy Ostaria |
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Activité professionnelle | Syndicaliste Homme politique |
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Engagement | UTAC | |||
Famille | ||||
François Léon est syndicaliste et homme politique ostarien né le 9 mai 143, membre de l'UTAC.
Biographie
Période 1
Période 2
Parcours politique
François Léon participe à la fondation de l'Union des Travailleurs Anticapitalistes en septembre 193. Il est élu Premier secrétaire du parti avec plus de 97% des voix lors du premier congrès.
Le parti se présente pour la première fois aux élections générales de novembre 195. François Léon mène alors la liste UTAC pour l’élection régionale en Bacapy et est candidat aux élections législatives dans la 11ème circonscription. Si le parti réunit nationalement un peu moins de 3% des suffrages, il totalise plus de 9% dans sa circonscription et termine à la quatrième place. Sa liste régionale remporte 3,11%, dépassant donc le seuil de 2% nécessaire pour faire élire des conseillers régionaux. Avec 4 de ses colistiers, François Léon est donc élu conseiller régional de Bacapy.
Quatre ans plus tard, lors des élections générales de 199, il est candidat dans la 1ère circonscription d’Orbône où il bénéficie du soutien de Kosmostaria en vertu d’un accord de désistement dans une quinzaine de circonscriptions. Il mène également la liste régionale de l’UTAC en Orbône. Il remporte 11,2% des suffrages dans sa circonscription. Son parti accuse un net recul en remportant moins de 1% des voix. Aucune liste régionale n’atteint le seuil de 2% et François Léon perd son unique mandat électoral à l’issue de l’élection.
Lors de l’élection présidentielle de 200, il n’est pas candidat et l’UTAC choisit Isabelle Toutain qui rassemblera 2% des suffrages.
Lors des élections générales de 203, il participe à la coalition de l’Union des Gauches emmenée par George Edouard. Comme 12 autres membres de son parti, il est investi comme candidat aux élections législatives. Fort du soutien des partis de gauche, il remporte la circonscription avec 46,75% des sièges, devançant de plus de 30 points tous ses concurrents. Une fois élu, lui et ses quatre collègues députés de l’UTAC prennent leur distance avec le gouvernement dont ils ont été exclus. Ils s’abstiennent alors lors du vote de confiance au gouvernement et lors de l’élection à la Présidence de l’Assemblée.
Candidat pour devenir vice-président de l’Assemblée Nationale, il ne reçoit que 5 voix, les députés de l’Union des gauches préférant soutenir la candidature d’Isabelle Legendre. Il dépose ensuite une proposition de loi pour établir la retraite à 58 ans. La proposition est finalement amendée par la majorité pour mettre en place la retraite à 60 ans.
Après l'échec des élections législatives de 207, l'UTAC présente sa candidature lors des élections générales de 210. La liste menée par François Léon obtient 2,35% permettant à l'extrême gauche anticapitaliste d'être de nouveau représenté au sein du parlement avec 6 députés.
En 214, cependant, l'UTAC perd ses sièges de députés et ses élus régionaux en ne récoltant que 1,14% des suffrages. Lors des élections législatives de 218 l'UTAC ne parviendra à réunir les fonds pour pouvoir mener campagne.
Pour les élections de 222, l'UTAC parvient à négocier avec le MTO et Kosmostaria une alliance électorale. Celle-ci prend le nom d'Union Populaire de Gauche et réuni 3,79% parvenant à former un groupe de 10 députés à l'assemblée nationale.