Différences entre les versions de « Marie-Claire d'Esquincourt »
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=Biographie= | =Biographie= | ||
== | ==Activités Professionnelles== | ||
===Création de la Société D'Imprimerie d'Esquincourt=== | |||
Marie-Claire d'Esquincourt achètera une imprimerie et créera sa propre société d’édition, Société D'Imprimerie d'Esquincourt (SIE), en 213, alors qu'elle est âgée de 24 ans. Utilisant son réseau, elle fera publié et imprimer des journaux locaux et nationaux classés à droite. Aujourd'hui, Marie-Claire d'Esquincourt détient toujours la majorité des parts de la SIE bien que son capital soit partagé avec des investisseurs ostariens proches des sphères de droite. L'actuel directeur de la SIE est [[Louis Beranger]], beau-frères de Marie-Claire d'Esquincourt et ancien rugbyman connu notamment pour ses prises de positions en faveur de l'instauration de la foi Constantine comme Religion d'État. Marie-Claire d'Esquincourt affirme à l'époque aux journalistes de la presse local "ne pas partager cet avis mais respecter la communauté constantine dont elle fait partie." | |||
== | ===Promotion du tourisme=== | ||
Avant de s'engager politiquement, Marie-Claire d'Esquincourt collaborera avec de nombreux musées sur le territoire de Cavour pour participer au financement d'une campagne nationale et phoécienne de promotion du tourisme sur l'île. | |||
== | ==Engagement politique== | ||
===Premiers engagements=== | |||
Marie-Claire commence la politique alors qu'elle est encore étudiante à l'université de Dusaux. A 19 ans elle s'engage dans une association constantine de protection de la vie, menant des actions de charité envers les plus précaires mais aussi en condamnant vigoureusement l'avortement. A 22 ans elle s'écarte du combat contre l'avortement et concentrera ses efforts dans la lutte contre d'autres mesures progressiste comme la GPA ou la PMA. | |||
En parallèle elle écrira des articles prônant l’excellence et le travail dans le journal de la facultés, des articles qui seront vivement critiqués par les syndicats étudiants de gauche. | |||
===Adhésion à l'Alliance de la Droite Nationale=== | |||
Après une carrière de 9 ans en tant qu’éditrice de presse, ou elle se fera un réseau à droite, elle s'engagera au sein de l'[[Alliance de la Droite Nationale (Ostaria)|Alliance de la Droite Nationale]] afin de mener la bataille contre la gauche et les indépendantistes à Dusaux et en Cavour. | |||
En 222, elle remporte les élections municipales à la tête d'une coalition de la droite et devient par la même une des politiques les plus influentes de l'île. 222 fut également la date ou elle est élue députée de l'Assemblée Nationale, ou elle défendra avec succès un texte de libéralisation de l'économie ostarienne, alors marquée par l'ère éco-soscialiste. | |||
===Présidente de l'ADN=== | |||
En 227, après plus de 20 ans de présidence d'[[Eugénie Deschanels]], Marie-Claire d'Esquincourt est élue présidente de l'ADN lors du congrès de Dusaux. A cette occasion [[Swan Defontour]] et [[Alice Lecomte]] sont élus vice-présidents. Elle remplace, de fait, le leadership de [[Damien Dumont]] et s'entoure de nouveaux cadres comme [[Antoine du Berry]] et [[Arnaud Brassard]]. | |||
===Candidate aux présidentielles de 227=== | |||
L'[[Élection présidentielle ostarienne de 227|Élection présidentielle de 227]] est l'occasion pour la nouvelle présidente de l'ADN se s'imposer comme une véritable cheffe de file. Les premiers sondages sont pessimistes pour la candidate, avant le début de la campagne officielle elle ne dépasse pas les 15%. Cependant, lorsque sa campagne débute elle entame une véritable dynamique. Faisant campagne sur une réforme du scrutin législatif afin de favoriser une plus grande stabilité parlementaire. La candidate de la droite prendra aussi des postures plus classique en faveur de la sécurité et de la baisse des dépenses publics afin de limiter l'endettement qu'elle considère comme une atteinte à l'indépendance nationale dans son meeting au Zénith de Condail. Le soir du premier tour, sa candidature rassemble 19,24% et se plaçant en troisième position. Elle obtient des scores très importants dans certaines villes, arrivant en tête à Dusaux avec 35,42 % des suffrages exprimés. Si le second tour est celui qui était prévu par les sondages depuis le début de la présidentielle, Marie-Claire d'Esquincourt peut se féliciter d'avoir redonné une dynamique électorale à une formation politique en déclin depuis quelques années. Elle appel à voter pour la candidature de Letordu tout en appelant ce dernier à "droitiser son projet présidentiel". | |||
