Élection présidentielle ostarienne de 234
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| Élection présidentielle de 234 | ||||||||
| 5 février 234 (1er tour) 10 février 234 (2nd tour) |
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| Type d’élection | Suffrage universel direct | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Corps électoral et résultats | ||||||||
 Christophe Letordu L'Alternative |
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33,92 % |
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60,07 % |
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 Marie-Claire d'Esquincourt Alliance de la Droite Nationale |
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20,44 % |
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39,93 % |
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 Béatrice Lusignan Rassemblement Démocratique Socialiste |
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20,38 % |
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 Valentine Miron Parti Populaire |
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15,68 % |
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 Jean-Philippe Walter Mouvement Populaire et Républicain |
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4,17 % |
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| Président de la République d'Ostaria | ||||||||
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L'élection présidentielle ostarienne de 234 a eu lieu le 5 et 10 février 234 afin d'élire le Président de la République pour un mandat de sept ans. Il s'agit de la septième élection présidentielle de la IVème République. Le Président de la République sortant, Christophe Letordu, était candidat à sa succession.
Arrivé en tête du premier tour avec 33,92% des suffrages exprimés, Christophe Letordu affronte Marie-Claire d'Esquincourt (20,44%) au second tour. C'est la première fois depuis la présidentielle de 203 que le second tour voit s'affronter le centre et la droite (Aya Leclerc (L'Alternative) contre Julien Boulanger (LR)).
En troisième position avec 20,38% des voix, Béatrice Lusignan échoue à moins de 0,1% à se qualifier pour le second tour, une première depuis quatre élections. La deuxième surprise de ce scrutin demeure l'obtention de 4,17% des suffrages exprimés pour la première participation de Jean-Philippe Walter (MPR), candidat de la gauche souverainiste.
Le second tour se conclut sur la victoire de Christophe Letordu avec 60,07%, lui permettant d'entamer un deuxième mandat présidentiel. Il devient ainsi le 4ème Président de la République d'Ostaria à être réélu pour un deuxième mandat. Son investiture eu lieu le 11 février durant laquelle il annonça conserver le gouvernement, puisque les élections générales étaient organisées quelques semaines plus tard.
Contexte
Présidence sortante de Christophe Letordu
L'élection présidentielle de 227 voit la victoire de Christophe Letordu, qui l'emporte au second tour face à la candidate de la gauche, Juliette Delagins.
Le début de sa présidence est marquée par les attaques terroristes de la Ligue Cavouroise Souveraine, qui le pousse à mobiliser l'armée et toutes les forces de l'ordre pour sécuriser les axes importants et les lieux sensibles. À l'occasion des générales de 230, il se place comme l'homme de la situation qui participe activement à la stabilité institutionnelle en organisant des rencontres avec les forces politiques, une pratique présidentielle très peu appliquée par le passé. À l'occasion de ces échanges, de violents désaccords apparaissent entre lui et Sabrina Lambert, cheffe de file de la gauche (RDS-CP) : cette dernière estimant que le Président de la République cherche à gagner du temps et à réécrire la Constitution. Ce à quoi, le Président de la Républque se défenda par la stricte lecture de la Constitution. Après que Sabrina Lambert obtenue la défiance de son gouvernement, certains médias estimèrent que le délai entre les élections et la nomination à la primature avait largement joué en défaveur de la Première Ministre.
Il affirma à plusieurs reprises son total soutien envers le Premier Ministre et la politique menée par le gouvernement. Sur la deuxième partie de son mandat, le Président de la République a mené un voyage diplomatique en Narois, afin de réaffirmer l'amitié ostaro-naroisienne. Une volonté partagée par l'Assemblée Nationale qui adopta à l'unanimité des votants le traité d’amitié et d’entente mutuelle.
Il conclut son mandat par une réforme constitutionnelle qui avait pour but de réaffirmer le dualisme d'État, en rappelant les pouvoirs du Président, en le rendant actif dans la politique nationale et en donnant plus de légitimité au Gouvernement. Lors de la campagne référendaire, L'Alternative, parti présidentiel, fut le seul à y paticiper longuement en faveur du "oui". Face à peu d'opposition, la modification fut adoptée par référendum à plus de 81% des suffrages exprimés. C'est enfin au cours d'une allocution télévisée qu'il annonça sa candidature pour sa succession.
International
Les élections phoéciennes de 230 conclurent sur le maintien de l'ancien Président George Édouard au poste de Président du Conseil de l'Union Phoécienne.
En novembre 231, c'est également la signature d'un traité de paix qui met fin, après sept ans de conflit, à la Troisième Guerre d'Asnaywana qui opposait l'Empire du Tawkirina à l'Asnaywana du Sud soutenu par ses alliés du Komintern.
