Différences entre les versions de « Iyroé »

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Version du 27 mars 2020 à 16:07

Union d'Iyroé
Union des Communes Fédérées Iyroéennes
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aucun pour le moment
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Unions' Flag
Unions' Flag

Image illustrative de l'article Iyroé

Capitale Akhol
Devise Libres & Solidaires
Hymne Solidarity Forever!
Festival de l'Union 18 février
Chef de l'État
Gouverneure Syndicale
Amy Ereahston
Gouvernement
Gouvernement Ikrsthan I
Régime politique Parlementarisme à tiers syndicaliste fédéral
Coordinatrice Fédérale Eleah Ikrsthan
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Gouvernement actuel {{{gouvofnow}}}
Législature
Congrès des Corporations
Type Parlementarisme unicaméral à suffrage mixte
Congrès d'Akhol
Délégué parlementaire Silho Vaermh
??
Parti au pouvoir ??
Justice
Cour de la Charte
Porte-parole de la Cour Elena Smithson
Peine maximale appliquée prison à perpétuité, exclusion syndicale
Forces armées
Autorité d'Autodéfense Iyroéenne
Délégué des corps-armés iyroéens Eric Juhl
Effectifs 220 550
État de la force non-conventionnelle Drones de défense frontalière
International
Statut Fédération souveraine reconnue
Faction ??
Démographie
Plus grande ville Argae
Population 7 534 942
Gentilé iyroéen·nes
Langue officielle
Langues reconnues Ileanais, iyroéen (slang issu d'un mélange de beaucoup de langues)
Économie
Monnaie Yh
Taux de change 1Yh=0,87Ŧ
PIB 2941 milliards de thalers
PIB/hab 32 634Yh/hab
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Histoire
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Autres
Sens de conduite droite
Indicatif téléphonique +018
Domaine Internet .iy

Iyroé, officiellement en forme longue l'Union des Communes Fédérées d'Iyroé, anciennement désigné par l'appellation Protectorat Autonome Lysennien d'Iyroé, est une Fédération de communes souveraines multiculturelle du sud-est de [continent en cours de recherche de nom].

Le pays est une fédération constituée de quatorze "foyers", constitués chacun d'environ cinq-cent "communautés communales", ce qui fait donc aux alentours de sept-mille communes souveraines fédérées.

Iyroé est une Fédération à caractère syndicaliste, dotée d'un Parlement qui exerce une partie du pouvoir politique, et d'un Gouverneur Syndical, nommé par concertation des Syndicats du pays, qui occupe une fonction symbolique, la Charte Constitutionnelle ne lui reconnaissant que le devoir d'assurer la continuité de la Fédération.

Étymologie

Le nom "Iyroé" est originellement le nom donné à un arbre extrêmement présent dans la région du pays par les explorateurs lysenniens lors de leur premières expéditions, il finira par désigner un moment la région, puis le protectorat lysennien et enfin l'Union. Le nom devient un symbole repris de façon purement administrative par les communes fédérées lorsque la Charte Constitutionnelle fut signée à l'issue du processus de décolonisation lysennien. Cependant, avec la généralisation de l'éducation à l'échelle fédérale et l'installation de diverses "Fêtes de l'Union" au travers de la Fédération, le nom d'Iyroé deviendra de plus en plus utilisé jusqu'à désigner dans le langage commun la Fédération. Pour autant, il est de notoriété populaire que les iyroéens continuent aujourd'hui à se désigner de manière commune par le gentilé de leur commune, plutôt que par la nationalité iyroéenne, qui n'est évoquée quasiment qu'à l'international.

Histoire

Antiquité

Des communautés nomades traversent les territoires iyroéens et fondent peu à peu des colonies plus sédentaires, rapidement des poches de population se forment sans créer d'ensemble uni. On ne peut considérer aucun État stable avant -1500, à partir de cette date on retrouve des traces d'administration s'étendant sur plusieurs milliers d'hectares. Cependant, aucun d'entre-eux n'arrivera à marquer sa domination sur la région. Vers -1000, la région se fera annexer après une série de conflits ayant donné lieu à la "Coalition du Sud des Montagnes", première trace d'une union des territoires iyroéens (et même au-delà) pour organiser une défense commune, par l'Empire de par-delà les Montagnes. La région conservera cependant une autonomie poussée, qui se basera par ailleurs sur les ruines de la Coalition, offrant un premier pilier à l'identité iyroéenne.