===Ministre de l'économie au gouvernement Delamare II=== | |||
En septembre 228, avec la nomination du gouvernement [[Gouvernement Delamare II|Delamare II]], elle prend le poste de de l'Économie et des Finances. Le gouvernement est marqué par une relative inactivité, bien qu'elle apporte son soutient à [[Antoine du Berry|du Berry]] sur la réforme du code de l’éducation. Le gouvernement traverse une confrontation entre l'ADN et [[Le Nouveau Centre (Ostaria)|LNC]] sur la question cavouroise. Marie-Claire d'Esquincourt affirme que donner des statuts particuliers à [[Cavour]] revient à céder à des "discours de malades minoritaires (...) terroristes", faisant référence aux attaques terroristes pro indépendance ayant meurtrie l'île. | |||
===Élections générales ostariennes de 230=== | |||
Les [[Élections générales ostariennes de 230|élections générales de 230]] constituaient, pour l'ADN et sa présidente, un enjeux important. Il s'agissait, en effet, pour la droite conservatrice de confirmer le bon score de la présidentielle de 227. Marie-Claire d'Esquincourt tient un grand meeting à l'Ancien Théâtre royal de Dusaux ou elle propose une baisse des cotisations sociales, une réforme du revenu minimal de subsistance, la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu et une augmentation du temps de travail. La candidate va également affirmer son opposition aux législations écologistes, affirmant que "seul le développement économique parviendra à trouver des solutions pour le climat." Après une campagne ou l'ADN dépasse les 20% dans les sondages, les candidats de l'ADN parviennent difficilement à rassembler 17,62 % des suffrages, loin derrière l'Alternative et la gauche. Le nouveau mode de scrutin empêche l'ADN de remporter de nouveaux sièges de députés malgré un meilleur score qu'en 226. | |||
===Gouvernement Delamare III=== | |||
Marie-Claire d'Esquincourt décide de ne pas participer au gouvernement Delamare III. Ce refus semble motivé par une volonté politique de ne pas entacher son image dans un gouvernement pouvant être vu comme opportuniste et également de ne pas se mettre sous l'autorité du Premier Ministre [[Marius Delamare]] en vu de l'élection présidentielle approchante. | |||
===Candidate à la présidentielle de 234=== | |||
Elle présente sa candidature aux [[Élection présidentielle ostarienne de 234|élection présidentielle de 234]] en affirmant dans un chirp vouloir "garantir l'ordre à l'intérieur des frontières" et porter "la voix de la paix et de la démocratie à l'international". Elle est la seconde à présenter explicitement sa candidature auprès de la Commission Électorale, après [[Paul-Edouard Ducherne]]. Elle obtient 20,44% des voix et surpasse, à la surprise générale, la candidate du [[Rassemblement Démocratique Socialiste (Ostaria)|Rassemblement Démocratique Socialiste]], [[Béatrice Lusignan]]. Au second tour, elle fait face au président sortant [[Christophe Letordu]] qui a obtenu près de 34% des voix. Elle est nettement battue, mais ce score permet à Marie-Claire d'Esquincourt de se légitimer au sein de son parti et de s'ancrer définitivement dans le paysage politique ostarien. | |||
===Élections générales de 234=== | |||
Les [[Élections générales ostariennes de 234|élections générales ostariennes de 234]] sont l'occasion pour l'ADN de réitérer le bon score de la présidentielle de la même année. La droite conservatrice obtient 20,40% des voix, en augmentation par rapport aux élections de 230 mais c'est un score qui reste décevant d'autant que le RDS, quant à lui, réunis cette fois-ci 24% des suffrages. | |||
===Opposition au gouvernement Ernest Vabre-Nicolo et alliance avec le Parti Populaire=== | |||
