Jenny Howard
Jenny Howard | ||||||||
Fonctions | ||||||||
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42e Présidente de la Fédération-Unie | ||||||||
Élection | 7 novembre 191 6 novembre 195 |
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Mandat | 4 avril 192 - 4 avril 200 (8 ans) |
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Vice-Président | Andrew Murphy | |||||||
Administration | Howard | |||||||
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Sénatrice de Fédération-Unie | ||||||||
État | Two Rivers | |||||||
Mandat | 4 avril 188 - 4 avril 192 (4 ans) |
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Groupe | Parti Progressiste | |||||||
Législatrice de Two Rivers | ||||||||
Mandat | 4 avril 180 - 4 avril 188 (8 ans) |
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Groupe | Parti de la Réforme | |||||||
Biographie | ||||||||
Nom de naissance | Jenny Diane Howard | |||||||
Genre | Femme | |||||||
Nationalité | Fédération-Unie | |||||||
Naissance | 17 février 121 (111 ans) New Lancaster Two Rivers Fédération-Unie |
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Activité professionnelle | Entrepreneure Femme politique |
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Engagement | Progressiste (depuis 185) Réforme (171-185) |
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Famille | ||||||||
Parents | Hupert Howard Diana Jones |
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Fratrie | Francis Howard | |||||||
Conjoint | Isaac J. Delfrous (depuis 189) Ron Franklin (149-169) |
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Enfants | Jane Howard | |||||||
Jenny Howard, née le 17 février 121 à New Lancaster (Two Rivers), est une entrepreneure et femme politique fédérée. Figure du Parti de la Réforme, puis membre progressiste du Sénat, elle est élue 42e Présidente de la Fédération-Unie.
Situation personnelle
Famille
Jenny Howard est née à New Lancaster le 17 février 121. Sa mère Diana Jones, originaire de Lysennie, et son père Hupert Howards se sont rencontrés en l'an 109 puis se sont mariés en l'an 111. Ils fondent en l'an 112 le Howard-Jones Group , un fond d'investissement basé à New Lancaster. Son frère Francis naît trois ans après elle.
Son père décède en 161 d'un cancer du poumon, à l'âge de 77 ans quand sa mère décède elle à l'âge de 89 ans, en 174.
Vie privée
Jenny Howard épouse Ron Franklin, un conseiller en communication politique, en mars 149. Le couple a une fille unique en 151, Jane Franklin. En l’an 169, Jenny Howard et son mari divorcent et leur fille choisit le nom de sa mère. Sa fille s'engage également en politique et est élue à la Chambre des Représentants où elle dirige le caucus progressiste pendant le 134e Congrès.
Elle se remarie en l'an 189 avec Isaac J. Delfrous, anciennement candidat du Parti de la Constitution à l'élection présidentielle.
Études
Jenny Howard réalise toute sa scolarité dans des écoles publiques de New Lancaster. Plutôt bonne élève, elle est particulièrement douée en mathématiques.
Elle se dirige finalement vers des études de droit. Après les 7 ans d'études, elle passe avec succès l'examen du barreau en 145.
Carrière d'avocate
Elle est rapidement embauchée dans l'équipe de Jonas Drake, Procureur d'un comté dans la banlieue sud de New Lancaster. Au cours de ses campagnes locales sous l'étiquette du Parti de la Réforme, cette embauche lui est reprochée comme n'étant qu'un remerciement de Jonas Drake envers Hupert Howards qui avait largement contribué financièrement à sa campagne. Après seulement 8 mois, elle quitte le bureau du Procureur pour se consacrer au droit des affaires.
Avec deux camarades de promotion, elle lance un petit cabinet spécialisé en droit des affaires et consacrant une grande partie de son temps et de ses moyens à la représentation des intérêts du fond d'investissement de ses parents. Quatre ans plus tard, elle quitte le cabinet et revend ses parts à ses deux associées quand ces dernières diversifient les activités du cabinet et en font une structure beaucoup plus grande. Elle est alors recrutée comme avocate interne pour le fond d'investissement de ses parents. Elle occupe le rôle pendant deux ans avant d'abandonner le droit pour se lancer dans la finance dans l'entreprise familiale.