Fondation de la Communauté du Sud des Montagnes

Entre -1000 et -300, les territoires maintenant intégré à l'Empire de par-delà les Montagnes profiteront d'une autonomie préservée, outil essentiel dans la gouvernance de l'Empire afin de garantir la paix sociale étant donné les différences culturelles, et donc pour éviter une guerre civile. La Communauté sera cependant privée d'une voix diplomatique et n'aura le droit de monter qu'une force de maintien de l'ordre et marchande, toute armée terrestre ou navale étant strictement réservée à l'administration de l'Empire. Au nord, l'Empire continue de s'étendre et à mener des affaires autre que celles de la Communauté. Au sein de l'Empire, une paix relative est à observer, constituée d'affrontements mineurs entre seigneurs rivaux.

Cette période marque un développement conséquent de l'agriculture de la Communauté du Sud des Montagnes, et donc d'une augmentation de la population au sein de ces territoires, passant de 3 à 8 millions d'âmes en ces sept siècles donc.

Aux alentours de -850, alors que la Communauté était plus un rassemblement administratif de seigneurs de guerre, plusieurs différentes parties de la Communauté signèrent un pacte qui pèse lourd dans l'Histoire iyroéenne : la Charte Communautaire. En effet, ce document dont on trouve beaucoup de retranscription au travers des territoires iyroéens marquait la fondation du Conseil du Sud, et définissait clairement une harmonisation des lois en vigueur dans ces territoires. Ce Conseil, composé de seize Chefs Tribaux désignés par leurs communautés, dont les sièges étaient transmis par voie électorale à chaque mort d'un des Chefs, avait une véritable vocation politique. La Charte Communautaire marquait donc une véritable union administrative, et appelait à un décloisonnement des communautés pour faire vivre l'esprit de la Coalition.

L'Expédition Punitive des Forêts

Souvent, le grenier alimentaire qu'était devenu la Communauté du Sud servait à nourrir l'armée impériale et ses nombreuses âmes à remplir ses rangs. Un consensus était généralement trouvé entre les autorités impériales et le Conseil Communautaire, cependant, il arrivait que des rixes prennent place lors des négociations. Ce fût le cas en -540, alors que l'Empire se livrait à une guerre conséquente avec l'un de ses voisins.

L'Empire réclamait alors à la Communauté du Sud des Montagnes une série de denrées alimentaires et d'hommes, qui menaçaient de faire planer la famine dans la région. Le Conseil Communautaire avait alors refusé et avait tenté de renégocier les termes des transferts, ce que l'Empire refusait. Dès lors, le Conseil votait immédiatement la cessation des transferts, ce qui en quelques semaines a eu des conséquences extrêmement graves pour l'Armée Impériale. L'Empereur, perdant alors la guerre dans laquelle il s'était lancé et ainsi une part des territoires impériaux, voyait d'un très mauvais œil cette volonté récalcitrante à son autorité venant du Sud. Il lançait alors l'Expédition Punitive des Forêts.

Le Conseil avait préparé quelques défenses, de quoi tenir des sièges dans les grandes villes, et avait ordonné la formation d'une force dérisoire de défense communautaire. Un des Chefs Tribal a été nommé Général, et avait comme mission la défense des territoires de la Communauté. L'armée impériale est arrivée, abîmée par le conflit précédent et rationnée de façon sévère mais largement supérieure en nombre, par l'ouest de la Communauté, par les forêts. Les forces de défenses, dirigées par le Chef Tribal ont organisé une défense en utilisant leur connaissances poussées de la forêt ainsi qu'un approvisionnement constant des soldats.

Les forces impériales furent mises en déroute, en -515, par les forces de défense communautaire, après près de dix ans de combats en escarmouches dans la forêt. En partant en retraite, l'armée impériale mis le feu à la Forêt, qui brûla principalement en son nord. Une fois les combats terminés, un statu-quo a été adopté entre l'Empire et la Communauté : cette dernière restait dans l'Empire, démobilisait entièrement ses forces de défense, tandis que l'Empire lui accordait encore plus d'autonomie politique et nommait un Gouverneur qui a pour mission d'organiser les négociations entre l'autorité impériale et communautaire, de façon permanente.

