Alexandre de Brétigny

Alexandre de Brétigny
Fonctions
Président de la République d'Ostaria
Mandat	1 octobre 169 - 1 février 173 (4 ans)
Premier Ministre	Marlène Tardieu Laurent Lavaud Éléonore Mercier
Jérôme Plassel Julien Chastain
Premier Ministre d'Ostaria
Président	Jérôme Plassel
Mandat	19 janvier 161 - 1 octobre 169 (8 ans)
Gouvernement	Brétigny I Brétigny II
Législature	Ière IIème
Coalition	MUR - UTL MUR - PLC
Jérôme Plassel Marlène Tardieu
Ministre des Affaires Extérieures
Président	Jérôme Plassel
Premier Ministre	Lui-même
Gouvernement	Brétigny II
Mandat	14 juin 166 - 1 octobre 170 (4 ans)
Hector Johnson (Affaires étrangères) Amiral Auguste Lannier (Défense) Albert Riccardo
Député ostarien
Législature	IIème
Mandat	3 juin 166 - 18 octobre 170 (4 ans)
Groupe parlementaire	Mouvement Uni pour la République
Ministre de l'Intérieur et de la Justice
Président	Jérôme Plassel
Premier Ministre	Lui-même
Gouvernement	Brétigny I
Mandat	19 janvier 161 - 14 juin 166 (5 ans 4 mois et 26 jours)
Philippe Lacroix (Affaires régaliennes) Flowd Winter Jr (Affaires intérieures)
Biographie
Nom de naissance	Alexandre Julien Étienne de Brétigny
Genre	Homme
Nationalité	Ostaria
Naissance	20 juin 131 Abosque 22px Royaume d'Ostaria
Décès	3 juillet 214 (83 ans) Abosque Cavour République d'Ostaria
Activité professionnelle	Avocat
Engagement	Mouvement Uni pour la République
Famille
Parents	Armand de Brétigny Maëlle de Brétigny
Fratrie	Marie Guérodon Émile de Brétigny
Conjoint	Anne de Brétigny
Enfants	Charles de Brétigny Amandine Serrault

Alexandre de Brétigny, né le 20 juin 131 à Abosque et décédé le 3 juillet 214 dans la même ville, est un homme politique ostarien.

Résistant pendant la Guerre civile, il s'engage ensuite en politique dans la section de Cavour du Mouvement Uni pour la République. Fervent partisan du Président Jérôme Plassel, il devient le premier et plus long Premier Ministre de la IIIème République d'Ostaria de 161 jusqu'en 169, date à laquelle il succède à Jérôme Plassel à la Présidence de la République.

Comme Premier Ministre, il est connu pour avoir impulsé les grandes réformes de l'ère plasselienne, et avoir mené l'effort de reconstruction post-bellum, mais également pour sa politique étrangère qui amène Ostaria à se distancer de pays phoéciens, à l'image de la Lysennie et du Saphyr, et de se rapprocher du Borowen, un engagement politique qui lui vaudra des critiques de l'opposition et des observateurs internationaux. Ensuite Président, son mandat sera rapidement perturbé par la montée de l'Union de la Gauche sous la direction du leader communiste Julien Chastain, qui remporte les législatives et le pousse à la confrontation sur la question de l'équilibre institutionnelle entre la Présidence et le Parlement, confrontation qu'il remportera lors d'un référendum constitutionnel. Fort de cette victoire, il est toutefois défait au premier tour par Julien Chastain face à ce dernier lors de l'élection de 173. Il se retire ensuite de la vie politique ostarienne et demeure discret jusqu'à sa mort, 41 ans plus tard, en juillet 214.

Malgré son héritage contrasté, essentiellement sur son bilan partisan et diplomatique, il demeure l'une des grandes figures de la droite plasseliste et de la vie politique ostarienne des débuts de la IIIème République.