Carrière dans la finance
En l'an 152, ses parents lui proposent de prendre la tête du Conseil de Surveillance de leur groupe qui gère à cette période des actifs à hauteur d'environ 8 milliards de Thalers. Elle cède la place en 154 pour prendre la tête d'un cabinet de lobbying détenu à majorité par le Howard-Jones Group qui représente les intérêts de plusieurs grandes entreprises au sein des institutions fédérales et des institutions des États de la côte Est. Elle a également la charge d'un PAC financé par les entrepreneurs dont elle représente les intérêts.
En 161, au décès de son père, sa mère décide de prendre sa retraite et laisse donc la tête du groupe familial à Jenny Howard. Elle hérite des parts de son père et elle achète plusieurs parts de sa mère. Le fond gère à ce moment là des actifs à hauteur de 15 milliards de Thalers.
Dès son arrivée à la tête du fond, elle entreprend de développer les activités du fond. Elle développe le fond à l'échelle internationale en étendant ses activités au delà de la seule Frédonie. Elle ouvre la première succursale phoécienne du groupe au Saphyr en l'an 163. Dans la décennie qui suit, elle en fait ouvrir six dans le monde entier : en Anpor (en 165), en Lysennie (en 168), au Gran Lusitania (en 168), en Carlomania (en 170), en Laurésie (en 171) et au Trokadero (en 172).
Elle laisse provisoirement la tête du fond à John Booker, son adjoint, pendant sa première campagne présidentielle. Elle revient à la tête de l'entreprise, cumulant ainsi ses fonctions avec celles de Présidente du Comité Nationale Réformiste. En 179, quand elle est élue à Two Rivers, elle quitte définitivement la tête de son entreprise. Au moment de son départ, le fond gère des actifs d'une hauteur de 36 milliards de Thalers. Elle vend ses parts du fond et en récupère la somme de 34 millions de Thalers. Elle fait alors un don de près de 10 millions de Thalers à des ONG luttant pour les droits des femmes dans certains pays conservateurs.
Parcours politique
Engagement militant
Progressiste sur les questions de société et de droits des femmes mais conservatrice sur les questions économiques, elle vote régulièrement pour des candidats issus des deux grands partis. Elle vote pour la première fois aux élections générales de 139. Étudiante, elle s'engage dans des collectifs féministes universitaires et va notamment manifester devant la Cour Suprême pour fêter en 140 l'arrêt des juges sur l'avortement.
Elle s'engage pour la première fois dans la vie politique en faisant du porte-à-porte pour la campagne de Jim Howard en 147. Elle revote pour lui à l'occasion de l'élection de 151 mais il est battu par Ron Buchanan. Séduite par sa politique économique, elle vote pour lui lors de sa campagne victorieuse de réélection. Elle vote ensuite pour son Vice-Président candidat James W. Edwards. La même année, elle vote cependant progressiste pour les élections gouvernatoriales en soutenant la candidature de Chelsea Campbell. Séduite par cette Gouverneure, elle s'investit personnellement dans sa campagne de réélection en 163.
Charmée par la perspective d'une femme à la President's House, elle s'engage dans la campagne de Chelsea Campbell en 167. Bien que déçue par sa politique économique, elle revote pour elle en 171. Face à la montée dans les sondages de candidats radicaux pour les primaires progressistes, elle rejoint au début de l'année 173 le Parti de la Réforme en vue de participer à la campagne pour l'élection de 175.
Figure du Parti de la Réforme
En l'an 174, elle officialise sa candidature à l'investiture réformiste pour l'élection présidentielle de 175. Lors des primaires du Parti, elle remporte 65,52% des voix et l'intégralité des neuf primaires, principalement contre l'ancien Sénateur conservateur Tommy Harper (28,24%). Lors de la Convention du parti à Two Rivers, elle offre à son principal adversaire la place de colistier pour sa campagne. Sa candidature, très axée sur les questions de démocratie, de responsabilité budgétaire et d'immigration, recueille 4 730 219 voix (3,64%). Elle arrive donc en troisième position de l'élection, derrière les nominés des deux grands partis.
Après la défaite présidentielle, elle devient Présidente du Comité National Réformiste. Pressentie pour briguer de nouveau l'investiture de son parti en 179, elle renonce finalement et annonce sa candidature au poste de Gouverneure de Two Rivers. Vainqueure de la primaire de son parti avec plus de 70% des voix, elle soutient fortement la campagne du ticket Pickett-Wood. Elle arrive troisième de l'élection riversienne avec un 2,4% des suffrages. Elle est toutefois élue à la Législature d'État de Two Rivers.