Les Réformes Nécessaires

À son retour au Conseil après plusieurs années d'absence, victorieux, le Chef Tribal ayant mené les armées communautaires disposait d'une autorité largement renforcée. Ainsi, il a pu organiser sans connaître de vastes oppositions de vastes réformes pour constituer une véritable unité au sein de la Communauté. Le conseil était réduit à quatorze sièges, dont les membres étaient issus des familles les plus prestigieuses (la notion était laissée vague de manière volontaire) des quatorze villes les plus riches de la communauté, et devait nommer un Représentant Communautaire à vie. L'autonomie de chaque communautés fut largement réduite. Ces réformes furent nommées les "Réformes Nécessaires" - pour garantir la défense communautaire en cas d'une prochaine attaque.

Au sein des villes justement émergeait aux environs de -490 une gestion des ressources assez différente vis-à-vis du reste de l'Empire. L'absence d'autorités locales fortes a mené les âmes de la Communauté à s'organiser en corporations afin de définir la production et sa répartition. Alors que la Communauté était là pour récolter l'impôt et bâtir les infrastructures, les Corporations contrôlaient la production, cependant, leur fonctionnement était clairement aristocratique. Ce fonctionnement offrait une stabilité aux structures économiques communautaires, et fut donc largement accepté jusqu'à devenir une norme.

Entre -500 et -300, donc, une stabilité remarquable a permis une expansion agraire de la Communauté, à mesure que les relations avec l'Empire s'apaisaient au cours des décennies. Cependant, d'autres maux rongeaient la société communautaire et, à l'intérieur, des troubles paysans commençaient à émerger et inquiéter les élites communautaires.

Ère de la Révolution Pacifique (-375/-290)

La production et la population augmentaient, le Conseil était fort et avait une voix écoutée au sein de l'Empire, la Forêt avait repoussé dans la Communauté du Sud des Montagnes. À regarder uniquement les indicateurs généraux, la société semblait se porter merveilleusement bien. Cependant, au sein des communes, des corporations, la colère paysanne grondait et était agitée par des apôtres d'un nouveau genre, qui prônaient la fin de l'aristocratie et le retour à la vénération de la Terre et de la Faune. Les élites communautaires ne prenaient cependant pas au sérieux ces éléments, voyant le Trésor Communautaire en constante expansion. Cependant, le mouvement continuait, et enflammait bientôt l'écrasante majorité des communes communautaires. Entre -375 et -290, ainsi, des centaines de corporations abandonnaient totalement leurs règles aristocratiques - surtout dans les territoires les plus ruraux - au profit d'une gestion "au mérite" : la personne jugée la mieux placée pour diriger la corporation était désignée par les membres de cette dernière. Une véritable vague que l'on pourrait aujourd'hui qualifier de démocratique a progressivement changé les règles communautaires.

Ces nouvelles têtes, cependant, ne remirent pas en question le Conseil ni les impôts dans un premier temps, et, ignorées par les élites communautaires, ont pu selon les territoires faire adopter de nouvelles règles à l'échelle des communes. Petit à petit dans les communes, les locaux des corporations obtenaient un rôle bien plus important de gestion politique de la ville. Cette tendance était exponentielle, ne concernant qu'environ 910 communes en -350 puis plus de 6000 en -305. Entre -303 et -298, les paysans alliés aux manufacturiers et artisans réussirent à obtenir douze des quatorze Grandes Corporations, leur offrant dès lors un poids non-négligeable que les élites ne pouvaient plus ignorer.

Une fois majoritaires au Conseil Communautaire, les "Corporatistes" comme ils étaient appelés ont déclenchés aux alentours de -290 la "Convention Paysanne" afin d'établir de nouvelles règles dans le fonctionnement de la Communauté.

De la Convention Paysanne au Protectorat Lysennien

La Convention Paysanne dota la Communauté d'un renouveau politique profond. Tout d'abord, elle proclama que le Représentant Communautaire devait désormais être choisi par la majorité des corporations, dont chacune possède une voix. Le Conseil Communautaire était remplacé par un Congrès des Corporations, où siégeraient 333 chefs de communes -de corporations, donc- tirés au sort (hormis les quatorze chefs des plus grandes cités, qui ont un siège permanent). Le Représentant Communautaire, désormais plébiscitaire, avait une série de pouvoirs très étendus, élu à vie, il était entouré de divers conseillers pour bâtir la politique économique, de défense, pour traiter avec l'Empire et pour recueillir les cahiers rédigés par le Congrès des Corporations. La nouvelle Charte Fondamentale entrait en vigueur le huit février -288.

