Christophe Letordu

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Christophe Letordu
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Fonctions
Président de la République
Élection 9 août 227
Mandat Depuis le 10 août 227
(5 ans, 5 mois et 19 jours)
Premier Ministre Marius Delamare
Ministre des Affaires étrangères
Président Elsa Altmann
Premier Ministre Juliette Delagins
Marius Delamare
Gouvernement Delagins-Delamare
Delamare
Mandat 9 février 222 - 10 août 227
(5 ans, 6 mois et 1 jour)
Président de la Région d'Aupagne
Élection 3 juillet 226
Mandat 4 juillet 226 - 10 août 227
(1 an, 1 mois et 6 jours)
Coalition LA-ADN
Maire de Brignal
Élection 13 octobre 218
6 février 222
3 juillet 226
Mandat 14 octobre 218 - 10 aout 227
(8 ans, 9 mois et 27 jours)
Biographie
Nom de naissance Christophe Letordu
Genre Homme
Nationalité Drapeau d'Ostaria (République).png Ostaria

Naissance 11 juin 183 (49 ans)
Brignal, Aupagne, Drapeau d'Ostaria (République).png République d'Ostaria
Résidence Brignal, Aupagne, Drapeau d'Ostaria (République).png République d'Ostaria

Alma mater Faculté de Droit et de Science Politique d'Illonlieu
Activité professionnelle Conseiller en Politique
Engagement L'Alternative (depuis 221)
Famille
Conjoint Emma Letordu
Enfants 3 enfants

Christophe Letordu, né le 11 juin 183 à Brignal (Aupagne) est un conseiller politique et homme politique ostarien.

En 218, il devient maire de Brignal, et poursuit son engagement local en devenant président de la région d'Aupagne en 226, après huit ans comme conseiller régional. À l'occasion d'un meeting de Marius Delamare à Brignal en 210, il le rencontre et ils garderont le contact.

Lorsqu'il finit enfin par adhérer à L'Alternative en 221, ce dernier devient référent d'Aupagne pour le parti et, par son passé de conseiller politique en partenariat international pour la ville de Brignal, Marius Delamare soutient son nom pour devenir Ministre des Affaires étrangères, depuis 222, pour les gouvernements Delagins-Delamare et Delamare.

Biographie

Famille et formation

Christophe Letordu naît à Brignal le 11 juin 183. Son père est enseignant en histoire dans un lycée de Brignal, tandis que sa mère est surveillante dans le même lycée.

Après ses études primaires et secondaires, il part à Tuse pour suivre une licence professionnelle de communication au Conservatoire Ostarien des Arts et Métiers. Membre du club politique du Conservatoire, il décide de partir étudier les sciences politiques à la Faculté de Droit et Sciences Politiques de Lunont (203-206). Il conclut ses études par la réalisation d'une maîtrise en Administration politique (206-208).

Vie privée

Alors qu'il arrive dans sa résidence étudiante de Lunont, il fait la rencontre d'Emma Baslin qui se trouve être une autre étudiante de sa Licence. Après 8 ans de relation, ils se marient à Brignal en 211. Ensemble, ils auront 3 enfants nés en 212, 214 et 217.

Aujourd'hui, sa femme est Professeur des Universités à la Faculté de Droit et Sciences Politiques de Lunont, où elle y enseigne le droit comparé des institutions, mais aussi l'histoire du droit et des institutions.

Carrière professionnelle

Après deux ans à faire des petits boulots dans la communication, il devient conseiller politique du Maire de Brignal. À ses côtés, il est chargé de le conseiller en ce qui concerne la coopération internationale avec les villes partenaires de Brignal. Lorsque la mairie passe, de 214 à 218, sous le "contrôle" de l'ADN, celui-ci est engagé par l'ex-maire comme consultant.

Carrière politique

À l'occasion des élections générales de 218, l'ancien maire de Brignal l'encourage à se présenter pour les élections municipales, ce qu'il accepte. Parvenant à être élu maire, il prend l'étiquette divers droite, bien qu'il ait obtenu le soutien financier et matériel de L'Alternative, parti qu'il n'a pas rejoint.

Finalement, il prend la décision en 221 d'adhérer à L'Alternative. Il est alors nommé chef de la section régionale d'Aupagne et se porte candidat et chef de la liste de L'Alternative pour obtenir la présidence régionale. Malheureusement, l'alliance des gauches l'empêche de l'obtenir, et il siège dans l'opposition. C'est finalement en 226, après quatre ans dans l'opposition, qu'il parvient, grâce au soutien de l'Alliance de la Droite Nationale à devenir président de la région.

Ministre des Affaires étrangères

Nomination

En parallèle de l'échelle locale, Christophe Letordu est nommé ministre d'État aux Affaires étrangères dans le gouvernement rotatoire Delagins-Delamare, dans lequel il travaillera en étroite collaboration avec la présidente Elsa Altmann. Il cherchera, au travers de ce mandat, à faire appliquer avec sérieux la constitution en menant la politique internationale souhaitée par la Présidente.

Celui-ci sera reconduit pour le Gouvernement Delamare en 226.

Guerre tawkirino-sudasnaywanaise

Le 11 mars 223, Christophe Letordu rédige un communiqué dans lequel il condamne avec fermeté l'offensive du Tawkirina sur son voisin de l'Asnaywana du Sud. Estimant que ce conflit est une véritable violation du droit international, il exprime ses inquiétudes vis-à-vis d'un conflit qui tend à s'étendre, en raison de la déclaration de guerre de Novgrad, mais également sa solidarité envers le peuple sudasnaywanais.

