Différences entre les versions de « François Pelichon »
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'''François Pelichon''' est un avocat homme | '''François Pelichon''' est un avocat et homme d'État [[Ostaria|ostarien]] né le 15 août 162, membre de l'[[Alliance de la Droite Nationale (Ostaria)|Alliance de la Droite Nationale]], [[Président de la République d'Ostaria|Président de la République d']][[Ostaria]] depuis 211. | ||
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==Engagement politique== | ==Engagement politique== | ||
François Pelichon commence sa carrière politique au sein du [[Parti Populaire (Ostaria)|Parti Populaire]] qu'il rejoint en 201. Deux ans plus tard, il est élu au conseil municipal de [[Pedur]] sur la liste de [[Jérôme Barnier]] et devient son maire-adjoint en charge de la sécurité. C'est notamment durant ce mandat que les effectifs de la police municipale sont largement augmentés et que le port d'armes des agents est rendu systématique. | |||
Lors des [[Élections générales ostariennes de 207|élections de 207]], il succède à [[Jérôme Barnier]] comme député et maire de Pedur, l'élu sortant ayant choisi de ne pas se représenter. Deux semaines après son élection , il annonce quitter le Parti Populaire et rejoindre l'[[Alliance de la Droite Nationale (Ostaria)|Alliance de la Droite Nationale]]. Avec sept de ses collègues, il fonde alors le [[Groupe Alliance de la Droite Nationale (Ostaria)|groupe ADN]] à l'Assemblée et en devient le président. | |||
Dans l'hémicycle, il s'oppose alors à plusieurs projets ou propositions de loi portés par la gauche comme le Code des Transports, le mariage pour tous ou encore la rénovation thermique des logements. Il défend également sans succès des propositions d'amendement pour augmenter l'âge légal de départ à la retraite à 62 ans. | |||
Lors des [[Élections générales ostariennes de 210|élections de 210]], il est réélu à l'Assemblée nationale. Il déclare alors sa candidature à la présidence de l'Assemblée et remporte l'élection grâce au soutien de l'ensemble des partis de la nouvelle majorité gouvernementale. | |||
Un an plus tard, le Président de la République [[George Edouard]] annonce sa démission, faisant de François Pelichon le Président par intérim. N'ayant pas été élu, il choisit de rester plutôt discret sur bon nombre de sujets intérieurs. Il propose en avril 212 une concertation avec les quatre principales forces politiques sur la question du cadre constitutionnel des relations internationales, une initiative alors saluée par les deux principaux partis d'opposition mais finalement laissée lettre morte. | |||
Il annonce sa candidature à un septennat complet en vue de l'[[Élection présidentielle ostarienne de 213|élection de 213]] et les sondages l'annoncent au second tour contre [[Elsa Altmann]]. Il remporte alors 23,33% des suffrages, soit légèrement en tête. Il reçoit avant le second tour le soutien de plusieurs candidats comme [[Jean-Philippe Bruguière]] et [[Elias Staphenberg]] ou de personnalités comme l'ancien Premier Ministre [[Guilhem Alloncle]]. Alors que les sondages annoncent un duel très serré , il s'impose avec 51,38% des suffrages au second tour. | |||
=Famille et vie privée= | =Famille et vie privée= | ||
Version du 11 juillet 2023 à 16:26
| François Pelichon | ||||||||
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| Fonctions | ||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Président de la République | ||||||||
| Élection | 25 février 213 | |||||||
| Mandat | 13 mars 211 (14 ans, 2 mois et 6 jours) |
|||||||
| Premier Ministre | Chloé Besnard-Cordonnier Elsa Altmann |
|||||||
| ||||||||
| Président de l'Assemblée Nationale | ||||||||
| Législature | XIVe | |||||||
| Élection | 8 mars 210 - 13 mars 211 (1 an et 5 jours) |
|||||||
| Vice-Président | Sabrina Lambert | |||||||
| ||||||||
| Député ostarien | ||||||||
| Législature | XIIIème XIVème |
|||||||
| Élection | 12 novembre 207 5 mars 210 |
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| Mandat | 13 novembre 207 - 13 mars 211 (3 ans et 4 mois) |
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| Groupe parlementaire | PP (207) ADN (207-211) |
|||||||
| Maire de Pedur | ||||||||
| Élection | 12 novembre 207 5 mars 210 |
|||||||
| Mandat | 15 novembre 207 - 13 mars 211 (3 ans, 3 mois et 28 jours) |
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| ||||||||
| Biographie | ||||||||
| Genre | Homme | |||||||
| Nationalité |  Ostaria
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|||||||
| Naissance | 15 août 162 (62 ans) Pedur, Bacapy Ostaria
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| Activité professionnelle | Homme politique | |||||||
| Engagement | ADN (depuis 207) PP (201-207) |
|||||||
| Famille | ||||||||
François Pelichon est un avocat et homme d'État ostarien né le 15 août 162, membre de l'Alliance de la Droite Nationale, Président de la République d'Ostaria depuis 211.
Biographie
Jeunesse
Carrière dans le droit
Engagement politique
François Pelichon commence sa carrière politique au sein du Parti Populaire qu'il rejoint en 201. Deux ans plus tard, il est élu au conseil municipal de Pedur sur la liste de Jérôme Barnier et devient son maire-adjoint en charge de la sécurité. C'est notamment durant ce mandat que les effectifs de la police municipale sont largement augmentés et que le port d'armes des agents est rendu systématique.
Lors des élections de 207, il succède à Jérôme Barnier comme député et maire de Pedur, l'élu sortant ayant choisi de ne pas se représenter. Deux semaines après son élection , il annonce quitter le Parti Populaire et rejoindre l'Alliance de la Droite Nationale. Avec sept de ses collègues, il fonde alors le groupe ADN à l'Assemblée et en devient le président.
Dans l'hémicycle, il s'oppose alors à plusieurs projets ou propositions de loi portés par la gauche comme le Code des Transports, le mariage pour tous ou encore la rénovation thermique des logements. Il défend également sans succès des propositions d'amendement pour augmenter l'âge légal de départ à la retraite à 62 ans.
Lors des élections de 210, il est réélu à l'Assemblée nationale. Il déclare alors sa candidature à la présidence de l'Assemblée et remporte l'élection grâce au soutien de l'ensemble des partis de la nouvelle majorité gouvernementale.
Un an plus tard, le Président de la République George Edouard annonce sa démission, faisant de François Pelichon le Président par intérim. N'ayant pas été élu, il choisit de rester plutôt discret sur bon nombre de sujets intérieurs. Il propose en avril 212 une concertation avec les quatre principales forces politiques sur la question du cadre constitutionnel des relations internationales, une initiative alors saluée par les deux principaux partis d'opposition mais finalement laissée lettre morte.
Il annonce sa candidature à un septennat complet en vue de l'élection de 213 et les sondages l'annoncent au second tour contre Elsa Altmann. Il remporte alors 23,33% des suffrages, soit légèrement en tête. Il reçoit avant le second tour le soutien de plusieurs candidats comme Jean-Philippe Bruguière et Elias Staphenberg ou de personnalités comme l'ancien Premier Ministre Guilhem Alloncle. Alors que les sondages annoncent un duel très serré , il s'impose avec 51,38% des suffrages au second tour.
