Zoe Montiel

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Zoe Montiel
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Fonctions
Magistrate fédérale de la Fédération-Unie
Président Jenny Howard
Vice-Président Andrew Murphy
Administration Administration Howard
Nomination 28 avril 192
Procureure fédérale auprès de la Cour du District Nord de l'État d'Arcadia
Mandat 7 avril 183 - 28 avril 192
(9 ans et 21 jours)
Biographie
Nom de naissance Zoe Sofía Montiel
Genre Femme
Nationalité Drapeau de la Fédération Unie.png Fédération-Unie
Drapeau de l'Union.png Carlomania

Naissance 7 août 150 (Erreur d’expression : caractère de ponctuation « { » non reconnu. ans)
Hamilton, SO
Dp Southymland.png Southymland
Drapeau de la Fédération Unie.png Fédération-Unie
Résidence San Constantino, AR
Dp Arcadia.png Arcadia

Religion Constantisme
Alma mater Winchester University
University of Arcadia
Activité professionnelle Juriste et écrivaine
Engagement PP (depuis 172)
Honneurs Prix Marshall
Famille
Parents Emilio Nuñez
Cathy Prince
Fratrie Hector Nuñez
Luis Nuñez
Amy Connors
Conjoint Aaron Montiel (178-185)†
Enfants Aimée Montiel (179-185)†

Image illustrative de l'article Zoe Montiel

Image illustrative de l'article Zoe Montiel

Zoe Montiel (/zoe mɔ̃tiɛl/), née le 7 août 150 à Hamilton, SO dans l'État du Southymland, est une militante des droits de l'homme, écrivaine, juriste et femme d'État carlomaniano-fédérée.

Membre du Parti progressiste, elle est procureure fédérale auprès du district nord de l'État d'Arcadia de 183 à 192, pendant le mandat de la gouverneure Elizabeth Grant Rutherford. Elle occupa le poste de Magistrate fédérale de la Fédération-Unie durant les 8 années de l'Administration Howard, avant de candidater à la Présidence de la Fédération. Investie candidate du camp progressiste, elle perd cependant les élections au profit d'Ethan Caldwell.


Situation personnelle

Origines et famille

Zoe Montiel, enfant, en 158

Zoe Montiel naît est la fille d'Emilio Nuñez, avocat et professeur émérite à l'University of Woodcreek. Originaire de Carlomania, il a émigré en Fédération-Unie en 141 pour étudier le droit fédéré au sein de la prestigieuse Winchester University. Sa mère, Cathy Prince, urbaniste, pur produit du deep-south, d'ascendance lysennienne, rencontra son père à l'occasion d'un gala de charité à Hamilton en 149.

Zoe grandit dans la banlieue de Woodcreek, capitale de l'État de Southymland, sa mère ayant été chargée du plan de restructuration des quartiers est de la ville, tandis que son père y était universitaire. Elle décrit elle-même ce passage de son enfance comme "particulièrement studieux", impulsé par père, érudit notoire. En 161, alors qu'elle a 11 ans, ses parents se séparent et Zoe part vivre à San Constantino avec sa sœur Amy et sa mère, celle-ci ayant obtenu leur garde.

Elle poursuit sa scolarité dans une école secondaire à Arcadia, et obtient avec brio son diplôme de fin d'études en 167.

Scolarité et études

Zoe Montiel en 171

Au terme de son cursus scolaire, Zoe est admise au sein de la prestigieuse Winchester University à New Lancaster, (Two Rivers) pour y suivre des études de droits. Elle y devient, en 169, la plus jeune présidente de la fameuse Winchester Law Review après en avoir été l'une des plus éminentes rédactrices. Diplômée en 173, elle décide de poursuivre ses études à l'University of Arcadia de laquelle elle sort diplômée d'une licence en sciences politiques. Elle y rencontre également Aaron Montiel, qu'elle épouse en 178 et avec qui elle eut un enfant.

Après ses études en 176, elle entame une carrière juridique à San Constantino (Arcadia).

Vie personnelle

Walls that separate people do not go up to the sky1.png

Le 7 janvier 185, son mari et sa fille Aimée, âgée de 5 ans, sont victimes d'un crash aérien et perdent tous deux la vie. Alors qu'ils étaient à bord d'un petit vol commercial entre San Constantino et Los Elegidos au cours d'une forte tempête, l'aéronef est entré en collision avec un pic rocheux provoquant la désintégration de l'appareil. Dévastée, elle publie en 187 son premier ouvrage, sobrement intitulé Live, dans lequel elle relate son combat pour continuer à vivre après la mort de son mari et de sa fille.

