Université Nationale d'Ostaria

De Nations.fr
Révision datée du 1 février 2024 à 17:04 par KnightOlympe (discussion | contributions) (Page créée avec « {{Infobox Université/UNO/UNO |nom=Université Nationale d'Ostaria |logo=Logo UNO.png |siege=Université Nationale d'Ostaria.jpg |fondation=20 août 168 |datescles=12 juin… »)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Université Nationale d'Ostaria
Logo UNO.png
Université Nationale d'Ostaria.jpg
Histoire
Fondation 20 août 168
Dates-clés 12 juin 214 (réforme)
Statut
Type Université confédérale
Forme juridique Établissement public national à caractère culturel, éducatif, professionnel et scientifique
Fondateur Alexandre de Brétigny
Recteur Henri Debré
Devise "Ose apprendre, refuse l'ignorance"
Site web www.uno.os
Localisation
Pays Drapeau d'Ostaria (République).png Ostaria
Campus Bridame, Condail, Illonlieu, Lunont, Menargues, Tasasque et Tuse

L'Université Nationale d'Ostaria (ou UNO) est un ensemble d'établissement d'enseignement supérieur ostarien bénéficiant du statut d'université confédérale depuis 214. Elle s'est constituée par le rassemblement de plusieurs facultés.

Située à Lunont, elle est principalement implantée avec son campus en centre-ville. Elle s'organise en quatre facultés principales réparties sur plusieurs sites et dans les différentes capitales régionales. L'Université Nationale d'Ostaria est multidisciplinaire, se concentrant autour des domaines militaires, artistiques, littérales, politiques, mais aussi autour des sciences humaines et sociales, du droit, des sciences, de la technique, de la recherche et de la médecine.

Il est fondé en 168 par Alexandre de Brétigny, dans la volonté d'instaurer et d'encadrer le monde de l'enseignement supérieur.

Histoire

Avant 168

Avant la création de l'Université Nationale d'Ostaria, l'enseignement supérieur était divisé entre plusieurs universités et écoles qui n'étaient pas toujours sous le contrôle de l'État. Ces établissements se concentraient sur l'enseignement et la recherche. Chaque programme était conçu plus ou moins par les établissements du supérieur, ces mêmes établissements disposaient de leur critère d'admission pour les étudiants et de recrutement pour les enseignants.

De 168 à 207 : la création et l'application de la loi de 168

Longtemps soutenu par le Mouvement Uni pour la République et par Alexandre de Brétigny, l'enseignement supérieur était sujet à de nombreuses discussions. C'est cette droite, au caractère souverainiste, qui propose par le biais du Gouvernement Brétigny II l'unification des établissements de l'enseignement supérieur et du milieu de la recherche autour d'une entité nationale. Les raisons d'une telle réforme étaient multiples : premièrement, il fallait que ces établissements soient répartis équitablement sur le territoire ; ensuite, ces établissements devaient être soumis au contrôle de l'État pour une uniformisation des programmes, des conditions d'admissions et de recrutements, mais aussi de garantir un progrès scientifique par la recherche (tout secteur confondu) dans un but commun. L'Université Nationale d'Ostaria, par son monopole sur l'enseignement supérieur, il permet d'être un outil de la République pour y former les élites de la Nation et se réformant au rythme des générations. Après un vote à l'Assemblée Nationale, le projet de loi portant création de l'Université Nationale d'Ostaria (voir texte) est adopté par 126 voix issues de la majorité (MUR-PLC). On observe sur ce vote l'abstention de l'opposition (RSÉ-MAP-LD).

