Élection présidentielle ostarienne de 220
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| Élection présidentielle de 220 | ||||||||
| 1er décembre 220 (1er tour) 6 décembre 220 (2nd tour) |
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| Type d’élection | Suffrage universel direct | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Corps électoral et résultats | ||||||||
 Elsa Altmann Les Écosocialistes |
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23,93 % |
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50,68 % |
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 Arthur Klein L'Alternative |
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18,89 % |
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49,32 % |
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 François Pelichon Alliance de la Droite Nationale |
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18,62 % |
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 Juliette Delagins Parti Radical Unitaire |
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14,79 % |
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| Président de la République d'Ostaria | ||||||||
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L'élection présidentielle ostarienne de 220 a lieu les 1er décembre et 6 décembre 220 afin d'élire le Président de la République pour un mandat de sept ans.
Il s'agit de la cinquième élection présidentielle de la IVème République. Aucun des neuf candidats en lice n'ayant remporté la majorité absolue des suffrages exprimés au premier tour, un second tour est organisé entre les deux premiers candidats.
Arrivé en tête du premier tour, la Première Ministre Elsa Altmann (23,93%) se voit affronter Arthur Klein (18,89%) au second tour. Néanmoins, François Pelichon, Président de la République sortant recueillant 18,62% des suffrages exprimés, ne se retrouve qu'à 0,27% du second.
Pour la première fois, les candidatures classées au centre (allant de centre gauche à centre droit) rassemblent, à elles seules, 43,95% des suffrages exprimés au premier tour.
Le second tour voit donc Elsa Altmann l'emporter par 50,68% des suffrages exprimés. Elle devient ainsi la seconde Présidente de la République à être élue après avoir été Première Ministre, après George Édouard en 207. Son investiture a lieu le 7 décembre 220.
Modalités du scrutin
Le Président de la République est élu au suffrage universel direct. Il est élu pour un mandat de sept ans renouvelable au scrutin uninominal majoritaire à deux tours. Si aucun candidat ne recueille la majorité absolue des suffrages exprimés dès le premier tour, un second tour est organisé entre les deux candidats ayant reçu le plus de voix au premier tour.
Pour être candidat et concourir à l'élection présidentielle, il est nécessaire d'obtenir le parrainage de 15 grands électeurs (députés et conseillers régionaux).
Selon les articles 17 et 54 de la Constitution, la Haute Cour Constitutionnelle est garante de la validation des candidatures, de la régularité des élections, de l'examen d'éventuelle réclamation, de la proclamation des résultats et de la prestation de serment par le candidat élu.
Contexte
L'élection présidentielle intervient après neuf années de présidence de droite, dont deux d'intérim (211-213). Le Président de la République sortant, François Pelichon, exerce ses fonctions depuis 211. Les élections intermédiaires ont été globalement bénéfiques pour l'ADN par ses différentes victoires de 214 et 218, même si celle de 214 fut la plus bénéfique. Pendant son mandat, le Président est critiqué par l'opposition pour son style de présidence, à savoir son absence autant sur le plan intérieur qu'extérieur, et ce, malgré l'opposition depuis 214.
À gauche, Elsa Altmann parvient à sortir du lot grâce à ses 6 ans consécutifs à la primature (214-220) qui lui ont permis de gouverner efficacement grâce à la cohabitation. Elsa Altmann profite aussi de l'impopularité grandissante du Président.
Au centre, deux candidats sont pressentis très rapidement : Claire Laugier, Vice-Première Ministre (gouvernement Altmann III), avec la constitution de son parti politique centriste et transpartisan : Maison Commune ; Juliette Delagins, ancienne Vice-Première Ministre (gouvernement Altmann I) et ministre sous les gouvernements Altmann II et III, avec la constitution du Parti Radical Unitaire.
Candidats
L'ordre du tableau ci-dessous a été établi dans l'ordre de dépôt des candidatures (lecture de gauche à droite et de haut en bas).
| Candidat | Parti | Parrainage | Candidat | Parti | Parrainage | |||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Arthur Klein (75 ans) |
L'Alternative | 207/15 | Elsa Altmann (45 ans) |
Les Écosocialistes | 263/15 | |||
François Pelichon (58 ans) |
Alliance de la Droite Nationale | 318/15 |  Valentine Miron (36 ans) |
Parti Populaire | 79/15 | |||
 Elia Orsini (44 ans) |
Front de la Liberté Cavouroise | 31/15 |  Paul-Edouard Ducherne (79 ans) |
Direct'Ostaria | 18/15 | |||
 Fabien Bouchard (55 ans) |
Mouvement Travailliste Ostarien | 39/15 |  Claire Laugier (37 ans) |
Maison Commune | 103/15 | |||
Juliette Delagins (57 ans) |
Parti Radical et Unitaire | 111/15 | ||||||
Sondages
Avant le premier tour
1 Sondage effectué sur la candidature présumée de Laure Morelli
En vue du second tour
Entre-deux tours
Résultats
| Candidat | Parti | 1er tour | 2nd tour | |
|---|---|---|---|---|
| Elsa Altmann | LÉ | 23,93% | 50,68% | |
| Arthur Klein | LA | 18,89% | 49,32% | |
| François Pelichon | ADN | 18,62% | ||
| Juliette Delagins | PRU | 14,79% | ||
| Claire Laugier | MC | 10,27% | ||
| Valentine Miron | PP | 9,49% | ||
| Elia Orsini | FLC | 1,78% | ||
| Fabien Bouchard | MTO | 1,77% | ||
| Paul-Edouard Ducherne | DO | 0,46% | ||
| Elsa Altmann (50,68%) |
Arthur Klein (49,32%) | ||
| ▲ | |||
Variation au premier tour comparé au dernier scrutin
| Parti | Candidat en 213 | % | Candidat en 220 | % | +/- | |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Les Écosocialistes | Elsa Altmann | 22,14 | Elsa Altmann | 23,93 |  1.79
| |
| L'Alternative | Elias Staphenberg | 15,35 | Arthur Klein | 18,89 | 3.54
| |
| Alliance de la Droite Nationale | François Pelichon | 23,33 | François Pelichon | 18,62 |  4.71
| |
| Parti Radical Unitaire | Nouveau | Juliette Delagins | 14,79 | Nv. | ||
| Maison Commune | Nouveau | Claire Laugier | 10,27 | Nv. | ||
| Parti Populaire | Louis Schwartzenberger | 4,32 | Valentine Miron | 9,49 | 5.17
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| Front de la Liberté Cavouroise | Elia Orsini | 1,32 | Elia Orsini | 1,78 | 0.46
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| Mouvement Travailliste Ostarien | Nouveau | Fabien Bouchard | 1,77 | Nv. | ||
| Direct'Ostaria | Nouveau | Paul-Edouard Ducherne | 0,46 | Nv. | ||
Représentation géographique des résultats
Cartes du premier tour
Carte du second tour
Analyse
Par cette élection, on observe une montée du Parti Populaire (+5,17 points), tandis que la droite républicaine de l'Alliance de la Droite Nationale tombe par fatigue de l'exercice du pouvoir (-4,71 points). En parallèle, on observe un renforcement des forces centristes : L'Alternative, Maison Commune et Parti Radical Unitaire. La gauche victorieuse observe également une légère augmentation (+1,79 points).
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