En 183, elle décide de présenter sa candidature à l'investiture réformiste pour l'élection présidentielle de 183. Sans réel opposant dans la course aux primaires, elle remporte nettement la nomination. Elle propose alors le poste de colistier à l'élu du Southymland Samson Wood. Elle termine une nouvelle fois troisième, mais en améliorant son score. Elle franchit le pallier des 5 millions de voix et recueille 3,98% des suffrages exprimés.
Élection présidentielle de 187
Au lendemain des midterms de 185, elle annonce sa décision de rejoindre le Parti Progressiste. Elle commence alors à construire sa campagne présidentielle en vue des primaires. Elle annonce sa candidature au cours d'un rassemblement à Clifford le 9 mars 187. À la surprise générale, elle se hisse en seconde position du caucus de Fort Oak derrière le Sénateur Pete Page, devançant le troisième candidat (Dave L. Clement) de plus de 7 points.
Le lendemain, elle arrive de nouveau en seconde position dans la primaire du Northunderland, même si elle est toutefois presque 35 points derrière le leader. Le lendemain, elle remporte la primaire de Southymland avec 22 points d'avance et arrache même la victoire pour 4 points au Rochester, l'État de Pete Page. À l'issue de cette victoire, Pete Page se désiste à son profit et elle remporte dans la foulée le scrutin à Two Rivers, devenant la nominée présomptive du Parti Progressiste. Ralliée ensuite par le Gouverneur Daniel Astor du Sealand, elle remporte les dernières primaires à l'exeption de celle du Sealand où elle échoue pour 4000 voix derrière l'ex-Gouverneur et Sénateur Clement. Elle totalise plus de 10 millions de voix et 140 délégués à la Convention qui se réunit à New Lancaster. Elle demande au Représentant Deveron Wiggins d'être son candidat à la Vice-Présidence.
Avec sa faible notoriété et ses difficultés à rassembler l'aile gauche des progressistes, elle est lourdement battue par la Présidente sortante Nancy Chapman le jour de l'élection. Malgré sa défaite, l'élection revêt un caractère historique puisque c'est la première fois que la Présidence se dispute entre deux femmes et qu'une ancienne leader d'un parti tiers emporte la nomination d'un grand parti. Enfin, fait rare depuis de nombreuses années, l'État de Two Rivers est perdu par le vainqueur final.
Sénat
Après son échec, elle est nommée au Sénat par le nouveau Gouverneur de Two Rivers Flynn Campbell. Elle entre en fonction le 4 avril 188.
En 189, elle soutient activement la candidature de Carrie Owen à un sixième mandat de Gouverneure de Fort Oak qui affronte dans une primaire son ancien colisiter Deveron Wiggins. Elle reste en revanche plutôt discrète pendant la campagne générale des mi-mandats qui se soldent par une lourde déroute des progressistes, malgré la reprise de la majorité au Sénat.
Avec 29 sénateurs progressistes, elle soutient le traité de libre association avec le New Libertland proposé par l'Administration Chapman et n'hésite pas à affronter dans les débats ses collègues de l'aile gauche du parti qui s'opposent au texte. Sur la même ligne plutôt interventionniste et favorable à l'élargissement de la Coalition des États Libres, elle vote en faveur de l'Alliance Militaire Défensive avec le Taeyang proposé par le Secrétaire Marshall.
Quelques jours après l'ouragan Katia qui a causé des dommages sur les côtes du Richmond et de son État de Two Rivers, elle demande officiellement la création d'une commission sénatoriale d'enquête sur la gestion de la crise par le gouvernement du Richmond dont la réponse a été jugée tardive par beaucoup de personnalités politiques des deux partis. Au cours de cette commission, elle faut auditionner le Gouverneur-adjoint du Richmond Elias Lagerfeld qui surprend la plupart des observateurs en appelant le Gouverneur Holloway à la démission. À la suite de ce témoignage, elle appelle, de concert avec plusieurs élus des deux bords, à la démission du Gouverneur.