Il est missionné par la Présidente Altmann de rencontrer les alliés de l'Alliance Transadamantique, tandis que celle-ci engagerait le dialogue au sein de l'Union Phoécienne.

Union Phoécienne

Conformément aux engagements présidentielles d'Elsa Altmann, Christophe Letordu est souvent rendu au siège de l'Union Phoécienne d'où il travaille avec ses homologues phoéciens.

Ainsi, lorsque des tensions entre le Bluiyglesh et le Kashanistan apparaissent, ou lorsque l'Empire du Saphyr déclare la guerre à Narois, celui-ci s'engage avec la Présidente, à une vaste bataille diplomatique pour faire d'Ostaria un des moteurs vitaux de l'Union Phoécienne.

Empire d'Atlas

Lorsque l'Empire d'Atlas entre en guerre civile, Christophe Letordu ne perd pas beaucoup de temps avant d'exprimer sa préoccupation à l'égard des tragiques événements secouant le pays. Il condamne les actions menées par les forces totalistes, tout en exigeant l'arrêt du conflit et la mise en place d'une diplomatie commune à la CINS avec les grandes puissances mondiales.

Il appelle enfin ses homologues à se réunir extraordinairement au siège de l'Union Phoécienne pour organiser une politique phoécienne coordonnée. Il critiquera, en privé, la politique menée par la République d'Hirana qu'il qualifie de dangereuse et de risqué à l'égard de la souveraineté atlasienne.

Élection présidentielle de 227

Annonce de la candidature

Après plusieurs mois durant lesquels on lui reconnaissait ses ambitions présidentielles, Christophe Letordu annonce sa candidature à l'élection présidentielle de 227, après avoir été désigné à 90,56% des adhérents de L'Alternative après un congrès des adhérents.

Après un communiqué du Président de L'Alternative, Marius Delamare, Christophe Letordu annonce sa candidature sur Chirper. Il motive sa démarche sur son parcours local, régional et ministériel. Dès sa première déclaration comme candidat, il exprime sa volonté de vouloir constituer une majorité élargie "avec ceux qui partagent des mêmes valeurs républicaines et démocratiques", afin de lutter contre les extrêmes de tout bord.

48 heures plus tard, Christophe Letordu apprend par une déclaration du Nouveau Centre que Ernest Vabre-Nicolo souhaite se rallier à sa candidature, bien que celui-ci rappelle les profondes divergences existantes entre LA et LNC.

Pendant la campagne

Très tôt dans la campagne, Christophe Letordu se présente comme le candidat de l'action et du concret. Il aspire à une gouvernance responsable et au dépassement des clivages partisans, souhaitant travailler pendant cette campagne avec dialogue, écoute et compromis.

Dans son programme, Christophe Letordu évoque très rapidement ses ambitions institutionnelles. Il propose l'intégration d'une prime majoritaire de 31 sièges pour la liste arrivée en tête aux élections générales, de doter la région de Cavour d'un statut spécifique, la création d'une chambre institutionnelle consultative, et une réforme constitutionnelle pour réaffirmer le dualisme à la tête de l'exécutif (notamment le pouvoir présidentiel.

Il justifie la nécessité de ces réformes par la volonté de mettre fin à l'immobilisme présidentiel de ces dernières années (faisant référence aux présidences de George Édouard, de François Pelichon et d'Elsa Altmann), sans oublier la fragmentation de nombreuses coalitions gouvernementales. Son principal slogan "Ensemble pour agir" devient alors un slogan fédérateur.

Les sondages placent alors Christophe Letordu à la seconde place avec un peu plus de 26%. Sa principale adversaire, Juliette Delagins se qualifierait, quant à elle, à la première place avec 38% des voix.

Au cours d'un meeting à Egois, il expose son programme en matière de politique étrangère et du rôle de la fonction présidentielle. Il exprime son souhait de développer tout un plan culturel autour des alliances transfrontalières et phoéciennes. Fort de son expérience en tant que ministre des affaires étrangères, il souhaite également encourager une diplomatie efficace et cohérente avec les pays du Monde Libre.

Il conclut sa campagne sur sa volonté de renforcer la défense nationale et la coopération phoécienne, notamment sur le plan militaire, sans toutefois compromettre la souveraineté nationale. Il insiste enfin sur la nécessité de préserver la paix mondiale, dans un monde où la souveraineté est, chaque jour, menacée par les extrémistes, qu'il soit religieux, politique ou culturel.

Annonce des résultats du premier et second tour

Conformément à ce qu'annonçaient les sondages, Christophe Letordu se qualifie second au soir du premier tour, le 30 juillet 227, avec 27,19% des suffrages exprimées. De son côté, la candidate, représentant les gauches socialistes, écoscoialistes et progressistes, Juliette Delagins se qualifie au second tour avec 33,80%.

Après une campagne d'entre-deux-tours assez légère, Christophe Letordu est élu Président de la République d'Ostaria avec 52,90% des suffrages exprimés le 9 août 227, face à Juliette Delagins (47,10%). À l'annonce des résultats, il démissionne de son poste de Maire de Brignal et de président régional d'Aupagne.

Présidence de Christophe Letordu

Investiture

Au lendemain de l'annonce des résultats, la cérémonie de passation des pouvoirs est organisée le lendemain matin, le samedi 10 août 227. Elsa Altmann accueille Christophe Letordu sur le perron du Palais d'Yguerne voir transcription.

La première décision qu'il prend en tant que Président de la République est de maintenir Marius Delamare et son gouvernement en fonction.

Politique intérieure et étrangère

Voir Présidence de Christophe Letordu

Élection présidentielle de 234