Sarande
Royaume de Sarande
Βασίλειο των Σαράντα
« La mer pour seule liberté »
(« Η θάλασσα μόνο για ελευθερία »)
Capitale | Praliva |
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Fête de la démocratie | 6 août 168 |
Chef de l'État
Roi de Sarande
Βασιλιάς των Σαράντα
Christos Alexandrous
Reine de Sarande
Βασίλισσα των Σαράντα
Eleni Alexandrous
Gouvernement
Conseil de Sa Majesté
Συμβούλιο της Αυτού Μεγαλειότητας
Régime politique | Monarchie dyarchique parlementaire |
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Législature
Parlement de Sa Majesté
Βουλή της Αυτού Μεγαλειότητας
Sénat du Royaume
Γερουσία του Βασιλείου
Assemblée du Royaume
Συνέλευση της Βασιλείας
Justice
Justice Royale
Βασιλική Δικαιοσύνη
Peine maximale appliquée | Exécution par pendaison |
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Cour Royale de Justice
Βασιλικό Δικαστήριο
3 Juges nommés par Sa Majesté
Diplomatie
Statut | Nation souveraine reconnue |
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Démographie
Gentilé | Sarandai.se |
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Religion | Constantine |
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Sarande en forme longue le Royaume de Sarande, est un État souverain localisé sur le continent phoécien.
Histoire
Antiquité
Ère classique
Ère nobiliaire
Ère moderne
Ière république (173 - 175)
Alors que le Royaume de Sarande subit une grave crise économique et sociale, les Sarandais décident de descendre dans les rues pour manifester leur mécontentement et leur besoin d'aide de la part du couple Royale qui est accusé de ne pas en faire assez pour subvenir aux besoins des habitants du Royaume. Après plusieurs semaines de manifestations et de grève sans que le couple Royale ne cède aux demandes du peuple, ces derniers commencèrent à mettre en avant au cour de leur manifestation la volonté de mettre en place une République Présidentielle comme cela est déjà le cas dans de nombreux pays voisin du continent Phoécien.
Alors qu'un an plus tôt, les monarchistes remportaient les élections législatives, le gouvernement emmené par Yiorgos Hatzis était à ce moment-là rejeté avec force par les citoyens Sarandais. A la suite de ces manifestations sans précédent, Yiorgos Hatzis en sa qualité de Premier Ministre, déposa sa démission ainsi que celle de son gouvernement auprès de Sa Majesté. Le couple Royale ayant conscience de la tension social et de la volonté de plus de démocratie décida de dissoudre le parlement et de provoquer des élections anticipés.
Après une campagne éclair de seulement quelques semaines, les socialistes et les Vakéministes forment un gouvernement majoritaire la 8 janvier 173 avec pour principal projet celui de mettre fin à la monarchie sur l'île qu'ils tiennent responsable de tout leur maux. Néanmoins, le 9 janvier 173, soit le lendemain de cette victoire, les Vakéministes font un coup d'Etat et mettent fin à la monarchie pour laisser place à une République dont Vaggelis Loris se proclament Président à vie.
Dès son arrivée au pouvoir, Vaggelis Loris, annonce vouloir s'en prendre à tout les anciens proches de la monarchie et ceux qui on profité de ce système pour s'engraisser sur le dos des plus faibles. Lors de son discours de politique général dans l'enceinte du Parlement, Vaggelis Loris porte également un discours très hostile à ces voisins et leur promet de soutenir tout les camarades Vakéministes prêt à prendre les armes pour renverser leur gouvernement. C'est alors que le 12 janvier 173, plusieurs pays de Phoécie entrent officiellement en guerre contre la République de Sarande. Le lendemain de cette entrée en guerre, le Borowen engage une bataille dans la mer de feu au sud de l'île et parvient à détruire la moitié de la flotte Sarandaise souffrant d'une nette infériorité numérique et technologique.