Présidente de la Fédération-Unie
Élection et investiture
En juillet 191, elle dépose sa candidature aux primaires progressistes de 191. Cible régulière de ses adversaires de l'aile gauche, elle remporte largement le caucus inaugural de Fort Oak avec 19 points d'avance sur Flynn Campbell. Le lendemain, elle s'incline pour 13 000 voix au Northunderland. Le lendemain, elle signe deux victoires nettes au Rochester et au Southymland et vire largement en tête avec 62 délégués. Ses derniers adversaires se retirent petit-à-petit et elle remporte tous les États avec plus de 50% des voix, sauf au Sealand. Elle propose à l'ancien Gouverneur Andrew Murphy d'être son candidat à la Vice-Présidence et l'annonce dans un meeting commun avec son colistier à Hillsborough. Elle accepte formellement la nomination lors de la Convention Nationale Progressiste à Los Elegidos.
Au cours de l'élection générale, elle est confrontée à un ticket emmené par Arthur Baker, un professeur southymlandais novice en politique. Les primaires conservatrices ont été très disputées entre quatre candidats plutôt radicaux et c'est à l'un d'eux, le Représentant southymlandais Bob L. Ancelet qu'est offerte la place de colistier. Le ticket progressiste parvient à rassembler les principales figures du Parti autour de lui, ainsi que quelques figures plus conservatrices comme John Cunningham, membre des Administrations McCarthy et Chapman, qui annonce son soutien à la Sénatrice Howard. Le 7 novembre 191, le ticket progressiste remporte très nettement l'élection présidentielle avec 56,7% des voix, loin devant le ticket conservateur qui ne remporte que l'État du Southymland dont sont issus les deux membres du ticket. Jenny Howard remporte donc 111 grands électeurs, bien plus que les 79 recquis pour devenir Présidente-élue de la Fédération-Unie.
Au cours de la transition, elle annonce rapidement les noms de plusieurs membres importants de son Cabinet. Elle le lendemain de son élection la nomination de Chelsea Butler comme porte-parole de la Présidence, de Zoe Montiel comme Magistrate Fédérale et de la Sénatrice Cassidie Horner comme Secrétaire aux Affaires Sociales. Cassidie Horner étant considérée comme une membre de l'aile gauche et Zoe Montiel ayant fait polémiques pour certains propos tenus sur le Second Amendement, leur nomination sont interprétées par une partie de la droite (comme UFN et le Vice-Président Caldwell) comme une preuve du glissement à gauche de la nouvelle administration.
Le lendemain, elle annonce la nomination de l'avocat Cameron Roberts comme Secrétaire au Commerce et de la Gouverneure Carrie Owen comme Secrétaire à l'Intérieur. Enfin, elle annonce le lendemain la nomination de Dave L. Clement au poste de Secrétaire à la Sécurité Territoriale. Elle annonce enfin le jour suivant le nom de sa nominée pour le poste de Secrétaire d'État en la personne de Meghan McCarthy. Elle devient ainsi la première Présidente depuis George Edwards à nommer dans son Cabinet un membre du parti opposé.
Conformément à la tradition, Jenny Howard est investie Présidente de la Fédération-Unie le 4 avril 192, l'année suivant son élection à la tête du pays.
La Juge-en-Chef Christy Stewart fait d'abord prêter serment au Vice-Président élu Andrew Murphy puis, à midi, Jenny Howard devient la 42e Présidente de la Fédération-Unie.
Dans son discours d'investiture, la Présidente insiste sur la nécessité de rassembler le pays autour des trois valeurs fondamentales comprises dans la devise nationale.
Premier mandat
Politique intérieure
Politique extérieure
En août 192, elle se lance dans une tournée diplomatique qui la voit s'arrêter en Lysennie, au Kashanistan, dans l'État de Brakha et au Saphyr. Lors de sa visite saphyrienne, elle rencontre l'Empereur Victor Ier et sa famille avant de rencontrer le Président du Conseil George Fortam. Lors de sa conférence de presse conjointe avec ce-dernier, elle annonce la signature future d'un traité d'extradition entre les deux pays. Elle profite plus généralement de cette tournée diplomatique pour promouvoir deux idées diplomatiques fortes de sa Présidence : une coalition internationale des nations démocratiques contre le terrorisme et un accord international sur la réduction des gaz à effet de serre.