L'ADN, très opposée à la figure politique d'[[Ernest Vabre-Nicolo]], décide de conditionner sa participation au gouvernement de ce dernier à la présence du [[Parti Populaire (Ostaria)|Parti Populaire]] dans la coalition. Vabre-Nicolo refuse et dénonce cette alliance entre le parti de droite et le parti d'extrême droite, préférant une alliance avec le RDS. Dès lors, l'Alliance de la Droite Nationale entre dans un opposition ferme au gouvernement. Marie-Claire d'Esquincourt forme une alliance à Dusaux avec le Parti Populaire, dont la tête de liste municipal obtient le poste de premier adjoint. | |||
=Positionnement politique= | |||
==Économie== | |||
Marie-Claire d'Esquincourt s'est rapidement illustré comme libérale sur le plan économique, en faisant voter par l'assemblée nationale une loi baissant drastiquement les taux d’imposition. Cependant, elle s'affirme aussi comme prudente avec la mondialisation et comme soucieuse du bien être des plus précaires. | |||
==Santé== | |||
Son engagement associatif constantin contre l'avortement, la PMA et la GPA la place comme une femme conservatrice bien qu'elle n'est pas communiquée sur le droit à l'avortement depuis plusieurs années. | |||
=Famille et vie privée= | =Famille et vie privée= | ||
Marie-Claire d'Esquincourt, née (de) Burcy, est la fille d'Arthur de Burcy, officier dans la marine militaire, et d'Élise de Burcy, femme au foyer. | |||
Marie-Claire est mariée depuis ses 24 ans à Julien d'Esquincourt, issu d'une vielle famille aristocratique de Cavour et héritier de plusieurs propriétés immobilières dans le pays. Le couple à trois enfants, dont deux jumelles et un garçon. | |||
=Fonctions, titres et honneurs= | =Fonctions, titres et honneurs= | ||
=Anecdotes= | =Anecdotes= | ||
Version actuelle datée du 23 octobre 2025 à 12:10
| Marie-Claire d'Esquincourt | ||||||||
| Fonctions | ||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Présidente de la République | ||||||||
| Élection | 241 | |||||||
| Mandat | Depuis le 3 septembre 241 (3 ans, 3 mois et 3 jours) |
|||||||
| Premier Ministre | Charles Beauton | |||||||
| ||||||||
| Ministre de l'Économie et des Finances | ||||||||
| Président | Christophe Letordu | |||||||
| Premier Ministre | Marius Delamare | |||||||
| Gouvernement | Delamare II | |||||||
| Mandat | 2 septembre 228 - 15 novembre 230 (2 ans, 2 mois et 13 jours) |
|||||||
| ||||||||
| Députée ostarienne | ||||||||
| Législature | XVIIe XVIIIe |
|||||||
| Élection | 222 226 |
|||||||
| Mandat | 9 février 222 - 3 septembre 241 (19 ans, 6 mois et 22 jours) |
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| Groupe parlementaire | ADN | |||||||
| Biographie | ||||||||
| Nom de naissance | Marie-Claire, Juliette, Rose de Burcy | |||||||
| Genre | Femme | |||||||
| Nationalité | Ostarienne | |||||||
| Naissance | 10 décembre 189 (54 ans) Dusaux, Cavour |
|||||||
| Résidence | Dusaux | |||||||
| Religion | Foi Constantine | |||||||
| Activité professionnelle | Éditrice de presse | |||||||
| Engagement | ADN | |||||||
| Famille | ||||||||
Marie-Claire d'Esquincourt est une femme politique ostarienne engagée à l'ADN. Elle est, depuis les Élections générales ostariennes de 222, maire de Dusaux et députée. Elle est, au sein de son mouvement politique, une figure revendiquée d'une droite conservatrice et social-libéral.
Biographie
Activités Professionnelles
Création de la Société D'Imprimerie d'Esquincourt
Marie-Claire d'Esquincourt achètera une imprimerie et créera sa propre société d’édition, Société D'Imprimerie d'Esquincourt (SIE), en 213, alors qu'elle est âgée de 24 ans. Utilisant son réseau, elle fera publié et imprimer des journaux locaux et nationaux classés à droite. Aujourd'hui, Marie-Claire d'Esquincourt détient toujours la majorité des parts de la SIE bien que son capital soit partagé avec des investisseurs ostariens proches des sphères de droite. L'actuel directeur de la SIE est Louis Beranger, beau-frères de Marie-Claire d'Esquincourt et ancien rugbyman connu notamment pour ses prises de positions en faveur de l'instauration de la foi Constantine comme Religion d'État. Marie-Claire d'Esquincourt affirme à l'époque aux journalistes de la presse local "ne pas partager cet avis mais respecter la communauté constantine dont elle fait partie."