Le 14 janvier 173, la flotte Hiranaise alliée à la flotte Lysennienne détruit le reste de la flotte Sarandaise et place l'île sous blocus maritime. Lors de cette même journée, les deux pays détruisent également la moitié de l'aviation Sarandaise qui souffrait elle aussi d'une infériorité numérique et technologique. Enfin, c'est dans ce contexte de guerre intense que les citoyens sont appelés par Vaggelis Loris pour élire le nouveau parlement où seul deux partis politique sont autorisés, celui des Vakéministes et celui des Socialistes. Cette élection est jugée frauduleuse par les observateurs internationaux et voit le parti Vakéministe s'emparer de 80% des sièges du parlement.
Le 15 janvier 173, Vaggelis Loris lance ce qu'il reste de l'aviation Sarandaise contre la flotte Hiranaise et Lysennienne qui forment un blocus maritime autour de l'île dans le but de le casser et de redonner un peu d'oxygène à une île renfermé sur elle même. Malgré une réussite modérée de cette attaque, l'aviation Sarandaise subit une réponse puissante des coalisés rejoint par Carlomania qui finira par détruire ce qu'il restait de l'aviation Sarandaise. Réduite à une seule armée terrestre, la Sarande de Vaggelis Loris semble à genou. C'est en fin de journée que les coalisés décidèrent de s'en prendre cette fois à l'armée terrestre de la Sarande en lançant un vaste bombardement sur l'île coûtant la vie à 18 600 soldats Sarandais dont 3 000 soldats mineurs engagés de force dans l'armée à la suite de la mobilisation générale notamment des mineurs fait par l'Etat Sarandais. Ce bombardement laissa une trace impossible à oublier tant sur le plan matériel avec la destruction de l'immense majorité des infrastructures du pays et sur le plan moral car ce jour-là, tous le monde avait vu mourir un proche.
Le 17 janvier 173, deux jours seulement après ce bombardement terrible, Vaggelis Loris décide de signer la paix avec les coalisés et l'île est placée sous protectorat Lysennien. Vaggelis Loris est quand à lui arrêter et juger pour crime contre l'humanité après avoir conduit à la mort 3 000 mineurs. Le 18 janvier 173, un référendum sur l'avenir institutionnel du pays est organisé sur l'île et voit une nouvelle fois la victoire de la République.
Le 26 février 174, les premières élections démocratique post guerre sont organisées et voit la droite sortir vainqueur des élections législativatives. Nasos Chaconas est élu Premier Ministre après avoir défendu durant toute la campagne une ligne libéral et conservatrice portée sur la reconstruction économique et sociale de l'île.
Consulat de Dorée (175 - 178)
Le 7 mars 175, Philippe Mozin est élu Président de la République Ostarienne avec la promesse de redonner son indépendance à l'île. Incarnant tout au long de la campagne le visage d'un père de la nation ayant à coeur de lui redonner sa liberté et sa dignité, il réussit à remporter l'élection présidentielle dès le premier tour avec 54,68 % des suffrages.
Le 14 mars 175, la Lysennie et Ostaria décident conjointement de levé le protectorat sur la Sarande et la Sarande signe un traité de reconnaissance mutuelle avec la République du Bluiyglesh.
Le 27 mars 175, seulement 20 jours après son élection, le Président de la République Philippe Mozin annonce lors d'une allocution télé que la république de Sarande quitte la CINS qui serait selon lui une organisation internationale corrompue visant à faire la promotion des intérêts d'une poignée du pays en pillant et en détruisant les autres pays souverain. Cette allocution relance la guerre et Ostaria ainsi que Arkadia rentrent en guerre contre la République de Sarande qui annonce ne pas se battre. Les militaires Ostariens et Arkadiens rentrent sur l'île sans problème et annoncent la création du Consulat Doréen avec le nord de l'île occupé et administré par Arkadia et le sud de l'île occupé et administré par Ostaria.
Le 31 mars 175, la CINS annonce reconnaître le Consulat Doréen et l'envoie d'une mission qui veillera aux respects des droits humains sur l'île. Le Président déchu, Philippe Mozin, s'exile à Narois avec ce qu'il reste de son gouvernement. Il est rapidement mis sous le coup d'un mandat d'arrêt international émis par Arkadia.
