Différences entre les versions de « Jean-Philippe Bruguière »
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Pour les [[Élections générales ostariennes de 203|élections générales de 203]], son parti [[Viv(r)e la Ruralité (Ostaria)|Viv(r)e la Ruralité]] s'allie à l'UDSR, au PRS et à l'AP pour former l'Union Républicaine pour le Progrès, une coalition hétéroclite. Dans le cadre de cette alliance, il est candidat aux élections législatives et tête de liste aux élections régionales. Il obtient 17,10% des voix dans sa circonscription, obtenant la troisième place mais étant largement battu par le candidat de gauche. Il est toutefois élu conseiller régional, sa liste recueillant 11,51% des suffrages. | Pour les [[Élections générales ostariennes de 203|élections générales de 203]], son parti [[Viv(r)e la Ruralité (Ostaria)|Viv(r)e la Ruralité]] s'allie à l'UDSR, au PRS et à l'AP pour former l'Union Républicaine pour le Progrès, une coalition hétéroclite. Dans le cadre de cette alliance, il est candidat aux élections législatives et tête de liste aux élections régionales. Il obtient 17,10% des voix dans sa circonscription, obtenant la troisième place mais étant largement battu par le candidat de gauche. Il est toutefois élu conseiller régional, sa liste recueillant 11,51% des suffrages. | ||
Les adhérents de son parti le confirment comme candidat à l'élection présidentielle de 207. Les sondages lui président alors un score nettement inférieur à celui obtenu sept ans plus tôt. | Les adhérents de son parti le confirment comme candidat à l'[[Élection présidentielle ostarienne de 207|élection présidentielle de 207]]. Les sondages lui président alors un score nettement inférieur à celui obtenu sept ans plus tôt. Il obtient finalement 2, 35% des voix, un score en légère baisse par rapport à celui de 200. | ||
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En février 210, il appelle à voter non au [[Référendum constitutionnel ostarien de 210|référendum constitutionnel]] initié par la majorité de gauche. Lors des [[Élections générales ostariennes de 210|élections générales]] qui suivent la victoire du non, il est élu député sur la liste de son parti menée par [[Chloé Besnard-Cordonnier]] et devient président du groupe des députés VLR. | |||
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Il épouse Marie Cohen, également habitante du village de Saint-Florent-les-Ponts et qu'il a rencontré sur les bancs de l'école, en l'an 168. Ils ont un fils unique en l'an 170. | Il épouse Marie Cohen, également habitante du village de Saint-Florent-les-Ponts et qu'il a rencontré sur les bancs de l'école, en l'an 168. Ils ont un fils unique en l'an 170. | ||
Version du 17 mai 2023 à 09:58
| Jean-Philippe Bruguière | ||||
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| Fonctions | ||||
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| Député ostarien | ||||
| Législature | XIVème | |||
| Élection | 5 mars 210 | |||
| Mandat | 6 mars 210 (21 ans, 8 mois et 16 jours) |
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| Groupe parlementaire | VLR | |||
| Conseiller régional d'Aupagne | ||||
| Élection | 17 juillet 203 12 novembre 207 5 mars 210 |
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| Mandat | 18 juillet 203 (28 ans, 4 mois et 4 jours) |
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| Groupe | URP (203-207) ADN-VLR (207-210) VLR (210-...) |
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| Biographie | ||||
| Nom de naissance | Jean-Philippe Bruguière | |||
| Genre | Homme | |||
| Nationalité |  Ostaria
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| Naissance | 1er déc. 138 (92 ans) Saint-Florent-les-Ponts, Aupagne Ostaria
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| Activité professionnelle | Garde-forestier Homme politique |
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| Engagement | VLR | |||
| Famille | ||||
| Conjoint | Marie Cohen | |||
| Enfants | Christophe Bruguière | |||
Jean-Philippe Bruguière est garde-forestier et homme politique ostarien né le 1er décembre 138, membre de Viv(r)e la Ruralité.
Biographie
Jeunesse et carrière de garde-forestier
Jean-Philippe Bruguière naît le 1er décembre 138 à Saint-Florent-les-Ponts, une petite commune en Aupagne. Il y vit avec ses parents et y grandit avant de s'y acheter son propre pavillon à l'âge de 20 ans, quelques mois après avoir été engagé comme garde-forestier de la commune.
Il reste garde-forestier pendant 42 ans, ne prenant sa retraite qu'en 199 pour préparer son engagement politique. Dans la commune et aux alentours, il est connu alors pour ses diverses responsabilités dans des associations de chasseurs.
Carrière politique
Inconnu du grand public, il annonce sa candidature à l'élection présidentielle de 200. Sa candiature est validée grâce au parrainages de 15 conseillers régionaux de Kosmostaria. Candidat atypique et axant sa campagne sur la défense de la ruralité, il obtient 2,94% des suffrages au premier tour, un score étonnamment élevé.
Pour les élections générales de 203, son parti Viv(r)e la Ruralité s'allie à l'UDSR, au PRS et à l'AP pour former l'Union Républicaine pour le Progrès, une coalition hétéroclite. Dans le cadre de cette alliance, il est candidat aux élections législatives et tête de liste aux élections régionales. Il obtient 17,10% des voix dans sa circonscription, obtenant la troisième place mais étant largement battu par le candidat de gauche. Il est toutefois élu conseiller régional, sa liste recueillant 11,51% des suffrages.
Les adhérents de son parti le confirment comme candidat à l'élection présidentielle de 207. Les sondages lui président alors un score nettement inférieur à celui obtenu sept ans plus tôt. Il obtient finalement 2, 35% des voix, un score en légère baisse par rapport à celui de 200.
Plus tard dans l'année, il échoue à se faire élire député dans le cadre des élections générales et est réélu comme conseiller régional d'Aupagne.
En février 210, il appelle à voter non au référendum constitutionnel initié par la majorité de gauche. Lors des élections générales qui suivent la victoire du non, il est élu député sur la liste de son parti menée par Chloé Besnard-Cordonnier et devient président du groupe des députés VLR.
Famille et vie privée
Il épouse Marie Cohen, également habitante du village de Saint-Florent-les-Ponts et qu'il a rencontré sur les bancs de l'école, en l'an 168. Ils ont un fils unique en l'an 170.