Promotion du tourisme
Avant de s'engager politiquement, Marie-Claire d'Esquincourt collaborera avec de nombreux musées sur le territoire de Cavour pour participer au financement d'une campagne nationale et phoécienne de promotion du tourisme sur l'île.
Engagement politique
Premiers engagements
Marie-Claire commence la politique alors qu'elle est encore étudiante à l'université de Dusaux. A 19 ans elle s'engage dans une association constantine de protection de la vie, menant des actions de charité envers les plus précaires mais aussi en condamnant vigoureusement l'avortement. A 22 ans elle s'écarte du combat contre l'avortement et concentrera ses efforts dans la lutte contre d'autres mesures progressiste comme la GPA ou la PMA.
En parallèle elle écrira des articles prônant l’excellence et le travail dans le journal de la facultés, des articles qui seront vivement critiqués par les syndicats étudiants de gauche.
Adhésion à l'Alliance de la Droite Nationale
Après une carrière de 9 ans en tant qu’éditrice de presse, ou elle se fera un réseau à droite, elle s'engagera au sein de l'Alliance de la Droite Nationale afin de mener la bataille contre la gauche et les indépendantistes à Dusaux et en Cavour.
En 222, elle remporte les élections municipales à la tête d'une coalition de la droite et devient par la même une des politiques les plus influentes de l'île. 222 fut également la date ou elle est élue députée de l'Assemblée Nationale, ou elle défendra avec succès un texte de libéralisation de l'économie ostarienne, alors marquée par l'ère éco-soscialiste.
Présidente de l'ADN
En 227, après plus de 20 ans de présidence d'Eugénie Deschanels, Marie-Claire d'Esquincourt est élue présidente de l'ADN lors du congrès de Dusaux. A cette occasion Swan Defontour et Alice Lecomte sont élus vice-présidents. Elle remplace, de fait, le leadership de Damien Dumont et s'entoure de nouveaux cadres comme Antoine du Berry et Arnaud Brassard.
Candidate aux présidentielles de 227
L'Élection présidentielle de 227 est l'occasion pour la nouvelle présidente de l'ADN se s'imposer comme une véritable cheffe de file. Les premiers sondages sont pessimistes pour la candidate, avant le début de la campagne officielle elle ne dépasse pas les 15%. Cependant, lorsque sa campagne débute elle entame une véritable dynamique. Faisant campagne sur une réforme du scrutin législatif afin de favoriser une plus grande stabilité parlementaire. La candidate de la droite prendra aussi des postures plus classique en faveur de la sécurité et de la baisse des dépenses publics afin de limiter l'endettement qu'elle considère comme une atteinte à l'indépendance nationale dans son meeting au Zénith de Condail. Le soir du premier tour, sa candidature rassemble 19,24% et se plaçant en troisième position. Elle obtient des scores très importants dans certaines villes, arrivant en tête à Dusaux avec 35,42 % des suffrages exprimés. Si le second tour est celui qui était prévu par les sondages depuis le début de la présidentielle, Marie-Claire d'Esquincourt peut se féliciter d'avoir redonné une dynamique électorale à une formation politique en déclin depuis quelques années. Elle appel à voter pour la candidature de Letordu tout en appelant ce dernier à "droitiser son projet présidentiel".
Ministre de l'économie au gouvernement Delamare II
En septembre 228, avec la nomination du gouvernement Delamare II, elle prend le poste de de l'Économie et des Finances. Le gouvernement est marqué par une relative inactivité, bien qu'elle apporte son soutient à du Berry sur la réforme du code de l’éducation. Le gouvernement traverse une confrontation entre l'ADN et LNC sur la question cavouroise. Marie-Claire d'Esquincourt affirme que donner des statuts particuliers à Cavour revient à céder à des "discours de malades minoritaires (...) terroristes", faisant référence aux attaques terroristes pro indépendance ayant meurtrie l'île.