Le 1er avril 176, Philippe Mozin est retrouvé mort dans sa maison à Narois. L'enquête sur son décès en conclu à un suicide. Une conclusion que les fidèles de l'ancien Président ne croiront jamais en accusant les coalisés d'avoir empoisonné l'ancien dirigeant de l'île.
Le 5 juin 178, Ostaria annonce levée son protectorat sur la partie sud de l'île.
Le 8 juin 178, les soldats Arkadiens lancent une attaque nocturne à la suite de la levée du protectorat au sud de l'île pour récupérer cette partie maintenant libre. Au cour de cette attaque, 5 500 soldats sont tués dont 500 soldats Ostariens. En réponse à cette attaque, Ostaria lance une offensive aérienne en bombardant les positions Arkadiennes provoquant la mort de près de 16 000 personnes dont plus de 10 000 civils Sarandais soit 20 % de la population totale de l'île. Arkadia annonce une purge au sein de son armée et niera toute implications dans les incidents meurtriers qui ont eu lieu. Quelques heures plus tard, Arkadia annonce renoncer à son protectorat au nord de l'île.
Le 9 juin 178, la Sarande est réunifiée sous un régime républicain par le Président Ostarien Julien Chastain plaçant la Sarande sous la protection d'Ostaria.
Territoire de Sarande (178 - 192)
Le territoire de Sarande est le nom donné à l'île pendant les 14 ans qui ont suivis sa grande guerre. Durant cette période, l'île est administrée et est sous protectorat d'Ostaria.
Etat de Sarande (192 - 198)
Avec l'arrivée au pouvoir de la Présidente Ostarienne Aya Leclerc, l'idée d'une Sarande à nouveau libre refait surface. A l'été 192, de nombreuses manifestations sont organisées partout sur l'île avec en tête de cortège Maria Panayi figure locale de la gauche progressiste et pro indépendance. Après plusieurs jours de manifestation en faveur de l'indépendance, Maria Panayi est invitée en Ostaria pour rencontrée Aya Leclerc et donc envisager une sortie de crise convenable pour les deux parties.
Après de nombreuses années de négociations, c'est en 193 qu'un traité visant à donner l'indépendance à la Sarande est conclu entre les deux parties. Cet accord prévoit une liste de condition que doit respecter la Sarande pour organiser ensuite un référendum d'indépendance dont Ostaria s'engage à reconnaître le résultat. A la suite de la signature de cet accord, des élections législatives sont organisées pour élire les 57 Députés du parlement Sarandais devenu compétent sur l'ensemble des sujets sauf en matière de défense et de politique international.
Ces premières élections sont marquées par de nombreuses controverses notamment par la présence d'un parti ouvertement Vakéministe faisant référence à Vaggelis Loris. Après plusieurs mois de recours auprès de la haute autorité chargée de garantir la bonne tenue des élections, il est acté que le Parti Vakéministe de Sarande (PKS) est autorisé à se présenter. Une polémique similaire éclate par la suite avec la candidature de la Ligue des Sarandais (LS) un parti ouvertement d'extrême droite revendiquant l'héritage de Philippe Mozin. A nouveau, la haute autorité chargée de contrôler ces élections autorise le parti à présenter une liste lors des élections législatives. Trois autres partis sont candidat à cette élection : Les SociauxÉcolos (LSÉ) (gauche), Mouvement Centriste de Sarande (MCS) (centre) et enfin le Rassemblement Patriote Sarandais (RPS) (droite).
