Henry Murray
| Henry Murray | ||||||||
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| Fonctions | ||||||||
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| Gouverneur du Richmond | ||||||||
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| Élection | 4 novembre 193 | |||||||
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| Sénateur de Fédération-Unie | ||||||||
| État |  Richmond
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| Mandat | 4 avril 190 - 4 avril 194 (4 ans) |
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| Groupe | Parti Conservateur | |||||||
| Biographie | ||||||||
| Nom de naissance | Henry John Murray | |||||||
| Genre | Homme | |||||||
| Nationalité |  Fédération-Unie
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| Naissance | 6 novembre 133 New Lancaster  Two Rivers Fédération-Unie
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| Activité professionnelle | Homme d’affaires | |||||||
| Engagement | Parti Conservateur | |||||||
| Famille | ||||||||
| Parents | John Murray Elizabeth Rindell |
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| Conjoint | Ellen Hensley (159-164) Macey Whitman (depuis 166) |
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| Enfants | Rosie Murray Henry Jr. Murray Kurtis Murray |
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Henry John Murray, né 6 novembre 133 à New Lancaster (Two Rivers), est un homme d’affaires et homme politique fédéré, membre du Parti Conservateur.
Sénateur pendant 4 ans, il est élu Gouverneur du Richmond face au progressiste Nicolas Edwards.
Situation personnelle
Famille
Henry John Murray naît le 6 novembre 133 dans une clinique privée de New Lancaster. Sa mère est une comédienne richmondaise et son père est un riche homme d’affaires riversien, fondateur de la Murray & Associates Organization.
Vie privée
Il épouse en 159 Ellen Hensley, avec laquelle il aura une fille, née en 161. Le couple divorce cinq ans après son mariage et Henry se remarie en 166 avec Macey Whitman. Il a deux jumeaux en 167 avec cette seconde épouse, avec laquelle il est toujours marié.
Études
Scolarisé tout au long de sa jeunesse dans des établissements privés, il s’oriente ensuite vers des études de finance et de commerce. Après 3 ans d’études supérieures, il est recruté par son père au sein de l’entreprise familiale.
Carrière
Au sortir de ses études en 154, il est choisi par son père pour diriger la branche riversienne de l’entreprise. Deux ans plus tard, il est promu Vice-Président du groupe de son père.
En 159, son père décide de prendre sa retraite à l’âge de 62 ans. Il cède un tiers de ses parts à son fils et lui laisse les commandes de l’entreprise. En un quart de siècle, Henry transforme profondément l’entreprise, recherchant avant tout l’efficacité et n’hésitant pas à faire avec moins d’effectifs. La capitalisation de l’entreprise a été multipliée par quatre entre son entrée en fonction en 159 et son vingt-cinquième anniversaire à la tête du groupe, avec pour autant des effectifs presque constants.
En novembre 184, sa fortune personnelle est estimée à environ 690 millions de Thaler, le triple de celle de son père.
Parcours politique
Il fait son entrée en politique en annonçant se porter candidat aux primaires conservatrices contre la Présidente Nancy Chapman. Avec une campagne très à droite, il surprend en réalisant des scores plus hait que prévu : 9,30% à Fort Oak, 7,09% au Northunderland, 8,31% à Rochester et 8,57% au Southymland. Il se retire après les primaires rochesteriennes et southymlandaises mais continue de faire de bons scores. Il totalise au niveau national 1 885 313 suffrages, soit 8,05% des voix.
Après deux ans de relatif retrait médiatique après sa campagne présidentielle, il est nommé par Jeffrey Holloway pour représenter le Richmond au Sénat de la Fédération-Unie. Votant pout les traités de l'Administration Chapman, il se fait surtout remarquer en étant l'un des premiers à appeler le Gouverneur Holloway à démissionner pour sa mauvaise gestion de l'ouragan Katia.
En 191, il entame les démarches administratives pour se porter de nouveau candidat aux primaires conservatrices.
Fonctions, titres et honneurs
Positions politiques
Henry Murray fait partie de l'aile droite du Parti Conservateur. Il tient des positions très radicales sur plusieurs questions de société en proposant par exemple de revenir sur l'arrêt de 140 ou de criminaliser l'avortement après la 15ème semaine de grossesse.
Sur les questions économiques, il soutient un État fédéral très limité et veut restreindre au maximum la couverture du Medicare et du Medicaid.
Il est également connu pour des positions fermes sur l'immigration venue de Solinarie, qu'il veut restreindre à son strict minimum.
