Pauline Vrelette

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Pauline Vrelette
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Biographie
Nom de naissance Pauline Éléonore Jacqueline Vrelette
Genre Femme
Nationalité Drapeau d'Ostaria (République).png Ostaria

Naissance 16 mars 201 (35 ans)
Lunont, Orbône, Drapeau d'Ostaria (République).png République d'Ostaria
Résidence Lunont, Orbône, Drapeau d'Ostaria (République).png République d'Ostaria

Religion Constantine
Alma mater Faculté des Sciences et Techniques
Campus de Lunont
Université Nationale d'Ostaria
Activité professionnelle Mathématicienne
Engagement La Nouvelle Alternative
Famille

Pauline Vrelette, née le 16 mars 201 à Lunont (Ostaria), est une mathématicienne et femme politique ostarienne, tête de liste aux élections phoéciennes de 235 pour le parti La Nouvelle Alternative.

Biographie

Études et carrières professionnelle

Études

Pauline Vrelette est remarquée très jeune par ses professeurs pour ses grandes capacités d'abstraction, de raisonnement et d'analyse, notamment en mathématiques. Brillante élève, elle obtient son baccalauréat avec la mention Très Honorable avec félicitations, avant de rejoindre la Faculté des Sciences et Techniques au campus de Lunont pour poursuivre des études de ces mathématiques qui avaient attiré son intérêt depuis plusieurs années.

Thèse

Elle se découvre vite une passion plus spécifique pour la topologie, et entame finalement un doctorat consacré à une célèbre conjecture : "toute 3-variété compacte sans bord et simplement connexe est homéomorphe à la 3-sphère".

Ce problème ouvert ayant déjà fait couler beaucoup d'encre, et de nombreux mathématiciens s'y étant déjà attaqués avant elle, elle n'avait pas pour prétention de le résoudre, mais de s'attaquer à un cas proche probablement plus simple, à savoir le cas analogue en dimension 4.

La thèse de Pauline Vrelette, si elle n'a pas suffi à résoudre le problème en dimension 4, a énoncé une piste de résolution prometteuse et jusque là non poursuivie qui parvenait à démontrer plusieurs cas particuliers qui étaient encore ouverts.

Mathématicienne

Après la soutenance de sa thèse, Pauline Vrelette se tourna naturellement vers l'enseignement et la recherche, comme maîtresse de conférence.

Elle se consacra d'abord à la poursuite de la méthode qu'elle avait élaborée durant sa thèse. Avec la collaboration de plusieurs collègues, elle put la mettre à profit et définitivement prouver le cas analogue de la conjecture en dimension 4.

Après un effort de recherche important sur la véritable conjecture (en dimension 3), esquissant plusieurs pistes nouvelles mais infructueuses, elle décida de s'éloigner de ce problème qui semblait insoluble pour s'attaquer, de façon très exploratoire, à de nouvelles structures de topologie algébrique peu étudiées jusque là.

Engagement et début en politique

C'est au sein de la faculté que son engagement politique prend forme, d’une manière atypique pour un tel milieu. En effet, elle co-fonde un mouvement étudiant défendant les droits des femmes dans les milieux scientifiques, elle milite pour leur meilleure représentation dans ces filières. Le mouvement affirme aussi et milite sans complexe son attachement à l’Union Phoécienne et à un positionne à droite de l'échiquier politique, une position alors rare dans le milieu universitaire, souvent dominé par des courants plus progressistes. Son mouvement fonctionne bien grâce a son fort engagement, sa rigueur et son éloquence, pourtant dans une faculté constituées de peu de femmes et pour beaucoup apolitique.

Au fur et a mesure des années, elle est reconnu dans le milieu scientifique de dense des femmes de droite et y garde un certain engagement, de plus en plus pro-phoecien et la défense de l’excellence dans l’éducation et la recherche. Au fil des années, Pauline Vrelette tempère certaines de ses prises de position les plus tranchées. Si elle demeure attachée à une ligne ferme sur l’intégration phoécienne et la souveraineté technologique, elle adopte une approche plus consensuelle sur les questions sociétales, insistant sur le dialogue et la recherche de compromis se rapprochant de plus en plus du parti Le Nouveau Centre. Elle intègre pour la première fois un parti politique, en 233, lors de l'union des de Le Nouveau Centre et L'Alternative créant La Nouvelle Alternative. Son importance dans la communauté estudiantine, style et son expertise technique la distinguent, et elle est nommée cheffe du Pole Phoécien au sien du parti, avant d'être désigné tête de liste en 235 pour les élection phocéciennes.

Famille et vie privée

Fonctions, titres et honneurs

Anecdotes