L'application de loi ne se fait tarder, le chantier national est alors lancé : l'Université Nationale d'Ostaria se fait alors construire des Facultés, des Instituts Universitaires, des Composantes Administratives, des Écoles Pratiques Ostariennes, un Collège Universitaire, un Conservatoire Ostarien des Arts et des Métiers, des Centres de Recherches Universitaires et des Centres Hospitaliers Universitaires. Elle s'engage, par délégation d'une mission de service public, à préparer les étudiants à la qualification de diplôme d'État, que ce soit Licence, Maîtrise ou Doctorat. Son personnel, principalement fonctionnaire d'État, est soumis aux règles du public comme à la laïcité, la neutralité politique et philosophiques. Les enseignants sont répartis en quatre catégories : les Professeurs d'Université (10 années d'ancienneté), les Maîtres de Conférences (les Doctorants pour leurs 10 premières années d'enseignement), les Maîtres-assistants (les personnes ne disposant que d'une maîtrise) et d'un enseignant contractuel (pour une durée de 5 ans). Elle s'organise autour de Doyen, de Vice-Doyens et d'un Conseil de Composante pour chaque composante, mais aussi d'un Conseil Rectoral et d'un Chancelier-Recteur pour la direction de l'Université Nationale d'Ostaria. Enfin, elle met en place le principe de partenariats nationales et internationales dans le domaine de l'enseignement supérieur entre l'Université Nationale d'Ostaria et les autres universités du monde.

L'Université Nationale d'Ostaria, une fois totalement structurée, a pu rayonner dans le domaine du supérieur et a connu de nombreux étudiants. Cette organisation n'a jamais subi le moindre changement depuis l'adoption de la loi du 20 août 168.

De 207 à 214 : la volonté de changement

Après les élections générales ostariennes de 207, un ancien étudiant et enseignant de l'Université Nationale d'Ostaria est élu député et s'engage dans un combat politique : celui de réformer l'organisme.

Marius Delamare dépose ainsi un texte de quarante-et-un articles dans le but de réformer l'institution en redéfinissant son fonctionnement, son organisation, son rôle, ses missions, ses structures composantes, etc. Le débat à l'Assemblée Nationale est houleux avec le Parti Républicain & Solidaire qui accuse le député de tenir des propos mensongés et de vouloir écarter les étudiants de la gouvernance de l'institution. En effet, Marius Delamare souhaitait établir une gouvernance administrative avec seulement le Recteur et les différents Doyens, estimant qu'il préférait avoir l'avis des étudiants sur la gestion effective dans chaque établissement que dans la gestion globale. De plus, Marius Delamare explique que l'institution a été organisée à l'image du gouvernement en place, mais que ce fonctionnement ne correspondait donc plus à la société de 207. Après un prolongement du débat pour une durée de 72h, la proposition de loi est contré par la majorité qui semble en accord avec la réforme sur le fond, mais pas sur la forme.

Suivant cet échec, il profite de la pause législative due à la dissolution de l'Assemblée Nationale de 210 pour réaffirmer pendant sa campagne son souhait de réformer l'enseignement supérieur. Il y travaille et propose la réintégration des étudiants dans la direction générale avec la création du Conseil de l'Université, soit un conseil chargé de contrôler le Conseil des Doyens et d'assurer la vie étudiante. Pourtant, après les résultats aux législatives de 210 et la formation d'un gouvernement de coalition, la gouvernance change encore avec la constitution d'un Conseil Rectoral qui reprend les grands principes de la loi de 168. La réforme déposée à l'Assemblée Nationale n'est donc pas si éloignée de l'organisation de 168. Toutefois, les problèmes de fonds sont largement résolus, Marius Delamare, Vice-Premier ministre, se déclarant « satisfait » d'une telle réforme. Elle est adoptée à l'Assemblée Nationale après avoir recueilli 146 voix, soit celles de la majorité, mais aussi d'une partie des députés du PRS.

Depuis 214

Adoptée et promulguée le 12 juin 214, la loi relative à la réforme de l'Université Nationale d'Ostaria (voir texte) est directement mise en application par un arrêté du Vice-Premier Ministre, Marius Delamare, qui nomme le Recteur de l'institution, un de ces anciens enseignants et collègues, Henri Debré, après que ce dernier ait été proposé par le Conseil des Doyens lors de leur réunion constitutive.

La réforme peut être résumé en ce sens : réorganisation des composantes, extension des pouvoirs du Recteur avec un plus grand pouvoir de contrôle par le Conseil des Doyens, indépendance de l'institution dans de nombreux domaines, meilleure intégration des étudiants dans le Conseil des Doyens sans avoir la nécessité d'adhérer ou de soutenir un syndicat et enfin une représentation du personnel administratif et du personnel technique dans ce même conseil de façon séparée.

En raison du délai trop court pour une rentrée en septembre 214, le Recteur décide par décision rectorale de faire la rentrée avec cette réforme en septembre 215.