Tête de liste | Liste | % | Sièges | ||||||
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Maria Panayi | Les SociauxÉcolos (LSÉ) | 41,76 % | 24/57 | ||||||
Alexis Tripis | Rassemblement Patriote Sarandais (RPS) | 40,32 % | 23/57 | ||||||
Stella Zervou | Mouvement Centriste de Sarande (MCS) | 18,82 % | 5/57 | ||||||
Evangelos Malia | Ligue des Sarandais (LS) | 5,32 % | 3/57 | ||||||
Aggelos Logos | Parti Vakéministe de Sarande (PKS) | 3,78 % | 2/57 |
Cette élection voit la victoire sur le fil des SociauxÉcolos (LSÉ) emmené par Maria Panayi qui forment dès le lendemain un gouvernement majoritaire aux côtés du Mouvement Centriste de Sarande (MCS). Même si le Rassemblement Patriote Sarandais (RPS) échoue à remporter ces élections, il peut se satisfaire de réaliser un score supérieur à 40% à la surprise générale.
Le gouvernement Panayi I mène une politique social avec la création d'une couverture médicale de base pour tout les citoyens de l'île leur permettant de ne pas payer les consultations chez le médecin généraliste. Néanmoins, le plus grand chantier du gouvernement est celui de la démocratie et de l'indépendance. Maria Panayi entretiendra de nombreux échanges avec la Présidente Aya Leclerc pour obtenir en 198 l'organisation d'un référendum pour ou contre l'indépendance de la Sarande comme cela était prévu dans le traité signé 5 ans plus tôt.
C'est à l'issue d'une campagne sans réelle opposition à l'indépendance que le OUI à l'indépendance l'emporte très largement avec un peu plus de 80% des suffrages. Le soir même, Maria Panayi annonce l'indépendance de l'île et le retour du Royaume de Sarande plus démocratique. Le lendemain du référendum, les observateurs Sarandais et Ostariens venus vérifier la bonne tenue des opérations de vote confirme l'authenticité des résultats. Aya Leclerc reconnaît dans la foulée les résultats et l'indépendance de la Sarande.
Royaume de Sarande (198 - ...)
Après 5 années de transition, c'est au cour de l'année 198 que le Royaume de Sarande retrouve son indépendance vis-à-vis d'Ostaria. L'année 198 marque également la fin de la première mandature post guerre. Maria Panayi annonce rapidement se présenter pour conduire une seconde fois le gouvernement. Elle est la première à se déclarée candidate pour l'Union Progressiste (UP). Dans les jours suivants la déclaration de candidature de la Première Ministre, les différents principaux partis du pays annoncent également leur candidature.
La campagne voit émerger la Fédération Ecologiste (FE) celle-ci monte rapidement dans les sondages grâce à un fort soutien auprès des moins de 35 ans et de la prise de conscience écologiste dans la jeune génération. Le jeune parti se place à gauche de l'échiquier politique et met en avant des propositions traditionnelles de cette famille politique.
Le Parti Vakéministe de Sarande (PVS), annonce également présenter une liste de candidat. Toutefois, Lisa Angelopoulou, tête de liste du parti annonce avoir mené une purge au sein de son parti de toutes les personnes ayant de prêt ou de loin des liens avec Vaggelis Loris. Cette purge semble également se faire du côté de Résistance Sarandaise (RS) emmené par Theofylaktos Anagnos.
Au centre de l'échiquier, le Parti Libéral de Sarande (PLS) est emmené par Anargyros Levas. Au cour de la campagne, le parti défend son bilan de coalition gouvernementale avec l'Union Progressiste (UP).
Enfin, à droite la Convention des Démocrates (CD) mène une campagne sur les fondamentaux en mettant en avant des mesures économiques fortes pour relancer une économie qui peine à se relever des décennies de guerres et d'occupation.
Tête de liste | Liste | % | Sièges | ||||||
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Maria Panayi | Union Progressiste (UP) | 29,52 % | 30/100 | ||||||
Petros Christos | Convention des Démocrates (CD) | 23,70 % | 24/100 | ||||||
Paraskevoula Sava | Convention des Démocrates (CD) | 17,42 % | 17/100 | ||||||
Lisa Angelopoulou | Parti Vakéministe de Sarande (PVS) | 11,75 % | 12/100 | ||||||
Theofylaktos Anagnos | Résistance Sarandaise (RS) | 9,90 % | 10/100 | ||||||
Anargyros Levas | Parti Libéral de Sarande (PLS) | 7,71 % | 8/100 |