Quatre ans plus tard, elle publie son deuxième livre qui devient rapidement un best-seller, Walls that separate people do not go up to the sky, au sein duquel elle exprime son militantisme pour les droits humains et la paix. Elle remporte alors le Prix Marshall du meilleur ouvrage de l'année 191.

Carrière judiciaire

Débuts en tant qu'adjointe au procureur

En octobre 176, Zoe Montiel convainc l'expérimenté Allan Gargher, procureur du comté de San Constantino de l'embaucher en tant qu'adjointe. Elle occupe ses fonctions deux années durant, jusqu'en février 178, où elle démissionne suite à des désaccords fréquents quant aux peines requises par le procureur Gargher, qu'elle juge irrationnelles et dénuées de considération morale.

Avocate d'affaires

Elle décide donc, au milieu de l'année 178, déçue par son passage dans la fonction publique, de prendre la direction du privé. Elle est alors embauchée en tant que Junior Associate dans le grand cabinet new-lancastrien Jameson Feller, spécialisé dans le droit des sociétés.

Logo de Jameson Feller

Elle y remporte onze de ses treize affaires, mais est licenciée après huit mois concluants après avoir déposé plainte contre le Naming Associate Henry Jameson pour agression sexuelle. Elle remporte, après huit années de combat, son procès face à son ancien employeur en juin 187, ce dernier est alors condamné à six années d'incarcération et au versement à Zoe Montiel de dommages et intérêts s'élevant à plus de trois millions de thalers.

Procureure de comté

Après sa démission, Zoe Montiel prend la décision de renouer avec le service public, et remplace le procureur Gargher dont elle fut l'assistante, devenant procureure du comté de San Constantino au début de l'année 179. Très vite, elle se distingue par sa volonté de ne pas requérir privilégier des travaux d'intérêt général aux peines courtes pour des petits délits commis par des jeunes non-récidivistes, et sa fermeté envers la criminalité, et notamment envers le trafic de drogue et le grand banditisme.

Procureure fédérale

Repérée par le cabinet de la Présidente Nancy Chapman au début de l'année 183 pour succéder au procureur fédéral Carther, partant en retraite, elle est nommée après quelques brefs entretiens, en tant que procureure fédérale auprès de la Cour du District Nord de l'Etat d'Arcadia. Elle est l'une des seules nominations ouvertement progressistes des huit années de l'Administration Chapman.

Zoe Montiel entretient alors une très concluante relation de travail avec la Procureure générale d'alors : Hillary Carnahon, également progressiste, parvenant à des résultats conjoints parmi les plus intéressants de la Fédération. Elle est notamment en charge de l'affaire du "Tueur de la Blue River", en coordonne l'enquête, et parvient à son arrestation et sa condamnation à perpétuité. C'est à cette occasion que Zoe Montiel se rapproche du Cabinet d'Elizabeth Grant Rutherford, alors gouverneure de l'Etat.

Magistrate fédérale

Vote de confirmation
Année Pour Contre
192 48 45

Le 28 avril 192, Zoe Montiel est nommée par la Présidente Howard, nouvellement élue, à la fonction dirigeante de la justice fédérée, soit Magistrate fédérale de la Fédération-Unie. Cette nomination est en un sens assez surprenante, Zoe Montiel n'étant alors loin d'être une figure majeure de la justice fédérée, bien qu'étant considérée par beaucoup de ses pairs comme l'une des juristes les plus éminentes de sa génération, elle reste assez inexpérimentée dans la charge de fonctions importantes.

Sa nomination fait suite à un fort militantisme de sa part envers la campagne Howard, et principalement à une possibilité de consensus au Sénat du fait de sa nomination en tant que procureure fédérale par l'Administration Chapman, permettant à la Présidente de nommer une Magistrate fédérale proche de ses idées et loyale en s'assurant de sa confirmation par le Sénat.

