Claire Fournier

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Claire Fournier
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Fonctions
Conseillère régionale de Bacapy
Élection 2 juillet 238
Mandat 3 juillet 238
(6 ans, 5 mois et 3 jours)
Groupe RDS
Biographie
Nom de naissance Claire Charlotte Fournier
Genre Femme
Nationalité Drapeau d'Ostaria (République).png Ostaria

Naissance 27 octobre 214 (30 ans)
Menargues
Drapeau de Bacapy.png Bacapy
Drapeau d'Ostaria (République).png Ostaria

Activité professionnelle Fonctionnaire
Femme politique
Engagement RDS (232-...)
Famille
Parents Robert Fournier
Fabienne Simon

Image illustrative de l'article Claire Fournier

Claire Fournier, née le 27 octobre 214 à Menargues, est une fonctionnaire et femme politique ostarienne, membre du Rassemblement Démocratique Socialiste, dont elle est la première secrétaire depuis juillet 239.

Biographie

Famille et enfance

Claire Fournier naît le 27 octobre 214 à Menargues. Elle est l'unique enfant de Robert Fournier et de Fabienne Simon, tous les deux professeurs dans l'enseignement secondaire, respectivement en histoire et en mathématiques.

Elle grandit à Menargues où elle suit l'intégralité de sa scolarité primaire, élémentaire et secondaire. Relativement bonne élève, et profitant d'un environnement familial assez scolaire, elle s'intéresse tôt aux langues, et parle presque couramment (en plus du phoécien ostarien) l'isléen et le phoécien lysénien à la fin de ses études secondaires. Elle maîtrise alors également partiellement le nymésique.

Études et carrière professionnelle

Claire Fournier commence en 230 une licence de droit général à la Faculté droit et sciences politiques de l'Université d'Ostaria siège à Lunont. Elle commence un engagement associatif et politique lors de ses années de licence. Elle devient principalement active dans une organisation non-gouvernementale de défense des droits de la communauté LGBTQ+ à travers le monde, ainsi que dans une association de promotion de la biodiversité dans la région de Lunont. Elle adhère par ailleurs au Rassemblement Démocratique Socialiste en janvier 232.

Elle obtient sa licence en 233. Elle interrompt alors ses études pendant un an, pendant lequel elle s'installe d'abord en Edelweiss pour un stage de conseillère juridique à l'ambassade d'Ostaria pendant six mois. Sur la recommandation d'un député phoécien du RDS origniaire de Menargues, et grâce à sa maîtrise de trois des langues officielles de l'Union phoécienne, elle est ensuite recrutée comme collaboratrice politique spécialisée dans les affaires sociales par le groupe de l'Alliance des Gauches de Phoécie au Parlement phoécien. Gardant son intérêt pour les langues, elle acquiert alors une bonne maîtrise du valtique, dont elle avait appris quelques notions en autodidacte pendant ses premières années détudes supérieures.

Elle quitte le Parlement phoécien après six mois en fonctions pour reprendre ses études en 234 et commencer une maîtrise en droit du travail. Afin de se concentrer sur ses études et la préparation des concours d'entrée de la fonction publique, elle ralentit son engagement associatif, tout en restant active en politique. Elle fait notamment partie de l'équipe de campagne du RDS pour les élections phoéciennes de 235, comme conseillère pour les affaires sociales. Elle obtient son diplôme en 236 et devient alors Inspectrice générale du travail, après avoir réussi le concours d'entrée lors de sa deuxième année de maîtrise. Elle est, à sa demande, affectée à Menargues où elle s'installe de nouveau.

Carrière politique

Elle fait formellement son entrée dans la politique élective quand elle accepte de figure sur liste du RDS en Bacapy pour les élections régionales de juillet 238. Malgré les résultats très décevants de son parti au niveau national comme régional, elle fait son entrée au conseil régional, obtenant donc à 23 ans son premier mandat électif.

Quelques mois après le début de son mandat, elle annonce son intention de briguer la direction du parti lors du prochain congrès. Elle évoque alors la crise traversée par le mouvement après sa troisième place aux dernières élections générales, et centre beaucoup sa campagne sur la question générationnelle en proposant de remettre les jeunes générations au cœur du fonctionnement du parti. Lors du congrès d'Abosque, sa motion Refondations arrive nettement en tête, et elle est élue première secrétaire du parti. Elle se met alors en disponibilité de son poste d'Inspectrice générale du travail, qu'elle avait continué à occuper parallèlement à son mandat de conseillère régionale, afin de se concentrer sur son rôle de chef de parti.

Sa stratégie de reconstruction du parti est notamment marquée par l'abandon de l'identité visuelle du mouvement, avec l'adoption d'un nouveau logo. Toutefois, pour le premier scrutin organisé pendant son mandat de première secrétaire, le parti accuse un net recul lors des élections phoéciennes d'août 240, en terminant en troisième position et en perdant 6 sièges au Parlement phoécien.

Elle est désignée candidate de son parti à l'élection présidentielle de 241. Les sondages au cours de la campagne la donne en troisième position derrière la candidate de l'ADN Marie-Claire d'Esquincourt, et le Premier ministre Elias Staphenberg, candidat de LNA. Lors du premier tour du 28 août, elle créé finalement la surprise en prenant la deuxième place avec 22,36 % des voix, se qualifiant pour le second tour contre Marie-Claire d'Esquincourt. Dans l'entre-deux-tours, elle reçoit le soutien officiel de La Nouvelle Alternative, pourtant partenaire de coalition de l'ADN, et du président de la République sortant Christophe Letordu.