Différences entre les versions de « Référendum ostarien de 210 »
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L'échec du référendum entraîne la mise en place d'un scrutin proportionnel intégral, tranchant avec le scrutin majoritaire qui avait jusque là garanti le pouvoir à l'Union des Gauches, | L'échec du référendum entraîne la démission de la [[Premier Ministre d'Ostaria|Première Ministre]] [[Elsa Altmann]], et, sous l'intérim de [[Juliette Delagins]], la mise en place d'un scrutin proportionnel intégral, tranchant avec le scrutin majoritaire qui avait jusque là garanti le pouvoir à l'Union des Gauches, puis la dissolution de l'Assemblée Nationale, provoquant [[Élections générales ostariennes de 210|de nouvelles élections]]. Un an plus tard, [[George Édouard]], en situation de [[Gouvernement Besnard-Cordonnier|cohabitation]], finit par démissionner, entraînant [[Élection présidentielle ostarienne de 213|une élection présidentielle anticipée]]. | ||
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Version actuelle datée du 26 septembre 2024 à 14:29
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Référendum constitutionnel ostarien de 210 | ||||||||
5 février 210 | ||||||||
Corps électoral | ||||||||
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Approuvez-vous le projet de réforme constitutionnelle proposé par le Président de la République et ayant recueilli l'avis majoritaire du Conseil des Ministres, de l'Assemblée Nationale et de la Haute Cour Constitutionnelle ? | ||||||||
Oui | 42,04 % |
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Non | 57,96 % |
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Le 5 février 210, un référendum constitutionnel a eu lieu en Ostaria afin de valider une réforme constitutionnelle proposée par le Président de la République George Édouard et validée par l'Assemblée Nationale.
Cette réforme, qui prévoyait l'inscription dans la Constitution de principes tels que la solidarité nationale ou la protection de l'environnement supérieure à la propriété privée, de la limitation du nombre de mandats présidentiels à deux, et à l'adaptation de la hiérarchie des normes à la législation phoécienne, a été rejetée par une majorité de suffrages. Parmi les principales forces politiques ostariennes, seule l'Union des Gauches au pouvoir avait soutenu le projet.
L'échec du référendum entraîne la démission de la Première Ministre Elsa Altmann, et, sous l'intérim de Juliette Delagins, la mise en place d'un scrutin proportionnel intégral, tranchant avec le scrutin majoritaire qui avait jusque là garanti le pouvoir à l'Union des Gauches, puis la dissolution de l'Assemblée Nationale, provoquant de nouvelles élections. Un an plus tard, George Édouard, en situation de cohabitation, finit par démissionner, entraînant une élection présidentielle anticipée.