Association de Coopération Régionale pour l'Asnaywana
L'Association de Coopération Régionale pour l'Asnaywana (couramment appelée l'ACRA) est une institution internationale dépendante de la Communauté Internationale des Nations Souveraines, en charge de la coopération internationale entre les pays de l'ex-Asnaywana.
Historique
Contexte du premier plan de paix
Second plan de paix et formation de l'ACRA
Guerre tawkirino-sud-asnaywanaise
Administration
Présidence et Conseil
Le Conseil de l'ACRA est l'instance politique dirigeante de l'ACRA, composé de représentants de chacun des États-garants nommés à leur pleine discrétion. Celle-ci débats et votes les résolutions sur la conduite à tenir pour l'ACRA. La Présidence de l'ACRA est exercée de manière tournante par un membre du Conseil pour une durée de 2 ans, laquelle assure la bonne teneur des débats et votes du Conseil et incarne l'institution auprès de la communauté internationale.
Liste des Présidents de l'ACRA
- 197-199 :
- 199-201 :
- 201-203 :
- 203-205 :
- 205-207 :
- 207-209 :
- 209-211 :
- 211-213 :
- 213-215 :
- 215-217 :
- 217-219 :
- 219-221 :
- 221-223 :
- 223-225 :
- 225-227 :
- 227-229 :
- 229-231 :
Secrétariat général
Le Secrétariat général est l'instance administrative de l'Association, chargée de la supervision des politiques de coopération menées par l'ACRA. Celui-ci est dirigé par une Secrétaire général nommé par le Conseil, qui doit impérativement être un ressortissant de l'un des États-membres. Le Secrétaire général a une obligation de neutralité vis-à-vis des 3 États-membres dans la conduite de ses fonctions et peut être révoqué s'il est jugé que ses décisions met en danger l'intégrité de l'ACRA ou la souveraineté de ses États-membres.
Composition
Membres actuels
Créée à l'issue du second plan de paix pour l'Asnaywana votée par le Comité de Surveillance de la CINS, l'ACRA rassemble 3 États-membres :
- La République d'Asnaywana du Nord
- La République Démocratique Populaire d'Asnaywana du Sud
- La 22px Commune populaire de Xhat
L'ACRA est également placée sous la supervision de 3 États-garants :
Membres potentiels
Deux pays, bien qu'issus de l'ex-Asnaywana, ne participent pas à l'ACRA, mais sont cités comme membres potentiels :
- L' État du Dawwfiq : bien que le Dawwfiq ait participé au premier plan de paix et aux négociations sur le second plan de paix, celui-ci s'est retiré des discussions et est entré dans le Samvelde comme dominion du Saphyr, en opposition aux propositions de le diviser entre les États parties au précédent plan de paix. Isolé par rapport aux autres pays d'Asnaywana, les deux grands partis, l'Harakat et l'Alhizb, proposent régulièrement l'intégration à l'ACRA, sans parvenir à un accord sur la forme de cette participation.
- Le Royaume du Kilemyana : monarchie tribale ayant été officialisée comme protectorat du Tawkirina suite au premier plan de paix, le Kilemyana est demeuré totalement dépendant du Tawkirina pour ses relations internationales. Large territoire désertique frontalier des deux Asnaywanas, le Kilemyana est souvent cité comme un pays qui bénéficierait de politique de développement régional dans le cadre de l'ACRA, bien qu'il n'y ait pas eu d'effort politique en vue d'une intégration.
Acteur régional majeur, l'Empire du Tawkirina est l'un des États cités comme garant potentiel, notamment au regard de son positionnement comme seul pays idylénien partie au premier plan de paix face aux 4 puissances occidentales. Toutefois, la guerre d'Asnaywana du Sud, qui a vu le Tawkirina condamné par les garants de l'ACRA, a mis fin aux perspectives d'admission du Tawkirina.
Enfin, le Saphyr, comme pays protecteur du Dawwfiq, est parfois cité comme membre de l'ACRA dans l'hypothèse d'une intégration du Dawwfiq, mais les intérêts politiques défendus par le Saphyr en Idylénie ne s'étant pas étendu au-delà des frontières du Dawwfiq, une telle participation est peu discutée.