Différences entre les versions de « Référendum ostarien de 177 »
m (Jérôme a déplacé la page Réferendum ostarien de 177 vers Référendum ostarien de 177) |
|
(Aucune différence)
|
Version actuelle datée du 28 septembre 2024 à 21:19
| ||||||||
Référendum constitutionnel de 177 | ||||||||
29 mai 177 | ||||||||
Corps électoral | ||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Approuvez-vous la loi constitutionnelle de transition socialiste proposée ? | ||||||||
Oui | 38,66 % |
|||||||
Non | 61,34 % |
|||||||
Le 29 mai 177, un référendum a eu lieu en Ostaria, lors duquel les électeurs ont été appelés à se prononcer sur un projet de loi constitutionnelle de transition socialiste proposé par le Président de la République Julien Chastain.
Ce référendum prend place alors que l'Union de la gauche, constituée des communistes du PCO (parmi lesquels le Président Julien Chastain)) et des écosocialistes du RSÉ (parmi lesquels la Première Ministre Marie Bonneau), est au pouvoir.
Le 17 mai 177, Julien Chastain annonce, lors d'une intervention télévisée, qu'il proposera, par référendum un changement radical de société pour la transition vers le socialisme. La réforme prévoit d'accorder les pleins pouvoirs à Julien Chastain pour écrire une nouvelle constitution qui devra être approuvée par référendum, la suspension d'une partie importante de la constitution et la réunion d'une Assemblée Populaire tirée au sort devant laquelle Julien Chastain serait en partie responsable.
Cette annonce provoque la démission de la Première Ministre écosocialiste Marie Bonneau et la rupture de l'Union de la gauche. L'ensemble des partis politiques majeurs, à l'exception du PCO, s'opposent à l'initiative du président, qui est rejetée lors du référendum.
Face à cet échec, Julien Chastain, dénonçant "l'incompétence généralisée de quelques leaders d'un genre inefficace et braillard", déclare qu'il gouvernera désormais par plébiscite et que, face à la volonté des électeurs de "garder l'ancien système", il l'utilisera "jusqu'à ce qu'il déraille". Ceci donnera lieu au référendum de 178, qui sera aussi un échec.
Dans le même temps, la censure immédiate du nouveau gouvernement, soutenu par les communistes sans le soutien des écosocialistes ni celui de la droite, associée à l'échec de la stratégie référendaire, entraîne la dissolution de l'Assemblée Nationale par Julien Chastain, et l'organisation de nouvelles élections.