Adam Thiers
| Adam Thiers | ||||||||
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| Fonctions | ||||||||
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| Vice-Premier Ministre de la République Ministre de la Santé et des Solidarités | ||||||||
| Président | François Pelichon | |||||||
| Premier Ministre | Elsa Altmann | |||||||
| Gouvernement | Altmann II | |||||||
| Mandat | 10 juillet 214 (18 ans, 5 mois et 12 jours) |
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| Député ostarien | ||||||||
| Législature | XIIIème XIVème XVème |
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| Élection | 12 novembre 207 5 mars 210 7 juillet 214 |
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| Mandat | 13 novembre 207 (25 ans, 1 mois et 9 jours) |
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| Groupe parlementaire | PRS | |||||||
| Conseiller régional d'Orbône | ||||||||
| Élection | 17 juillet 203 | |||||||
| Mandat | 18 juillet 203 - 13 novembre 207 (4 ans, 3 mois et 26 jours) |
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| Groupe | URP | |||||||
| Biographie | ||||||||
| Genre | Homme | |||||||
| Nationalité |  Ostaria
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| Naissance | 24 mars 181 (51 ans) Tasasque, Orbône Ostaria
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| Activité professionnelle | Homme politique | |||||||
| Engagement | PRS | |||||||
| Famille | ||||||||
Adam Thiers est un homme politique ostarien né le 24 mars 181, membre du Parti Républicain & Solidaire.
Biographie
Jeunesse
Engagement politique
Adam Thiers s'engage au sein du Parti Républicain & Solidaire seulement quelques semaines après sa création en avril 200. Militant de la première heure très actif, il obtient une place éligible sur la liste régionale de l'Union Républicaine pour le Progrès, la coalition qu'intègre le PRS pour les élections générales de 203, menée par Justine Bonnet. Il est élu au conseil régional où il siège pendant quatre ans.
Aux élections générales de 207, il est investi candidat aux élections législatives dans la 22ème circonscription d'Orbône, l'une des cinq circonscriptions sans candidat de l'Union des gauches (cette-dernière laissant se présenter un candidat de l'UTAC). Il est très largement élu député avec 48,18% des voix, loin devant ses adversaires de L'Alternative (21,70 %) et de Viv(r)e la Ruralité (13,31%). Il n'est toutefois pas réélu au conseil régional d'Orbône, étant en position non-éligible sur la liste du PRS.
À l'Assemblée Nationale, il est choisi comme président du groupe PRS par ses quatre collègues. Pour le premier vote de la législature, ses collègues et lui s'abstiennent de voter la confiance à la Première Ministre Elsa Altmann et à son gouvernement.
Il vote blanc sur la proposition de loi portée par Laure Morelli visant à établir un nouveau mode de scrutin pour les élections législatives qui soit hybride entre un système majoritaire et un système proportionnel. Il se dit toutefois favorable à une réforme du mode de scrutin et soutient les appels à une consultation populaire d'origine transpartisane.
Malgré sa proximité personnelle avec Justine Bonnet, il apporte son soutien à son concurrent Fabien Bouchard, partisan d'une meilleure intégration des territoires ruraux dans la stratégie du parti, en vue du Congrès d'Irosque en 208. Justine Bonnet est toutefois nettement réélue.
En décembre 208, ses collègues de son groupe et lui votent en faveur du mariage pour tous, ce qu'ils sont les seuls à faire en dehors de la majorité. Il fait adopter le même mois deux propositions de loi, une sur le développement du vélo qui réforme certains dispositifs existants et en créé de nouveaux, et une autre sur la législation des médias pour la mettre à jour après plusieurs décennies sans modification. Il échoue toutefois à faire adopter sa proposition de loi pour créer une Agence Nationale de Rénovation Thermique et les subventions qu'elle pourrait distribuer.