Ces nouvelles institutions, fondant un véritable prototype "d'État-nation" au sud-est du continent, s'accompagnèrent d'une ère d'installation pure et simple des corporations au pouvoir. Le processus de "démocratisation", comme on pourrait l'appeler - même si dans les faits des millions de personnes ne participaient pas aux élections corporatistes -, s'accompagnait aussi d'une tendance à la distanciation vis-à-vis de l'Empire de la part de la Communauté. Chaque année, les transferts étaient revus à la baisse par les négociations entre le Gouverneur et le Représentant, il en allait de même pour la participation à l'Armée Impériale.

Cette tendance, s'établissant entre -290 et -130 a connu son apogée vers -205 où un nouveau rixe éclata entre l'Empire et la Communauté aboutissant en -170 en l'indépendance de facto de la Communauté, qui cessa à nouveau les transferts et proclama la formation d'une Armée Communautaire, la réquisition de navires pour fonder une flotte ainsi que la création d'un Corps diplomatique. Cette première indépendance, appelée "l'Indépendance Adolescente" aujourd'hui, n'a cependant jamais donné lieu à un conflit majeur digne de l'Expédition des Forêts.

En effet, alors que les premiers explorateurs phoéciens, lysenniens notamment, avaient pris connaissance de la Communauté, l'Empire par-delà les Montagnes se préparait quant à lui à la guerre pour réintégrer la Communauté en son sein. Les corporations, prises d'une peur paranoïaque de la dissolution par l'Empire en cas de défaite - qui semblait certaine, à la vue de l'état des forces -, ont largement fait pression auprès du Congrès et du Représentant pour élaborer un plan en deux temps : premièrement, on apaisait les relations avec l'Empire pour repousser la guerre (par des cadeaux, des faveurs, des compliments...), secondement, on traitait avec les nouveaux hommes venus de la mer, dotés d'armes nouvelles, pour tisser des liens forts.

C'est ainsi qu'après près de cinquante ans de statu-quo entre l'Empire et la Communauté, alors que les tensions remontaient, le Traité d'Iyroé fut signé entre la Lysennie et la Communauté, donnant le statut de protectorat à la Communauté en échange de transferts. Les corporations acceptaient avec grand soulagement ce Traité, désarmèrent la Communauté alors que l'Armée Lysennienne prenait place.

Le Traité d'Iyroé Il s'agit d'un document signé entre la Lysennie et le Représentant Communautaire, devenant Représentant iyroéen, approuvé par le Congrès des Corporations. C'est sûrement l'accord le plus important de l'histoire moderne d'Iyroé, car il a d'une part donné son nom à la Fédération, et d'autre part amené aux changements les plus radicaux jamais apportés dans les territoires iyroéens. Le traité proclamait donc le désarmement complet d'Iyroé, la fin du corps diplomatique, et faisait de la Communauté du Sud des Montagnes le "Protectorat Lysennien d'Iyroé". Il indiquait que les transferts seraient négociés tous les trimestres entre le Gouverneur Lysennien et le Congrès des Corporations, éliminant le rôle de Représentant de facto.

Sous la situation coloniale

LA SUITE, C'EST SAPHYR (J'UTILISE LA FICHE DE SAPHYR COMME MODELE TEMPORAIRE)

Apogée du Parlement

Ère actuelle

Géographie

Frontières

Officiellement revendiquées depuis la création de l'Empire, les frontières actuelles du Saphyr ne sont pourtant strictement définis que depuis récemment - et aujourd'hui encore remise en question par moultes associations culturelles locales. Historiquement, les frontières suivent un tracé essentiellement culturel, qui s'étend des anciennes cités marchandes côtières du Sud aux anciens comtés féodaux montagneux de Skjördland et de Skadie. Cette répartition a toutefois longtemps été sources de conflits, du fait d'une cartographie difficile à établir dans les régions montagneuses, propice à des conflits frontaliers qui contribuèrent encore davantage à l'instabilité des frontières. Les frontières définies actuellement sont cependant reconnus par la totalité des partenaires diplomatiques du Saphyr, la communauté internationale, ainsi que par l'unique voisin terrestre direct du Saphyr, le Borowen - reconnaissance qui est devenue officielle après la fin de la guerre du Lac.

