Élections générales ostariennes de 242

De Nations.fr

Élections générales de 242
XXIIème législature
27 septembre 242
Type d’élection Suffrage universel direct
Corps électoral et résultats

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Antoine du Berry
Alliance de la Droite Nationale
26,58 %
Députés 77
Conseillers régionaux 531

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Claire Fournier
Rassemblement Démocratique Socialiste
20,99 %
Députés 60
Conseillers régionaux 263

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Charles Beauton
La Nouvelle Alternative
17,92 %
Députés 52
Conseillers régionaux 183

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Valentine Miron
Parti Populaire
16,47 %
Députés 47
Conseillers régionaux 166

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Etienne Mitron
En Mouvement !
5,17 %
Députés 15
Conseillers régionaux 52
Premier Ministre de la République d'Ostaria

Des élections générales ont eu lieu le 27 septembre 242 en Ostaria afin de pourvoir les 251 sièges de l'Assemblée Nationale de la XXIIème Législature de la IVème République d'Ostaria, mais aussi pour renouveler les 6 conseils régionaux et les conseils municipaux.

Les élections générales de 242 se tiennent un an après la victoire de Marie-Claire d'Esquincourt (ADN) à l'élection présidentielle face à la candidate du Rassemblement Démocratique Socialiste, Claire Fournier. Conformément à l’engagement pris par la nouvelle présidente, aucune dissolution de l’assemblée nationale n'est prononcée. Suite à la démission d'Elias Staphenberg, candidat malheureux lors de l'élection présidentielle de 241, Marie-Claire d'Esquincourt charge LNA, toujours plus grand parti parlementaire, de désigner un nouveau candidat à la primature. Charles Beauton forme alors un gouvernement minoritaire avec le soutient sans participation de l'ADN.

Le résultat des élections générales donnent la victoire à l'Alliance de la Droite Nationale, menée par Antoine du Berry, qui distance de près de 6 points la liste de Claire Fournier. Les deux listes obtiennent respectivement 26,58 % et 20,99 % des suffrages exprimés. La Nouvelle Alternative n'obtient que 17,92%. Le Parti Populaire recueil 16,47% des voix, échouant à devenir la troisième force du paysage politique ostarien. Enfin, En Mouvement !, d'Etienne Mitron, fait son entrée pour la première fois à l'assemblée nationale en dépassant de peu les 5%.

L'ADN et le PP ne parviennent finalement pas, contrairement à ce que prédisaient certains sondages, à obtenir une majorité absolue.