Différences entre les versions de « Plasselisme »
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Le plasselisme est un courant de pensée répandu dans la politique ostarienne (particulièrement à droite), inspiré de la politique menée par [[Jérôme Plassel]], notamment lors de ses quatre mandats à la [[Président de la République d'Ostaria|Présidence de la République]] d'[[Ostaria]] (150-157, puis 161-170) et son exercice du pouvoir plus ou moins officiel et sous diverses fonctions entre 157 et 161. [[Alexandre de Brétigny]] (Premier Ministre de 161 à 170, puis Président de la République de 170 à 174) a également eu une influence sur le plasselisme. | Le plasselisme est un courant de pensée répandu dans la politique ostarienne (particulièrement à droite), inspiré de la politique menée par [[Jérôme Plassel]], notamment lors de ses quatre mandats à la [[Président de la République d'Ostaria|Présidence de la République]] d'[[Ostaria]] (150-157, puis 161-170) et son exercice du pouvoir plus ou moins officiel et sous diverses fonctions entre 157 et 161. [[Alexandre de Brétigny]] (Premier Ministre de 161 à 170, puis Président de la République de 170 à 174) a également eu une influence sur le plasselisme. | ||
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Plassel chercha toujours à faire participer à son gouvernement une coalition étendue allant généralement du centre (voire du centre-gauche) à la droite, y compris lorsqu'il disposait seul d'une majorité confortable. | Plassel chercha toujours à faire participer à son gouvernement une coalition étendue allant généralement du centre (voire du centre-gauche) à la droite, y compris lorsqu'il disposait seul d'une majorité confortable. | ||
Sous la [[Troisième République (Ostaria)|III<sup>ème</sup> République]], Plassel instaura un régime semi-présidentiel (au lieu d'un régime présidentiel qui avait auparavant ses faveurs). Bien que les raisons n'aient jamais été données par Plassel lui-même, certains ont évoqué l'influence des libéraux-conservateurs (plus favorables au parlementarisme) à la fin des années 150, et la nécessité pour Plassel d'obtenir leur soutien (n'ayant pas la majorité absolue à l'[[Assemblée | Sous la [[Troisième République (Ostaria)|III<sup>ème</sup> République]], Plassel instaura un régime semi-présidentiel (au lieu d'un régime présidentiel qui avait auparavant ses faveurs). Bien que les raisons n'aient jamais été données par Plassel lui-même, certains ont évoqué l'influence des libéraux-conservateurs (plus favorables au parlementarisme) à la fin des années 150, et la nécessité pour Plassel d'obtenir leur soutien (n'ayant pas la majorité absolue à l'[[Assemblée Nationale d'Ostaria|Assemblée Nationale]] lors de l'abrogation de la monarchie). | ||
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Pour Plassel, l'économie doit être de marché, mais avec une forte intervention de l'État, à la fois par des services publics étendus et par de nombreuses entreprises publiques. | Pour Plassel, l'économie doit être de marché, mais avec une forte intervention de l'État, à la fois par des services publics étendus et par de nombreuses entreprises publiques. Il prône également une certaine forme de planification, notamment pour la reconstruction du pays après la guerre civile. De plus, il a recours au protectionnisme. | ||
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Le positionnement de Plassel a varié quelque peu au cours de sa carrière politique. D'abord étiqueté de centre-droit au début de la [[I<sup>ère</sup> République | Le positionnement de Plassel a varié quelque peu au cours de sa carrière politique. D'abord étiqueté de centre-droit au début de la [[Première République (Ostaria)|I<sup>ère</sup> République]] pour être distingué des conservateurs, il choisit de s'identifier officiellement au centre lors de l'entrée en vigueur de la [[Loi des 5 partis (Ostaria)|loi des 5 partis]] (partiellement à cause d'un refus de fusionner avec le [[Parti Républicain (Ostaria)|Parti Républicain]], qui, lui s'était positionné à droite). | ||
C'est plus tard, lorsque le plasselisme représentera la plus grande force politique ostarienne, qu'il sera finalement étiqueté de droite (à cause d'un changement de références dans la vie politique, pas d'un changement d'idéologie). | C'est plus tard, lorsque le plasselisme représentera la plus grande force politique ostarienne, qu'il sera finalement étiqueté de droite (à cause d'un changement de références dans la vie politique, pas d'un changement d'idéologie). | ||
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Version actuelle datée du 18 août 2024 à 09:27
| Plasselisme | ||||
| Caractéristiques | ||||
|---|---|---|---|---|
| Origine |  République d'Ostaria
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| Statut actuel | Actif | |||
| Présence géographique | République d'Ostaria
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| Fondements théoriques | ||||
| Positionnement | Droite | |||
| Penseurs associés | Jérôme Plassel Alexandre de Brétigny |
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| Autres idéologies proches | Nationalisme Étatisme Présidentialisme |
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| Partis affiliés | Debout Ostaria (DO) Mouvement Uni pour la République (MUR) |
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 Jérôme Plassel | ||||
Le plasselisme est un courant de pensée répandu dans la politique ostarienne (particulièrement à droite), inspiré de la politique menée par Jérôme Plassel, notamment lors de ses quatre mandats à la Présidence de la République d'Ostaria (150-157, puis 161-170) et son exercice du pouvoir plus ou moins officiel et sous diverses fonctions entre 157 et 161. Alexandre de Brétigny (Premier Ministre de 161 à 170, puis Président de la République de 170 à 174) a également eu une influence sur le plasselisme.