Élections générales ostariennes de 230
Les élections générales de 230 constituaient, pour l'ADN et sa présidente, un enjeux important. Il s'agissait, en effet, pour la droite conservatrice de confirmer le bon score de la présidentielle de 227. Marie-Claire d'Esquincourt tient un grand meeting à l'Ancien Théâtre royal de Dusaux ou elle propose une baisse des cotisations sociales, une réforme du revenu minimal de subsistance, la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu et une augmentation du temps de travail. La candidate va également affirmer son opposition aux législations écologistes, affirmant que "seul le développement économique parviendra à trouver des solutions pour le climat." Après une campagne ou l'ADN dépasse les 20% dans les sondages, les candidats de l'ADN parviennent difficilement à rassembler 17,62 % des suffrages, loin derrière l'Alternative et la gauche. Le nouveau mode de scrutin empêche l'ADN de remporter de nouveaux sièges de députés malgré un meilleur score qu'en 226.
Gouvernement Delamare III
Marie-Claire d'Esquincourt décide de ne pas participer au gouvernement Delamare III. Ce refus semble motivé par une volonté politique de ne pas entacher son image dans un gouvernement pouvant être vu comme opportuniste et également de ne pas se mettre sous l'autorité du Premier Ministre Marius Delamare en vu de l'élection présidentielle approchante.
Candidate à la présidentielle de 234
Elle présente sa candidature aux élection présidentielle de 234 en affirmant dans un chirp vouloir "garantir l'ordre à l'intérieur des frontières" et porter "la voix de la paix et de la démocratie à l'international". Elle est la seconde à présenter explicitement sa candidature auprès de la Commission Électorale, après Paul-Edouard Ducherne. Elle obtient 20,44% des voix et surpasse, à la surprise générale, la candidate du Rassemblement Démocratique Socialiste, Béatrice Lusignan. Au second tour, elle fait face au président sortant Christophe Letordu qui a obtenu près de 34% des voix. Elle est nettement battue, mais ce score permet à Marie-Claire d'Esquincourt de se légitimer au sein de son parti et de s'ancrer définitivement dans le paysage politique ostarien.
Élections générales de 234
Les élections générales ostariennes de 234 sont l'occasion pour l'ADN de réitérer le bon score de la présidentielle de la même année. La droite conservatrice obtient 20,40% des voix, en augmentation par rapport aux élections de 230 mais c'est un score qui reste décevant d'autant que le RDS, quant à lui, réunis cette fois-ci 24% des suffrages.
Opposition au gouvernement Ernest Vabre-Nicolo et alliance avec le Parti Populaire
L'ADN, très opposée à la figure politique d'Ernest Vabre-Nicolo, décide de conditionner sa participation au gouvernement de ce dernier à la présence du Parti Populaire dans la coalition. Vabre-Nicolo refuse et dénonce cette alliance entre le parti de droite et le parti d'extrême droite, préférant une alliance avec le RDS. Dès lors, l'Alliance de la Droite Nationale entre dans un opposition ferme au gouvernement. Marie-Claire d'Esquincourt forme une alliance à Dusaux avec le Parti Populaire, dont la tête de liste municipal obtient le poste de premier adjoint.
Positionnement politique
Économie
Marie-Claire d'Esquincourt s'est rapidement illustré comme libérale sur le plan économique, en faisant voter par l'assemblée nationale une loi baissant drastiquement les taux d’imposition. Cependant, elle s'affirme aussi comme prudente avec la mondialisation et comme soucieuse du bien être des plus précaires.
Santé
Son engagement associatif constantin contre l'avortement, la PMA et la GPA la place comme une femme conservatrice bien qu'elle n'est pas communiquée sur le droit à l'avortement depuis plusieurs années.
Famille et vie privée
Marie-Claire d'Esquincourt, née (de) Burcy, est la fille d'Arthur de Burcy, officier dans la marine militaire, et d'Élise de Burcy, femme au foyer.
Marie-Claire est mariée depuis ses 24 ans à Julien d'Esquincourt, issu d'une vielle famille aristocratique de Cavour et héritier de plusieurs propriétés immobilières dans le pays. Le couple à trois enfants, dont deux jumelles et un garçon.