Environnement

Malgré un climat réputé très froid du fait du positionnement très au Nord du pays sur le continent, les températures varient énormément d'un endroit à l'autre du pays. Ainsi, alors que le Nord du pays, très montagneux, est sujet à des hivers allant jusqu'à 7 mois, le Sud du pays connaît des hivers plus courts et plus doux et des étés parfois caniculaires. De par cette diversité, les territoires du Nord, faute d'un environnement propice à une agriculture vivrière, orientent fortement leur économie sur leur exploitation des minerais précieux et leur production sylvicole, tandis que le Sud, à l'inverse, demeure beaucoup plus rural.

Faune et flore

Société

Population

Langue

Le Phoécien d'Acadie, variante nord-occidentale du Phoécien lysennien, est la langue la plus parlée au Saphyr (près de 96% de locuteurs natifs)

Culture

Religion

La Foi Constantine, reconnue officiellement par l'État, est la principale religion.

Éducation

Crime et sécurité civile

Droits humains

Politique

Couronne Impériale

Gouvernement

Législature

Le Parlement de Sa Majesté Impériale, aussi appelé officieusement Parlement impérial ou Parlement fédéral, est composé de 3 chambres disposant de compétences spécifiques définies et attribuées par la Constitution.

    • Sénat Impérial

Le Sénat est la chambre haute du Parlement, en charge de la plupart des compétences régaliennes et de la gouvernance fédérale. Les Sénateurs impériaux sont élus à la proportionnelle et le parti dominant au Sénat est responsable de la désignation du gouvernement fédéral après chaque élections générales. Le Vice-Président du Conseil Impérial, chef adjoint du gouvernement, est également l'officier président de la chambre, proposé à nomination à l'Empereur par le Président du Conseil Impérial après son investiture.

    • Congrès Fédéral

Le Congrès est la chambre basse du Parlement, composée de députés fédéraux élus par circonscription dans chaque Principauté et Cité libre. Ceux-ci sont responsables de la mise en place de politiques et projets dans les domaines de compétences des juridictions locales au niveau national. Le Président du Congrès Fédéral est élu par les députés fédéraux.

    • Diète des Princes

Chambre "intermédiaire", chambre historique du Parlement, la Diète est composé de pairs héréditaires en possession de titres de noblesse fonciers, ou de pairs non-héréditaires nommés à vie par un Prince Souverain ou l'Empereur. La Diète joue le rôle de contre-pouvoir vis-à-vis des deux autres chambres. Elle joue un rôle important dans le fonctionnement de la monarchie impériale. La Diète peut aussi se rencontrer en session à huis-clos pour débattre et voter sur des politiques et décisions relevant d'une déclaration de guerre offensive ou du secret défense absolue, sur requête de l'Empereur ou du Conseil.

Noblesse d'Empire

Organisation territoriale

L'Empire du Saphyr est une monarchie qui hérite son système administratif de l'ère nobiliaire : une grande partie des pouvoirs sont ainsi délégués à des entités régionales, anciens fiefs de nobles ayant prêtés allégeance à la Couronne.

Le pays est constitué du domaine de la capitale fédérale, le Palatinat ou Comté palatin d'Orcyssia, dirigé par le Chancelier Palatin, de 6 principautés fédérées dirigés par des Princes Souverains et gouvernés par des Ministre-Présidents élus démocratquement, et de 3 cités libres dirigé par des Président-Maires.

L'Empire du Saphyr étend également sa souveraineté sur 4 protectorats, qui sont considérés comme des entités autonomes mais qui sont de facto intégré dans l'Empire.

  1. Comté palatin d'Orcyssia
  2. Principautés fédérées
    • Principauté de Rígland
    • Principauté de Skjördland
    • Principauté de Njördland
    • Principauté de Skadie
    • Principauté d'Orcadie
    • Principauté de Wyvaldie
  3. Cités libres
    • Cité libre de Leipzigton
    • Cité libre de Lachford
    • Cité libre de Katalina
  4. Protectorats

Partis politiques

Forces armées

Relations étrangères

Économie

Finances

Industries dominantes

Égalité sociale

Infrastructures

Architecture et urbanisation

Monuments

Transports

Eau et énergie

Divers

Personnalités connues

Anecdotes