En septembre 193, elle reçoit pendant deux jours le lysennien Nathan Pelletier à St. Paul, D.C., séjour auquel le Premier Ministre s'exprime devant une session conjointe du Congrès. Elle voyage ensuite au Borowen, avec lequel les relations se sont légèrement détériorées suite à la réaffirmation de l'Alliance Militaire Défenssive avec le Saphyr. Elle rencontre ensuite à Ostaria la Présidente Aya Leclerc, fraîchement élue à la tête de son pays.
En octobre 194, elle reçoit George Fortam à l'Île aux Érables pour présenter avec lui le traité d'extradition négocié entre les deux pays. Le 24 octobre, elle s'adresse à la Nation après une fusillade dans le Mandat du Dawwfiq ayant causé la mort, entre autres, de 7 fédérés travaillant dans une mission constantine.
En novembre 195, elle promet que la Fédération-Unie restera vigilante concernant la situation démocratique dans les États de Kodera après l'assassinat du Président en exercice, Auguste Aleksandar.
Campagne de réélection
Le 21 novembre 195, elle termine les démarches auprès du Collège Électoral pour se porter candidate à un second mandat à la tête du pays. Le 22, elle se déclare candidate au cours d'un meeting à New Haven (Sealand). À cette occasion, elle vante alors le bilan de son premier mandat et promet de poursuivre son travail, tout en annonçant que le Vice-Président Murphy sera de nouveau son colistier si elle remporte l'investiture. Sa victoire ne fait d'ailleurs guère de doute, la seule adversaire de la Présidente sortante étant alors l'ancienne Ambassadrice Claire Bachmann qui tentait une deuxième candidature après un très lourd échec en 187. L'ancienne Ambassadrice insista beaucoup sur la politique de la Présidente en matière d'enseignement supérieur, elle qui n'avait pas tenu sa promesse de rendre gratuite les universités publiques.
En dépit de ces critiques, l'aspect fantasque et terriblement peu sérieux de la campagne Bachmann et la relative popularité de la Présidente auprès des sympathisants progressistes permit une large victoire de la Présidente dans chacun des États : Fort Oak (92%), Northunderland (90%), Rochester (91%), Southymland (92%), Two Rivers (92%), Richmond (90%), Sealand (91%), Arcadia (93%) et la capitale fédérale St. Paul, D.C. (92%).
Second mandat
Politique intérieure
Politique extérieure
Fonctions, titres et honneurs
- Législatrice de Two Rivers (4 avril 180 - 4 avril 188)
- Sénatrice pour l'État de Two Rivers (4 avril 188 - 4 avril 192)
- Présidente de la Fédération-Unie (4 avril 192 - 4 avril 200)
Positions politiques
Jenny Howard appartient à la branche modérée du Parti Progressiste. Progressiste sur la plupart des questions de société, elle est plus proche des conservateurs sur les enjeux économiques.
En matière de politique étrangère, elle ne s'oppose pas à la doctrine interventionniste. Dans son discours à la Convention progressiste en 187, elle déclare ne pas renier la doctrine Chapman-Marshall mais vouloir également "se poser en auxiliaire du continent idylénien et de son développement". Elle est favorable à l'élargissement de la Coalition des États Libres.
Elle est très attachée aux questions d'équilibre budgétaire et prend régulièrement position pour une réduction du coût du Medicaid par une assistance accrue aux entreprises proposant une couverture santé à leurs employés.
Hostile à l'immigration quand elle était nominée du Parti de la réforme, elle adoucit son discours sur le sujet en arrivant au Parti Progressiste et va même jusqu'à soutenir le texte présenté au Congrès par sa fille qui naturalise des dizaines de milliers de migrants en situation irrégulière.
Elle défend fermement le droit à l'avortement et a proposé un veto présidentiel systématique à tout texte le restreignant. Elle a déjà dit ne vouloir voir nommer à la Cour Suprême que des juges défendant l'arrêt de 140.
Elle a également pris position en faveur d'une évolution du statut politique de la Communauté des Îles et du District de Callister.
Durant ces campagnes sous l'étiquette réformiste, elle se prononce à de nombreuses reprises pour l'abolition du Collège électoral et contre le bipartisme. Une fois arrivée au Parti Progressiste, elle dit toujours conserver des réserves personnelles sur ces questions mais accepter la volonté d'une majorité de fédérés de conserver le système politique en vigueur.