Historique
Ière République
IInde République
Guerre civile ostarienne et Monarchie des Delfrous
IIIème République, sous Plassel
Après Plassel
Idéologie
Exercice du pouvoir
Pour Jérôme Plassel, le Président de la République doit être une personnalité rassembleuse et au-dessus des partis politiques. Il doit également disposer d'un pouvoir puissant (comme dans la IInde République, créée par Plassel lui-même). Plassel chercha toujours à faire participer à son gouvernement une coalition étendue allant généralement du centre (voire du centre-gauche) à la droite, y compris lorsqu'il disposait seul d'une majorité confortable.
Sous la IIIème République, Plassel instaura un régime semi-présidentiel (au lieu d'un régime présidentiel qui avait auparavant ses faveurs). Bien que les raisons n'aient jamais été données par Plassel lui-même, certains ont évoqué l'influence des libéraux-conservateurs (plus favorables au parlementarisme) à la fin des années 150, et la nécessité pour Plassel d'obtenir leur soutien (n'ayant pas la majorité absolue à l'Assemblée Nationale lors de l'abrogation de la monarchie).
Économie
Pour Plassel, l'économie doit être de marché, mais avec une forte intervention de l'État, à la fois par des services publics étendus et par de nombreuses entreprises publiques. Il prône également une certaine forme de planification, notamment pour la reconstruction du pays après la guerre civile. De plus, il a recours au protectionnisme.
Régalien
Le plasselisme insiste sur le rôle de l'armée et de la police comme acteurs majeurs de la République.
Société
Plassel était, en général, plutôt progressiste sur des questions telles que le mariage homosexuel (sous la forme d'une union républicaine, la pratique religieuse étant dissociée de l'union légale) ou le droit à l'avortement. Cependant, il est à noter que la vie politique ostarienne (excepté la droite dure) est généralement progressiste (le mariage homosexuel était accepté par tous ceux à gauche de Plassel ; le droit à l'avortement n'a pas fait débat). La position de Plassel sur d'autres sujets plus clivants (comme la gestation pour autrui, par exemple) est, en revanche, généralement inconnue.
Place d'Ostaria dans le monde
Plassel attachait une grande importance à l'indépendance et au rayonnement d'Ostaria dans le monde. Sa politique étrangère était hostile à la CINS (qu'il voyait comme illégitime), et s'appuyait plutôt que un petit réseau d'alliés, notamment l'Empire d'Orient et d'Aralame, puis l'Empire de Narois, au sein de l'Entente des Nations, une organisation dont Alexandre de Brétigny fut l'instigateur.
Positionnement sur l'échiquier politique
Le positionnement de Plassel a varié quelque peu au cours de sa carrière politique. D'abord étiqueté de centre-droit au début de la Ière République pour être distingué des conservateurs, il choisit de s'identifier officiellement au centre lors de l'entrée en vigueur de la loi des 5 partis (partiellement à cause d'un refus de fusionner avec le Parti Républicain, qui, lui s'était positionné à droite). C'est plus tard, lorsque le plasselisme représentera la plus grande force politique ostarienne, qu'il sera finalement étiqueté de droite (à cause d'un changement de références dans la vie politique, pas d'un changement d'idéologie).
Influence sur la politique ostarienne actuelle
Rares sont les politiciens qui rejettent l'héritage de Jérôme Plassel. Même Julien Chastain l'a, occasionnellement, jugé favorablement (au moins après le retrait de la vie politique de Plassel).