Modalités
Mode de scrutin
Le Président de la République est élu au suffrage universel direct au scrutin uninominal majoritaire à deux tours pour un mandat de sept ans. Est élu le candidat qui recueille la majorité absolue des suffrages exprimés au premier tour du scrutin. Sinon, un second tour est organisé entre les deux candidats ayant recueilli le plus de suffrages au premier tour. Au second tour, le candidat qui recueille le plus de suffrage l'emporte.
La Haute Cour Constitutionnelle est, conformément à l'article 54 de la Constitution, garant de l'organisation, de la surveillance, de la régularité démocratique des élections et de la proclamation des résultats.
Conditions de candidature
Chaque candidat doit satisfaire plusieurs conditions :
- être de nationalité ostarienne ;
- ne pas avoir été condamné d’inéligibilité par la justice ;
- être majeur et être électeur ;
- ne pas être membre de la Haute Cour Constitutionnelle, de la Commission Électorale, des forces armées ou magistrats ;
- recueillir au moins 15 parrainages de grands électeurs (députés ou conseillers régionaux)
Candidats
L'ordre du tableau ci-dessous a été établi dans l'ordre de dépôt des candidatures (lecture de haut en bas).
À cette élection, il y a trois femmes candidats et quatre hommes.
La moyenne d'âge des candidats est de 55 ans. Le plus âgé est Paul-Edouard Ducherne, 92 ans, et le plus jeune est Valentin Bachelot, 33 ans.
Sur les sept candidats, un participe pour la 3ème fois à l'élection présidentielle (Valentine Miron), quatre participent pour la 2ème fois (Paul-Edouard Ducherne, Marie-Claire d'Esquincourt, Christophe Letordu et Valentin Bachelot) et deux pour la 1ère fois (Jean-Philippe Walter et Béatrice Lusignan).
Sondages
Avant le premier tour
| Sondeur | Date | 
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|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Bachelot | Lusignan | Walter | Letordu | Ducherne | d'Esquincourt | Miron | ||
| ISO | 29 janvier | 2,96 % | 26,43 % | 3,22 % | 36,17 % | 0 % | 17,91 % | 13,3 % |
| KO&Stat | 1-2 février | 2,48 % | 24,68 % | 4,11 % | 35,58 % | 0,50 % | 18,50 % | 14,15 % |
| ISO | 2 février | 1,65 % | 24,92 % | 3,63 % | 34,57 % | 1,16 % | 18,73 % | 15,35 % |
| KO&Stat | 2-3 février | 2,06 % | 24,73 % | 3,87 % | 35,20 % | 0,83 % | 18,50 % | 14,82 % |
| KO&Stat | 3-4 février | 1,85 % | 24,75 % | 3,74 % | 34,95 % | 0,99 % | 18,56 % | 15,16 % |
Entre-deux-tours
Résultats
| Candidat | Parti | 1er tour | 2nd tour | |
|---|---|---|---|---|
| Christophe Letordu | LA | 33,92 % | 60.07 % | |
| Marie-Claire d'Esquincourt | ADN | 20,44% | 39.93% | |
| Béatrice Lusignan | RDS | 20,38 % | ||
| Valentine Miron | PP | 15,68 % | ||
| Jean-Philippe Walter | MPR | 4,17 % | ||
| Paul-Edouard Ducherne | DO | 2,76 % | ||
| Valentin Bachelot | FOT | 2,65 % | ||
| Christophe Letordu (60.07 %) |
Marie-Claire d'Esquincourt (39.93 %) | ||
| ▲ | |||
Variation au premier tour comparé au dernier scrutin
| Parti | Candidat en 227 | % | Candidat en 234 | % | +/- | |
|---|---|---|---|---|---|---|
| L'Alternative | Christophe Letordu | 27,19 | Christophe Letordu | 33,92 |  6.73
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| Rassemblement Démocratique Socialiste | Candidature commune avec CP | Béatrice Lusignan | 20,38 | Nv. | ||
| Alliance de la Droite Nationale | Marie-Claire d'Esquincourt | 19,24 | Marie-Claire d'Esquincourt | 20,44 | 1.2
| |
| Parti Populaire | Valentine Miron | 14,40 | Valentine Miron | 15,68 | 1.28
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| Mouvement Populaire Républicain | Nouveau | Jean-Philippe Walter | 4,17 | Nv. | ||
| Direct'Ostaria | Nouveau | Paul-Edouard Ducherne | 2,76 | Nv. | ||
| Fédération Ostarienne des Travailleurs | Candidature avec un autre parti | Valentin Bachelot | 2,65 | Nv. | ||
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