Organisation

Statut

L'Université Nationale d'Ostaria est gérée administrativement et financièrement par son Administration et notamment le Recteur qui lui sert de représentant juridique et morale. C'est l'institution qui possède les bâtiments, reçoit des aides de l'État, perçoit les frais de scolarités, emploie et rémunère les enseignants et le personnel administratif et technique, mais aussi qui coordonne la vie étudiante.

Le siège de l'Université Nationale d'Ostaria se trouve dans le centre-ville de Lunont. Le bâtiment est à part de ceux de la Faculté Droit et Sciences Politiques, du Centre Hospitalier Universitaire, du Centre de Recherches Universitaires, de l'École Pratique Ostarienne et de l'Institut Universitaire. Chacun de ces établissements disposent également de leur propre bâtiment.

Membres

Établissements composantes

L'Université Nationale d'Ostaria s'organise autour de trente établissements répartis en 7 types.

Partenariats nationaux

Partenariats internationaux

Administration

L'Université Nationale d'Ostaria est administrée par plusieurs instances de gouvernance, bien que toutes ses instances soient sous l'autorité générale du Recteur avec un contrôle du Ministère de l'Enseignement Supérieur. Ces instances de gouvernances sont :

  • Le Conseil d'Administration est un conseil présent dans chaque établissement. Il dispose d'un rôle délibératif, en collaboration avec le Doyen de l'établissement, en matière de vie étudiante et de gestion de l'établissement
  • Le Doyen est chargé de diriger l'établissement en collaboration avec le Conseil d'Administration
  • Le Conseil Rectoral est un conseil à la tête de l'Université Nationale d'Ostaria. Il dispose d'un rôle délibératif, en collaboration avec le Recteur, en matière de vie universitaire, de gestion de l'institution et de gestion courante
  • Le Recteur est chargé de la cohésion entre les établissements, de représenter et de diriger l'Université Nationale d'Ostaria en collaboration avec le Conseil Rectoral.

Conseil Rectoral

Mandat Composition Répartition
Les données manquantes sont à compléter.
21ème mandat
20 janvier 209 - 24 mars 211
Répartition avant juin 214 (UNO).png Doyen (6)

Étudiants (24) :
- FÉO : 10 sièges
-  : 7 sièges
- UNÉO : 4 sièges
- USÉ : 1 siège

Enseignants (30)

Personnel non-enseignant (6)
22ème mandat
24 mars 211 - 26 mai 213
Répartition avant juin 214 (UNO).png Doyen (6)

Étudiants (24)

Enseignants (30)

Personnel non-enseignant (6)
23ème mandat
26 mai 213 - 21 juillet 215
Répartition avant juin 214 (UNO).png Doyen (6)

Étudiants (24)

Enseignants (30)

Personnel non-enseignant (6)
24ème mandat
21 juillet 215 - 22 septembre 217
pas encore élue Doyen (30)

Étudiants (24)

Enseignants (24)

Personnel administratif (12)

Personnel technique (12)

Recteur

Liste des Chanceliers-Recteurs et Recteurs de l'Université Nationale d'Ostaria
Nom Mandat Qualité Discipline
Les données manquantes sont à compléter.
Chancelier-Recteur
Auguste Ledru septembre 198 - septembre 208 Professeur des Universités Histoire
Georges Bettencourt septembre 208 - 14 juin 214 Professeur des Universités Philosophie
Recteur
Henri Debré.png Henri Debré Depuis le 14 juin 214 Vice-Doyen des Facultés
Professeur des Universités
Sciences Politiques

Enseignement

Formation

L'Université Nationale d'Ostaria propose différentes formations, soit un total de

Centre Hospitaliers Universitaires

Collège Universitaire

Conservatoire Ostarien des Arts et Métiers

Écoles Pratiques Ostariennes

Faculté de Droit et Sciences Politiques

Faculté Lettres, Langues et Arts

Faculté Sciences Humaines

Faculté Sciences et Technologies

Instituts Universitaires

Recherche

Centres de Recherches Universitaires

Campus

Localisation

Vie étudiante

Associations étudiantes

Syndicats étudiants

Personnalités liées

Enseignants

Élèves