Zoe Montiel, en réunion avec ses collaborateurs en 193

Zoe Montiel mène, à la tête du Département de la Justice, une politique d'élaboration des propositions de loi conjointe avec les parlementaires, en travaillant massivement de manière commune avec la Représentante Elizabeth Grant Rutherford à la Chambre pour faire passer de nombreuses réformes judiciaires et juridictionnelles, dont le Ensuring Fair Democracy Act ou le Insider Trading Criminalization Act, œuvrant à réformer en profondeur le système judiciaire fédéral.

Ainsi, Zoe Montiel a notamment disposé de la surpression des peines courtes pour les non-récidivistes, de manière tant à désengorger le système carcéral, et à éviter une criminalisation des plus jeunes du fait du milieu carcéral et de ses influences. Ce, tout en mettant en place une politique de réinsertion pour les ex-détenus ayant démontré leur volonté de se réinsérer dans la société civile.

Militantisme

Entre 18 et 21 ans, alors qu'elle est étudiante en droit au sein de la Winchester University, Zoe Montiel s'engage dans l'assistance associative aux nécessiteux dans les quartiers pauvres des minorités à New Lancaster. Ainsi, elle sert deux à trois fois la soupe populaire dans la semaine, et œuvre au contact des familles idyléno-frédoniennes solinario-frédoniennes et pour les aider dans leurs besoins et problèmes courants.

Logo de Rights for All

Alors qu'elle a 32 ans, en 182, Zoe Montiel fonde l'organisation non gouvernementale Rights for All, avec pour objectif que de faire respecter les droits humains fondamentaux et de sensibiliser à l'irrespect de ceux-ci dans certaines parts du monde, et principalement durant les conflits, en publiant de nombreuses enquêtes et des rapports. Ainsi l'ONG, comme sa présidente, s'engage dans la sensibilisation aux violations des droits des civils au sein des guerres civiles arkadienne et tasdaaléenne, ainsi que de la Guerre du Dawwfiq.

L'organisation non-gouvernementale gagne très vite en crédibilité aux yeux de la communauté internationale et des acteurs politico-diplomatiques par le sérieux de ses publications et la réputation des experts y livrant leur expérience. Si bien que l'organisation est aujourd'hui la première ONG de préservation et de protection des droits dans le monde, et est actuellement engagée dans un rôle d'observateur des droits au sein de plus de 70 nations, et au sein des conflits en Phoécie orientale.

Prises de positions

Au cours de la campagne de l'élection présidentielle de 191, Zoe Montiel tient des propos très virulents envers la Constitution de la Fédération-Unie, la qualifiant d'obsolète. Propos ayant évidemment suscité nombre de réactions d'indignation de la part du bord conservateur.

Engagement politique

Zoe Montiel annonçant soutenir Jenny Howard en 191

Zoe Montiel s'encarte au Parti progressiste au cours de l'année 172 alors qu'elle est étudiante en droit au sein de la Winchester University. Elle s'oppose ainsi à sa mère, fervente conservatrice, et à son père, soutien du Partido Por el Rei en Carlomania. Elle est influencée dans ce soutien progressiste par des amis militants associatifs, qui l'engagent à rejoindre le parti pour soutenir la candidature de Victoria Barrett aux primaires de 173. Elle reste cependant éloignée de la campagne, travaillant avec acharnement sur ses examens de fin d'études.

Elle s'engage réellement dans la vie politique lors des primaires 179, où elle fait campagne sur le terrain pour Pete Page à New Lancaster. Après son retrait de la campagne de son candidat, Zoe Montiel reste en retrait et n'apporte pas de franc soutien à Oliver Hamilton. Elle fait campagne de même manière en 183, cette fois-ci pour le rochesterien Scott Méndez, duquel elle affirme être très proche idéologiquement. Profondément déçue par la défaite de ce dernier face à Nancy Chapman, elle ne s'implique plus au sein de la vie politique jusqu'en 191.

Au cours des élections gouvernatoriales de 191, elle apporte son soutien à la gouverneure sortante de l'Etat d'Arcadia : Elizabeth Grant Rutherford. Ce, avant de faire campagne pour Jenny Howard après les primaires - au cours desquelles elle n'a pas pris position - et va jusqu'à partager la scène avec la sénatrice-candidate lors de son meeting au Marshall Square Arch, au cours duquel elle fit part à la foule de ses inquiétudes au sujet de l'impact de la Fédération-Unie sur les situations d'irrespect des droits humains fondamentaux.

Publications

Live, Pheonix Editions, 187
Walls that separate people do not go up to the sky, Scaler Editions, 191