Élections générales ostariennes de 238
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| Élections générales de 238 XXIème législature | ||||||||
| 2 juillet 238 | ||||||||
| Type d’élection | Suffrage universel direct | |||||||
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| Corps électoral et résultats | ||||||||
 Elias Staphenberg La Nouvelle Alternative |
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26,69 % |
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| Députés | 71 | |||||||
| Conseillers régionaux | 475 | |||||||
 Marie-Claire d'Esquincourt Alliance de la Droite Nationale |
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24,60 % |
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| Députés | 65 | |||||||
| Conseillers régionaux | 343 | |||||||
 Béatrice Lusignan RDS |
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21,21 % |
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| Députés | 56 | |||||||
| Conseillers régionaux | 203 | |||||||
 Valentine Miron Parti Populaire |
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16,48 % |
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| Députés | 44 | |||||||
| Conseillers régionaux | 159 | |||||||
 Jean-Philippe Walter Mouvement Populaire et Républicain |
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5,5 % |
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| Députés | 15 | |||||||
| Conseillers régionaux | 53 | |||||||
| Premier Ministre de la République d'Ostaria | ||||||||
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Les élections générales ostariennes de 238 ont lieu le 2 juillet 238 en Ostaria afin de pourvoir les 251 sièges de l'Assemblée Nationale de la XXIème Législature de la IVème République d'Ostaria, mais aussi pour renouveler les 6 conseils régionaux et les 24 conseils municipaux.
Les élections de 238 sont marqués par une forte augmentation de la défiance de la population envers les hommes et les femmes politiques. Un sondage de l'Institut des Statistiques Ostariennes publié par L'Œil révèle que 61% des ostariens n'ont pas confiance dans la politique. Ce niveau historique de défiance peut trouver son origine dans la non-application par le gouvernement Vabre-Nicolo (LNA-RDS) des mesures les plus ambitieuses de son programme, et par l'absence d'activité de l'Alliance de la Droite Nationale et du Parti Populaire.
Ernest Vabre-Nicolo, premier ministre sortant, refuse la tête de liste de LNA et laisse sa place à l'ancien président par intérim Elias Staphenberg. Au centre, on retrouve 3 candidatures de petit parti politique : La Démocratie ! - Démos, le parti, En Mouvement ! et le Parti Constantin Républicain.
A gauche, le Rassemblement Démocratique Socialiste est à nouveau représenté par Béatrice Lusignan. Le Mouvement Populaire et Républicain, guidé par Jean-Philippe Walter, cherche à faire son retour à l'assemblée nationale en surfant sur le rejet général des partis politiques. Ostaria Populaire, un parti révolutionnaire d'extrême-gauche, est également dans la course.
L'Alliance de la Droite Nationale, qui espère profiter de l'échec du gouvernement de centre gauche sortant, présente à nouveau sa candidature avec Marie-Claire d'Esquincourt en tête de liste. A l'extrême droite de l'échiquier politique, enfin, le Parti Populaire est représenté par Valentine Miron.
